Vraiment pas dans la liste
si les ailes
- Détails
- Écrit par algharbaoy
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2893
Si les ailes qui s’élèvent les oiseaux
Il y’ a des gens s’élèvent sans les ailes
La vie se change mais il veut savoir comment la contrôler ?comme les navires qui marchent à terre
Ne croit pas que l’honneur qui fait bâtir les palais mais à ce qui transporte les tonnes
Pourquoi tu si en colère pour un pariseux ce qui laisse les autres travailler ?
Obligé de pleurer et hurler
Dans ce temps nous sommes plus des humains
Un os est entre les dents est toujours cassé ; fort celui qui va l’arraché
Dans ce temps la vie bien nantis
Si la montagne accepte, il s’élève à les vallées
C’est vrai que notre chemin était obscur
Ce n’est pas la mère qui perdu entre les tombeaux
La mère connaît son fils sans signe
Son nom est gravé dans son cœur pas la peine d’y être sur le tombeau creux
Et quand son fils est soif, elle le resent
Si les ailes s’élèvent les oiseaux
Il y’a des gens s’élèvent sans les ailes
La vie se change mais il veut savoir comment la contrôler ? Comme les navires qui marchent à terre.
Hamed algharbaoy
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
tu es un autre monde
- Détails
- Écrit par algharbaoy
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2276
Tu es un autre monde mais un monde drôle
Tes yeux sont déférents que les autres
Comment te décrire mon amour ?
Toutes les images sont confuses
Même ci elle fait prés sombre
J’ai dessiné ton visage en plein soleil éclairssit par la lune
Tes joues sont sucrées comme le miel
Ma belle ce qui t’envoie, sont ébloui
J’ai dessiné tes lèvres pendant un mois
Aussi, qui tes belles yeux qui ont fait pleurer les autres
Lorsque le ramadan arrive et qui te voit, il rompre le jeûne
Si que je te vois, mes mains tremplent
Mon cœur bat en faisant signe de danger
Mes yeux ont aventuré de ne plus te voir, un jour et deux, hélas ! Mon cil s’est vengé
Je dois patienter comme la patience d’el fourat
Afin que se rencontrer avec déjla combien vaut patienter ?
Pour l’espoir, il a marché loin tint jusqu’au bord d’el bassra
Dés qu’on arrive il s’était fondu entre ses bras
Redevenu un bord et tout oubliant son ancienne le fleuve
O ! Mon amour ! D’après à el fourat
J’ai reconnu le vrai amour, car l’amour entre déjla et el fourat m’a appris des tas exemples.
Hamed algharbaoy
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Les chers
- Détails
- Écrit par algharbaoy
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2887
Félicitation, à ceux qui vit prés des êtres chers
Félicitation, à ceux qui voit ce qui aime,
Et pauvre qui attend le claque de la porte, sauf son cœur qui bat,
Nous avons perdu une lettre de la fin de la lettre
Qui va la voir ? Qui l’a écrit ?
Je ne peux pas résister à l’absence
Les jours deviennent si pénibles,
A ce qui on a absent, nous disons c’est quoi le raison de leur absence ?
Il y’a un absence tu sens la douleur de la séparation
Soif d’amour est plein de chagrin, son reproche
Je veux boire de l’eau dans ses mains
Je veux rien savoir les raisons de sa séparation
J’ai hâte de sentir le parfum de son chemin
Je mort d’amour, et mon cœur s’était fondu
J’aime ma vie grâce à son amour
Incroyable !de dire ; non à l’amour !
Et ce qui dit non ! Sont des menteurs…
Je ne plus d’amant et ne plus des amis
A quoi sert la vie sans compagnie ?
HAMED ALGHARBAOY
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
De la Pesenteur à la Grâce
- Détails
- Écrit par Anona
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2228
Il est des lieux qui sont des temples souverains
Où l'âme se sent bien et où l'esprit s'immole
Et où le corps ardé, délivré de sa môle,
Au bain igné, rayonne en noble suzerain.
Nous allons, élevés vers les Célestes sphères
Jusqu'Ã perdre l'empenne, de nos ailes vaincues,
Dépossédés de tout, des blasons, des écus,
Des gloires, des honneurs et des rutilants fers.
Veufs de l'indigne lucre, orphelins de l'affaire,
Nous sommes, d'avoir pauvre et libre de bien être
Et plus que le savoir, nous spirons le Connaître
En ayant pour désir, que notre âme parfaire.
Rien ne reste à la suite , de tous hommes prospères;
Le tourment les poursuit, la somme les assaille,
Le Temps, à l'heure sonne et notre  âme tréssaille,
A compte et décompte, le gong nous exaspère.
Il est des lieux qui sont des temples souverains
Où l'âme se sent bien et où l'esprit s'immole
Et où le corps ardé, délivré de sa môle
Au bain igné rayonne en noble suzerain.
ANONA
le présent
- Détails
- Écrit par marylena
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2888
Page 4 sur 113
-
Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...