Détails

Écrit par walle

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 18 septembre 2010

Création : 19 septembre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2661

 

Elle rêve l'insoumise au milieu des décors de jadis

Un monde bien meilleur de terre et de finesse.

l'éclor  arrive enfin quand survient le temps des fins

Mille pardon à la ronde se plaint, mais en vain.

A suffire l'ivresse des corps se souvient

quand à l'ombre des hommes le soutien.

Rire au présent de multiple facette

Se Néglige au moindre tourment des coquettes.

l'image des souvenirs reste

à coeur perdu. se prosternant devant

l' ultime travers des roches de millénaire.

Si soudain si souvent multipliant les images de nos ères.

 

Walle

Détails

Écrit par Bapam

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 12 septembre 2010

Création : 13 septembre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 4668

Amie pazonaute.

Jeune poète tu te dévoiles sur le ‘ tchat ‘.

Trahie par des sentiments en fausse note.

En tristesse, on te sent le cœur éclaté.

Perdue dans les méandres amoureux.

Tu sembles bouleversée par un bonheur capricieux.

Sur tes odes, coule un mal de tendresse.

Tu es victime, prise en détresse.

En pleine adolescence , tu subis et te rebelles.

Chargée de rancœurs et de souffrance.

Dans tes poèmes les mots sortent pèle-mêles.

A l’orée du monde adulte, tu te débats dans les spectres de l’enfance.

Jeune fille, ne te noie pas dans les dédales de l’incompréhension.

Fuis cette grotte de cauchemars.

Réchauffe toi au soleil qui t’offre ses rayons.

Ferme la porte à ce monde de cafards.

Gambades sur les prairies verdoyantes au milieu des fleurs.

Vois le ballet merveilleux des papillons lumineux.

Inspire toi de la nature en oubliant tes pleurs.

Elle est là qui t’écoute, sous le bleu des cieux.

Nous lecteurs touchés par ton mal-être.

T’aidons à vaincre ce passage à vide.

Aies l’envie de vivre, que tu puisses paraître.

Epanouie toi dans cette société perfide.

Accepte les aléas de la vie, hisse-toi vers la lumière.

Dans cet univers imparfait, d’autres épreuves t’attendront.

D’un regard franc de ta jeunesse, lève la bannière.

La victoire est au bout des mèches de ton front.

Perez Bernarde ;

Détails

Écrit par Gilbert

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 15 septembre 2010

Création : 16 septembre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3304

Vote utilisateur: 5 / 5

 

 

 

 

Ne me tends pas la main

ma femme

 

Il pleut sur des hier

aux amours passantes

 

Des corps traversent la nuit

percés par un désir de sexe effigie

venu du fond du ventre

malaxé au temps histoire

 

Cette main tenant un stylo

a jadis tenu l'épée

pour pourfendre le ventre gros de la vie

J'ai mal de celle que je n'ai pas su fabriquer

avec mon corps pesant sur d'autres corps fragiles

dont on ne sait s'ils crient de plaisir ou de douleur

 

Ma femme

Atroce possessif

Nul n'appartient à personne

sauf au temps monnaie

dont je ne profite plus

que par ton corps

pont jeté d'un jour à l'autre

 

Je deviens fou

 

Ta main femme

pour reposer ce combattant des nuits blanches

où tu règnes sur ses rêves

MARQUÈS Gilbert

 

Détails

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 7 septembre 2010

Création : 8 septembre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3142