vers libre
A mon père
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- Écrit par isabel
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Le vin réconforte mais n’abreuve pas les peines
Quelle soif est la tienne elle parait éternelle
Que trouves tu  à cette coupe que je ne puisse te donner
Moi calice de ton sang, fleur de ton pêché
Tant  de fois j’ai rêvé à te réconforter,
Tant de fois j’ai rêvé, tu m’as repoussé
Quelle douleur est la tienne, que je puisse la crier
Parle moi je t’en prie, laisse moi l’apaiser
Ne laisse pas ce rouge sang t’emporter avec lui
Car bien plus que moi il t’a eu dans son lit
Que trouves tu  à cette coupe que je ne puisse te donner
Moi calice de ton sang, fleur de ton pêché
Moi calice de ton sang je ne vais plus pleurer
Coucher de mer
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- Écrit par Blanc
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Â
Coucher de mer
Â
La mer clapote
Tendrement
Dans les bras du golfe,
Au couchant.
Elle frémit, murmure, ondule,
Jusqu’à l’extase,
Et puis bascule,
Toute rosie,
Le cœur battant,
Et les voiliers qui s’en reviennent
Lèchent sans fin
Ses seins brillants.
apprentis sorciers
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- Écrit par plumedefou
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Les mets arrivent à la bouche, Rien n’a de saveur! Le contact est en recherche, Mais, rien ne nous touche?! Cela parle à nos oreilles, Mais nous restons sourds?! La lumière est vu de l’œil, Mais, ténèbres règnent La parole est près des lèvres, Mais, la bouche est close?! Nos jambes veulent y marcher, Nos pas sont en buttes?! Eh?! Sommes-nous inconscients?? Réfléchissons-nous?? Notre conscience nous hèle, Mais nous restons cois?! Où va donc ce vieux système?? Il va au déclin?! Rien n’est plus clair, ici bas, Oui, nous sommes sourds, Aux appels de la raison?! Apprentis sorciers, Voilà ce que sont les hommes, La foi s’en est allée?!
Langue de serpent
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- Écrit par Lenia
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Le temps passe si vite... et tu n'as toujours pas compris !
Tu as trop poussé ma patience... tu as trop joué avec mes nerfs...
Mais que diable t'ai-je fais pour mériter un tel châtiment, créature de l'enfer ?
Cela y est, mes nerfs sont à vif, range ta langue perfide, il suffit !
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Cobra, ou anaconda, je n'en sais rien, mais tes crocs fourbes et acérés,
Ont blessés ma fierté, ont touchés mon coeur... mais je reste de marbre,
Le visage aussi insensible qu'un masque, ne vois-tu pas mes poings trembler ?
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Tu es tout ce que je méprise : un lâche serpent qui se cache dans les ombres...
Hypocrite comme nul autre pareil, pervertissant l'art de la rhétorique, perçant
Le moral d'une personne, comme sa tête et son âme ne te reviennent pas. Sanglants,
Les coups restent dans ma mémoire, je rêve de te tordre le coup ! De t'écraser ! Sombre !
Â
Pour l'heure je suis sans défenses, mais je ne te donnerais pas la joie de me voir blessée,
Mais je saurais trouver comment briser tes crocs empoisonnés, comment taire tes mots sifflants
Alors que tu frappes lâchement, dans le dos d'une personne ! Sans le moindre honneur, dignité
Me contraint au silence pour le moment. Mais cobra, je t'igonrerais, être si méprisable et méprisant.
Â
l'oiseau perdu
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- Écrit par raymonde
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L’oiseau de son aile volette l’oubli
Perdu son identité dans les volutes
De sa mémoire, il a trépassé ses songes
Dans son orbite de misère, il distille
Sa terreur dans les gouttières des toits
Perchés si hauts sur un rebord glissant
Il a peur l’oiseau de tomber des abîmes
Sur l’asphalte humide et silencieuse
Il toque à présent, harassé il quémande
L’asile, la lumière le toise et absorbe
Sa lucidité, il pleure sur le rebord
De cette fenêtre, ses larmes gèlent
Ses paupières, un bruit. , grincement, hagard
Un homme se penche et le cueille tendrement
Il s’imbibe d’une chaleur amie de sa peur
L’homme le caresse et lui susurre reste…
Raymonde verney
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...