Amie pazonaute.
Jeune poète tu te dévoiles sur le ‘ tchat ‘.
Trahie par des sentiments en fausse note.
En tristesse, on te sent le cœur éclaté.
Perdue dans les méandres amoureux.
Tu sembles bouleversée par un bonheur capricieux.
Sur tes odes, coule un mal de tendresse.
Tu es victime, prise en détresse.
En pleine adolescence , tu subis et te rebelles.
Chargée de rancœurs et de souffrance.
Dans tes poèmes les mots sortent pèle-mêles.
A l’orée du monde adulte, tu te débats dans les spectres de l’enfance.
Jeune fille, ne te noie pas dans les dédales de l’incompréhension.
Fuis cette grotte de cauchemars.
Réchauffe toi au soleil qui t’offre ses rayons.
Ferme la porte à ce monde de cafards.
Gambades sur les prairies verdoyantes au milieu des fleurs.
Vois le ballet merveilleux des papillons lumineux.
Inspire toi de la nature en oubliant tes pleurs.
Elle est là qui t’écoute, sous le bleu des cieux.
Nous lecteurs touchés par ton mal-être.
T’aidons à vaincre ce passage à vide.
Aies l’envie de vivre, que tu puisses paraître.
Epanouie toi dans cette société perfide.
Accepte les aléas de la vie, hisse-toi vers la lumière.
Dans cet univers imparfait, d’autres épreuves t’attendront.
D’un regard franc de ta jeunesse, lève la bannière.
La victoire est au bout des mèches de ton front.
Perez Bernarde ;
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