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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 3 mai 2010

Création : 4 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2321

Je pleure presque de joie à la simple vue,

De ces caractères noirs sur la page internet...

Nous avons été pris ! Maintenant ne reste plus

Que de pouvoir aller profiter de cette fête !

Et je dis nous, malgré nos maladroits résultats

Nous avons réussi à passer le premieux fossé !

Merci mon ange blanc ! Je ne peux plus qu'espérer

Que nous pourrons tenter notre chance là-bas !

Cet eden des cavaliers... ce rêve depuis longtemps

Présent dans ma tête. Au moment le plus désespéré !

Pourrais-je  rejoindre cette compétition à temps ?

Merci mon démon blanc ! Mille fois merci ! Que dis-je !

Je ne saurais jamais assez te remercier pour cet honneur

Nous étant proposé : l'épreuve club de Lamotte. Pur bonheur !

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Écrit par lamanodelluomo

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 13 mars 2010

Création : 14 mars 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2427

J’aimerais tant découvrir
Les pays
Que tu caches
Sous tes habits
Les rivières et les montagnes
Les endroits secrets
Eclairés
Les coins sombres
Dans l’ombre
Avec mes mains
Juste posées
Sur ta pénombre
Et ta beauté

...

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Écrit par serenades

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 14 avril 2010

Création : 15 avril 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2255

Geisha, geisha, femme japonaise
Dame de compagnie raffinée, tu resteras
Des heures  entières sur la braise
De ton âme, tu seras

Ton apprentissage, comme maiko, commencera
De tes mains, tu pratiqueras les arts
Mais, ta silhouette, tu deviendras, une geisha
Dans ce monde bizarre

Ton kimono de soie decolletée dans le dos
Tu marcheras à petits pas, dans tes sandales de bois
Ton visage, de couleurs, si beau
Tu seras maitre de toutes lois

Comme une statue, couverte de ton koshimaki
Tu te traines dans les couloirs de Kyoto
Mais, dans cette kanamachi
Le froid traverse ton dos

Geisha, geisha, femme japonaise
Tes yeux tristes parlent la misère
Du matin au soir, dans cette fournaise
Enfermée dans ce monde sans lumière

Du chanoyu au ikebana
Tes connaissances sont multiples
Mais, à jamais, tu seras
Une soumise à tous ces disciples


Geisha, geisha...

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Écrit par algharbaoy

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 3 mars 2010

Création : 3 mars 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2972

MA MERE

Je ne peux pas me reposer sans voir ma mère chaque jour

Ma mère c’est le parfum, l’air et l’eau

Si tu ressens son parfum, tu oublies tous les chagrins

Les paroles de ma mère sont comme du miel

Mais elle est si déférente à ceux des autres

Même quand, elle me blâme, me reproche

Elle a resté éveiller des nuits pour un seul raison,

C’est mon confort

Tout ce fatigue en plus de ça l’immigration

Je suis devenu excommunié

Ça fait le temps, je suis loin et maintenant, j’ai ennuyé

Comment se patienter ? Je ne peux plus attende le lever de l’aube et éclairer ma vie

Oh ! Ma mère ! Sans toi ma vie est si obscur, et que ne voit pas ton visage maltraité

Sans toi je ne peux pas me reposer

C’est loin du toi je me sens affaibli

HAMED ALGHARBAOY

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