Le temps passe si vite... et tu n'as toujours pas compris !
Tu as trop poussé ma patience... tu as trop joué avec mes nerfs...
Mais que diable t'ai-je fais pour mériter un tel châtiment, créature de l'enfer ?
Cela y est, mes nerfs sont à vif, range ta langue perfide, il suffit !
Cobra, ou anaconda, je n'en sais rien, mais tes crocs fourbes et acérés,
Ont blessés ma fierté, ont touchés mon coeur... mais je reste de marbre,
Le visage aussi insensible qu'un masque, ne vois-tu pas mes poings trembler ?
Tu es tout ce que je méprise : un lâche serpent qui se cache dans les ombres...
Hypocrite comme nul autre pareil, pervertissant l'art de la rhétorique, perçant
Le moral d'une personne, comme sa tête et son âme ne te reviennent pas. Sanglants,
Les coups restent dans ma mémoire, je rêve de te tordre le coup ! De t'écraser ! Sombre !
Pour l'heure je suis sans défenses, mais je ne te donnerais pas la joie de me voir blessée,
Mais je saurais trouver comment briser tes crocs empoisonnés, comment taire tes mots sifflants
Alors que tu frappes lâchement, dans le dos d'une personne ! Sans le moindre honneur, dignité
Me contraint au silence pour le moment. Mais cobra, je t'igonrerais, être si méprisable et méprisant.
Commentaires
Et celui portant la métaphore du serpent la mérite amplement.
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