vers libre
la boule du passé
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- Écrit par raymonde
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Dans une chambre de noir tapissée
J’absente ma présence, mise en demeure
Par la voyante qui, d’un doigt occulté
Déchiffre le cartouche des heures
La boule ardemment active sa mémoire
La préhistoire surgit, de pierres armée
On me courtise déjà  ! Un amant de désespoir
Pénètre le lac mes larmes gèlent son apnée
Le moyen âge, on m’éconduit en chat botté
Carnaval à VENISE aux mœurs différées
Un vert galant appréhende ma pointure
Frivolités, amours sournoises, délétères
La boule s’éprend de mon historique elle récite
Je vois un cheval, un prince non je me suis trompée
Une maison, un chat, des factures, je l’interromps
Rémunérons enfin ce passé pour sa loquacité
Ramonde verney
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Chute de mots
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- Écrit par Mano
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Sans raison laisse les mots venir
Comme si rien ne pouvait les retenir
Et glisse tes doigts sur le clavier.
Sans les arrêter, sans les contrôler
Permet à tes mains en frappant les touches,
D'exprimer ce qui te touche
Et parfois te dévore
Au dedans comme au dehors.
Ne pense à rien!
Ne ressent rien!
Prend ce qui dort dans ta tête
Et jette-le sur cette fenêtre.
Simple page blanche remplie
De ton tout dernier cri.
N'hésite pas!
Ne recule pas!
Laisse faire tes doigts!
Aujourd'hui ils parlent pour toi!
Tant pis si les autres ne comprennent pas.
Si tout ceci ressemble à du charabia.
Quand la page sera noircie,
Quand tes mains auront fini,
Tu liras ce texte pour la première fois.
Tu entendras cette petite voix
Qui te murmure parfois bien trop bas:
« Vas y accroche toi, je crois en toi! »
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Sur la route...
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- Écrit par doucepoesie
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Sur la route de ma vie
Depuis ma tendre enfance
Je fus bercé oh oui ainsi
Avec cette grande espérance
Dans l’amour oui de notre Dieu
Qui, devenu pour moi si précieux
Car il conduit ma vie tous les jours
Dans la grande sagesse chaque jour
Sur la route de femme
Mon cœur c’est enflammé
Pour l’être cher et bien aimé
Qui réjouit ainsi mon âme
Sur la route de Maman
Je fus oh oui bien gâtée
Par mes trois beaux enfants
Par leur amour et leur bonté
Sur la route de grand- Maman
Je fus avec joie très émerveillée
De ma petite fille et petit fils bien aimés
Qui m’offrent le bonheur tout le temps
Sur ma route de poète
Je laisse courir mon esprit
Pour écrire de douce poésie
Et je trouve cela très chouette
Sur la route de mes promenades
Je flâne le cœur en joie
L’âme heureuse en émoi
Dans cette nature en escapade
Oui sur la route de ma vie
Je suis une femme ravie
De ce que j’ai pue vivre
Même si j’ai due survivre.
A la douleur de mes chagrins
A la peine de mon désespoir
Mais j’ai trouvé le chemin
Qui m’offre enfin l’espoir.
LOW OF SOLIPSISM
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- Écrit par Shems
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Imaginez, la vous pénétrer par tout les pores du corps.
Imaginez le manteau de la nuit vous recouvrir et la splendeur de la lune vous éblouir.
Imaginez, sentez tout votre corps trembler, parcourut des frissons de la jubilation.
Entendez votre cœur devenu un orchestre d'outre tombe, chaque battement devenant la marche d'une armée toute entière rythmée par les tambours de guerre.
Voyez conscience et raison disparaître dans la brume épaisse de la folie et dans les murmures clairsemés des morts.
Buvez l'ambition, le pouvoir, la folie, et sentez ce cocktail explosif vous parcourir les veines pleines d'ivresse.
L'univers tout entier ralentit et devient minable pendant que, jusqu'au plus profond de vous même, vous bouillonnez plein d'une puissance envahissante et gloutonne.
Vous gesticulez la danse de la nuit en écoutant ces clairons et tambours vous interprétez un Requiem en votre honneur.
Voyez ce sourire macabre qui se dessine sur vos lèvres empoisonnées.
Ces yeux du tueur ivre et passionné.
Le bras droit tendu au bout duquel la plume bondée d'encre noire, ce sang corrompu par les ténèbres .
Chaque mot couché sur la feuille est une foudre apocalyptique.
Voyez comme le ciel se craquelle et saigne !
Riez riez et buvez à la santé de mon pouvoir conquérant cette coupe pleine du solipsisme noir!
Terre ! Terre !! De la terre !!
Vous n'êtes que nourriture pour vers !
Buvez à ma gloire ces vers qui vous lacèrent !
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Le mal du racisme.
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- Écrit par doucepoesie
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Le mal du racisme
Plongé au cœur des incompris
La peine, la souffrance morale
Par ces gens si souvent asservis
Qui dans le cœur leur font mal
Par cette intolérance du racisme
Par ses gens dures et si cruelles
Avec leur passion sectarisme
Qu’ils en deviennent rebelles
Oui le racisme pousse à la dévotion
De toutes cruautés par l’adoration
De faire le mal et de rejeter toujours
Ces pauvres gens ainsi chaque jour
Hélas cela dure depuis la nuit des temps
Les gens plongés dans leur méchanceté
N’avance que par le mal tout le temps
Avec la firme conviction d’être respecté
Mais où sont la compassion et l’amour
Que Dieu nous donne ainsi chaque jour
Pourquoi tant de haine et de violence
Pourquoi avoir autant de divergence
Il serait pourtant plus simple de s’entraider
De se comporter plus tôt en adultes réfléchis
De donner de l’amour au lieu de tant de mépris
En ayant compris surtout le sens du mot aimer.
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...