vers libre

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J'ai mal

Le sang s'échappe de ma poitrine

Ma vie coule, je  ne suis déjà plus qu'une ruine

Elle s'échappe me fil entre les doigts

Tout le monde bouge autour de moi

On essaye de faire, sans vraiment savoir faire

D'autres arrives en se disant expert

Mais ils ne me sauverons pas pour autant

La dernière chose que j'aurais entendu sera donc le bruit sourd d'un revolver

La dernière chose que je sentirais sera donc le baiser froid u métal fulgurant

Je ne vois plus que quelques formes flous, qui finalement, s'envolèrent

Je me sens d'un coup si bien

Je me sens d'un coup si légère

Que je ne pense plus à rien

Juste a entende des prières

C'est déjà finit?

On m'a déjà oubliée?

Plus jamais de nous

Aujourd'hui n'existe plus que moi.

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Descendants des dinosaures.

Certain d’entre eux sont carnivores.

Qui aurait pu croire que la petite mésange bleue !

Avait des ancêtres au tempérament de feu.

Le merle siffleur.

Attire ses proies en chantant avec ardeur.

La pie voleuse.

Pour dérober un œuf dérangeait les mères couveuses.

L’aigle avec son regard perçant.

Scrute du haut de son perchoir l’horizon.

Le coucou fainéant et peureux.

Vide les nids au profit de ses Å“ufs.

Le moineau qui couve sous nos toitures.

Par de multiples rotations pour ses petits va chercher de la nourriture.

L’hirondelle venue des pays chauds.

A élu domicile dans nos granges qui lu sert e manteau.

Au moment du sevrage

Amènent à ses oisillons vers et sectes

Attisent la curiosité des vaches par leurs passages.

Le beau serin gracieux nous émerveille.

Par son chant mélodieux sans pareil..

Le martin pécheur à l’affût au bord des ruisseaux.

Digne d’un plongeur attrape les poissons qui frétillent au fond de l’eau.

La perdrix grise les champs se tapit.

Ainsi évite le renard d’un œil averti.

L'hiboux, du haut de sa branche le soir hulule.

Guette les petits rongeurs dans le sous bois pullulent.

Le coq du haut de la meule de foin s’étire d’un chant orgueilleux.

La multitude de tous ces roucoulements et sifflements mélodieux.

Egaient et réveille la campagne dans la joie et l ‘insouciance.

Au loin passent des chevreuils gracieux.

A toute cette beauté le poète en est conscient.

Bernard Perez.

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Un début d’automne ébahi

Me trouve allongée sur l’herbes tendre

J’observe patiemment dans le ciel infini

Une suite nuageuse qui fuit à comprendre

Selon la forme de ces cumulus blancs

Un cirque entier d’animaux terrestres

Se dessine . Mon imagination s’en éprends

Puis met en scène une vérité équestre

Un défilé de petits lapins sautillants

S’emmêle et donne liberté a une curieuse tortue

L’ancêtre se met en boule et régurgite un faon

Qui se déforme sous la forme d’un chapeau pointu

Les nues se gonflent comme blancs en neige

Un léger vent les agace dans une danse étrange

Le Roi soleil éclaire un surprenant florilège

Qui s’envole sous le souffle doux d’un rang d’anges

Deux écureuils chahutent détournent , mon obsevation

Deux petits choses rousses coinçant de leurs adroites pattes

Des pommes de pins , et s’enfuient vers les frondaisons

Remplissant le creux d’un arbre , chargent en hâte

Les feuilles au tons chauds valsent dans l’air

Des blouses platanierès jonchent mon périmètre

Je les r ramasse formant un bouquet or-rouge vert

En leçon séchées pour les écoliers et leur maître

Dans un relaxant soupir , je me lèvé

Tiens ! Le ciel se vêt d’un bleu cérémonieux

Il se pare d’oreillers blancs , qui s’élèvent

Traînant un voile laiteux , qui flatte mes yeux

Un bruit buissonneux , alerte mes pensées

Je me retourne . Un collier de marcassins , une laie

Traversent la colline , le groin furetant , affamés

Doucement , le visage dans les mains , mon souffle est discret

Les voilà partis , trottinant vers une chasse

Sont-ils assez naïfs pour pérégriner

Là bas , les braconniers font main basse

Sur le gibier qui vit dan les bois piégés

Toujours dans mon cœur coin vert pomme

Seule , je règne dans la profonde clairière

Des passereaux me dépassent plus loin vers les chaumes

Un nuage farouche grossit dans l’air

Mon regard achète un automne

Une douce béatitude me confond dans la saison

La faune et la flore me désarçonne

La vie a le goût du miel que savoure les bourdons .

Marie Carmen Bonot.

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Jour de fête pour les amoureux.

Ils ont les yeux qui pétillent et sont heureux.

On les voit dans les squares se tenant par la main.

Ils ont des projets se voient vieillissant avec des bambins.

Un couple de petits vieux les voyants sur le banc.

Se mettent à rêver en pensant au bon vieux temps.

Un jour eux aussi ont vécu la même aventure.

Cela fait quarante ans que ça dure.

Mais parfois le destin est cruel.

Casse un amour qui se disait éternel.

Les cœurs gonflés de bonheur croulent sous la tristesse.

Les être se morfondent pleurent de détresse.

Le printemps arrive avec la renaissance.

Reboostes les âmes et vont vers de nouvelles connaissances.

L’horloge biologique est ainsi faite.

Avec le soleil tout le monde est en fête.

Malgré la déception il faut avancer.

De nouvelles connaissances sont annoncées.

La flèche de Cupidon pique les cœurs esseulés.

Les mains se rejoignent l’amour a frappé.

Les couples déambulent à la croisée des chemins.

Ils sont rêveurs et parlent du lendemain.

Ils se marient et auront des enfants.

Alors les soucis commenceront.

Mais cela n’est rien à coté du bonheur que l’on a.

De serrer ces cher petites têtes blondes dans ses bras.

Ainsi va la vie d’être parents.

Plus tard nous espérons que nos enfants nous ferons grands-parents.

Bernard Perez

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J’arrive à l’automne de ma vie.

Je me pose des questions et me fais du souci.

Qui pousse l’homme à devenir son propre ennemi ?

Quel est le phénomène qui le met en sursis ?

Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ?

De quel droit le mécréant, violeur d’enfants.

Aurait le droit à une vie terrestre sans craindre le tout puissant.

Quel dieu dans sa grande générosité enlèverait la vie ?

A un jeune de vingt ans sous prétexte qu’il serait béni.

Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ?

Quelle folie pousse une maman à mettre son bébé au froideur ?

Pourquoi un père tyrannique sur ses enfants inflige la violence et la peur ?

De quel droit un homme tue un autre pour un paquet de cigarette ?

A quoi sert de gaspiller, de l’argent pour l’espace et sa conquête ?

Pourquoi, ? pourquoi ? pourquoi ?

Quand des enfants meurent de faim sur terre ?

Quel est ce pouvoir insensé qui pousse l’homme à la guerre ?

Pourquoi aujourd’hui les jeune se drogues t-ils ?

Quel est ce mal-hêtre qui les poussent à mettre leur vie en péril ?

Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ?

De quel droit le chasseur tue t-il pour le trophée.

Pourquoi cette course au nucléaire Qui mutile les bébés ?

Pourquoi l’appât du gain rend les gens fous ?

Pourquoi l’intolérance pousse les hommes à se torde le cou ?

Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ?

Est-ce que le jour viendra ou la vie serait rose ?

Souriront t-il et mettront ils à, la poubelle leur vie morose.

Respecteront ils la vie et seront ils tous frère ?

Tous ensemble prendront ils soin de notre bonne vielle terre ?

J’espère , je souhaite et j’y crois !!!…

Bernard Perez

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...