Le vin réconforte mais n’abreuve pas les peines
Quelle soif est la tienne elle parait éternelle
Que trouves tu à cette coupe que je ne puisse te donner
Moi calice de ton sang, fleur de ton pêché
Tant de fois j’ai rêvé à te réconforter,
Tant de fois j’ai rêvé, tu m’as repoussé
Quelle douleur est la tienne, que je puisse la crier
Parle moi je t’en prie, laisse moi l’apaiser
Ne laisse pas ce rouge sang t’emporter avec lui
Car bien plus que moi il t’a eu dans son lit
Que trouves tu à cette coupe que je ne puisse te donner
Moi calice de ton sang, fleur de ton pêché
Moi calice de ton sang je ne vais plus pleurer
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