Vraiment pas dans la liste
Pas de danse avezc la chine
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Pour son Nouvel An
Une Chine millénaire
A atterri à Roubaix
C’est pourquoi en tant que Lonesomemao
Avec l’arme secrète du siècle des Lumières
Je lui souris de mon art
Qui voudrait lui apparaître éblouissant
Quand en chinoise qui m’a cherché et trouvé
Elle interroge ma poésie
Qu’elle bouscule dans l’intelligence d’un désir
Elle qui a déplacé les montagnes
Dans sa Longue Marche pour la liberté
Et qui dans la fierté de ses traditions et de sa modernité
En Chine astucieusement camouflée
Dans son maquillage bien étudié
Offre tendrement un saké de volontés
A ma cité qu’elle veut déchiffrer
Pour mieux la courtiser
Quant à moi, jaillissant de la marge
De ma différence qui la ravit et qu’elle capte
Dans un rire léger qui me conquiert
Me voilà emporté dans les cieux de sa beauté
Qui élucide avec soin mes mots romantiques et scientifiques
Lesquels analysent la fin de sa servitude humiliée
Enfin, en tant que champion de toutes les causes
Qui ne sont jamais répétitives
Je l’invite virevoltant dans un pas de danse
A déplacer la grâce de son vaste espace
Dans un vent innovant et complice
Qui émeut avec force
Le soupir heureux de notre union libre
Qui s’alimente à partir
Du noble concept de la démocratie
Vendredi 15 janvier 10
Haïti
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Haïti
Dans une tragédie assassine de trop
S’est écroulée avec sauvagerie
Dans un tremblement de terre terrible
Jugé terre à terre avec son néant qui s’ensuit
Par des rescapés survivants affolés
Qui fuient comme ils peuvent
Un désespoir pourtant généreux et esthète dans son atrocité
Papa Doc est revenu
Hurle un vieux sorcier
Dans un vaudou improvisé
Et des cohortes ténébreuses de tonton macoutes
Dans leurs apocalypses étincelantes qui s’enchaînent
Se libèrent et délibèrent déchaînées
Dans cette mort souveraine dans sa brutalité
Et une foule d’agonisants
Disséminés dans un macabre chaos
Implore un repos fatal et apaisant
Dans des râles glauques de survivance
Si faibles qu’ils s’étiolent infimes dans un silence infâme
Tout semble alors fini
A Port au Prince
Quand alertée
Par les pleurs trop violents
D’une fillette ensevelie vivante
Sous les décombres d’un immeuble
Svelte et élancé comme son père,
Un homme jeune et digne inexorablement broyé
Qui devient ce cadavre décomposé, puant et pullulant,
Une vaste émotion solidaire
Après ce choc au ressenti planétaire
Arrive avec l’arme pacifique de l’humanitaire
Comme pour rappeler à ce peuple
Exclu par tout progrès
Qu’elle sera présente et militante désormais
Pour le réhabiliter
Et un visiteur courtois et délicat
Ose lui dire tout bas
Haïti
Le monde ami a débarqué
Il est même en toi
Relève-toi
S’il te plait
De tous ces cauchemars effroyables
Qui ont atrophié ta vie
Et dans un recueillement solennel
Douloureux et trop impuissant
Je suis là comme tant d’autres
Dans les mots simples de ce poème
Que je voudrais tant changer en philtre
Pour te redonner l’énergie de l’espoir
Que j’aimerais voir en chant argenté
Quand tu accouches irrésistiblement
D’un enfant si beau
Qu’il sera admiré dans tous les pays
Quand tu deviens Haïti
Le rêve insurrectionnel
Qu’est cette putain affamée
Qui pour échapper à une fatalité honteuse
Réussit à chérir les stigmates fabuleux
D’un héros innombrable dans sa liberté
Conçu par son destin enfin amoureux et victorieux
Dimanche 17 janvier 2010
le cerf-volant
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- Écrit par jean jacques blanc
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Monte et descend l'espace
D'un cosmos ignoré et immense
Où la splendeur éclate. rapace
De papier, ô nuance qui danse.
Console nos espérances, toi qui
épouse le vaste bleu déployé;
Sans entrave, sans cordage et sans cri.
Dessinant dans l'azur nos rêves oubliés.
Tu emportes tous les parfums et la couleur des roses
Auprès du soleil éternel qui reste
Loin de la terre, gardien d'amour et des proses;
Arabesque fragile, insaisissable et céleste.
j-j-B
Poème
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- Écrit par lonesomemao
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Dans une crique sauvage de mon esprit
Caressé chaleureusement
Par les émotions pures
D’un alizé apaisant et léger
Un poème se vêtant
D’un habit de lumière
S’apprête à atterrir
Dans l’impatience subite
De ma révolte créatrice
Me délivrant ainsi d’une maladive banalité
Mes mots fusent aussitôt
Comme des désirs spontanés
Mes vers sourient sereins
Dans des espoirs enfin atteints
Et dans mon île inexplorée
Imprécise entre la raison et la passion
Fiancées depuis si longtemps
Dans mon idéal sublime de la beauté
Une égérie calmement se prépare
De son horizon qui soulève
A l’aube toujours inventive d’un nouveau jour
L’éveil orangé de ses volontés
Qui peuvent enfin infiltrer les alentours
D’un artiste résistant vainement dévasté
Qu’elle conquiert dans ses obsessions
Se sentant pénétrée d’avance
Par son jaillissement qu’elle imagine si intense
Volontiers en sirène
Dans le courage de vagues
Successives et souveraines
Parfumée par le chant inaccessible des océans profonds
Elle prend le risque insensé
Hors de sa réalité marine
D’aborder un homme total dans sa liberté
Qu’elle rêve d’envoûter de sa légendaire féerie
Et dans la même énergie de bonheur parfait
Après une attente de tant et tant d’années
Si longues au chagrin démesuré
Dans l’instant fatidique de leur idylle fantastique
Deux amants mourront dans l’impact d’un baiser trop violent
Deux amants renaîtront dans la fusion de leur amour géant
Et enfin, notons sur l’agenda actuel
Des dates concrètes de l’irréel :
Un écrit est fait
La poésie est fée
Et logiquement
Deux êtres ne devraient pas tarder à se rencontrer
Absolus dans un continent mythique
Mardi 19 janvier 2010
Les prétendants fanatiques
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- Écrit par Viquier
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Dans la basse cour du coeur
Chantent les humains coureurs
Coreligionnaires amoureux
Integrisme assassin
FEU !
Dans les Balkans du coeur
Sous les balcons en fleurs
Danses frénétiques des belliqueux
Prétendants haut les mains
FEU !
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...