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Écrit par haut le coeur

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 15 mai 2010

Création : 16 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 4267

 

lourdement, vient de tomber la muraille
qui de sa défiante hauteur protéger
sont âme des ardeurs du danger
la plus brève et plus violente bataille,
venant de l est ,ils n étaient qu une,
petite, armée de ses yeux de lune,
laissant pénétrer dans l enceinte,
Se sourire, aux intentions malsaines
comme l histoire de Troie fut dépeinte
au levé du jour ,ainsi se décrit la scène
en ruine fini la grande forteresse
désarmée, fut la sinistre maîtresse
devant ,cette pauvre âme moribonde
devinant que ce désert serai son monde

 

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 14 mai 2010

Création : 15 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2068

Le panorama vaut le chemin cahoteux et sinueux

Qui mène plusieurs heures durant le long de la paroi

Rocheuse, acérée, calcaire... un chemin dangereux.

Et c'est là que je confie mes peines et émois.

 

Reposant sur une roche plane, sur un sable fin et blanc,

Je contemple la rage de l'élément aquatique se déchainer

Sur les minces récifs, de tumultueuses vagues s'entretuant.

Le soleil frappe la terre ravagée, et illumine les flots azurés.

 

La rare verdure dispute la terre avec acharnement, touche d'espoir,

Que renforce la présence de fleurs colorées et odorantes des buissons,

Ce lieu chaotique et méconnu de tous est mon ultime refuge après ma maison.

 

Je contemple avec tristesse et mélancolie cet écho d'une terre natale,

Mes larmes salées se mêlant à l'écume qui s'abat tout autour de moi,

Je suis bien ici, mais il me manque quelqu'un... il me manque TOI.

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Écrit par haut le coeur

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 15 mai 2010

Création : 16 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2265

tout commence par un grand et rouge tapis
de pétales de rose ou les épines sont tapies
guilleret , pas a pas dessus,vite, on avance
rouge vif devient carmin, quand de sa transe
arrachés, écorchés, on n ose plus avancer
mais a mi chemin, on ne peut plus renoncer
piège sur cette route tracé par notre destin
j aurai voulu être un oiseau et voler plus loin

sans souffrir sans maudire sans peines
avoir le choix d une destination sans haine
avoir des ailles pour soulager mes pieds
sortir de se piège, de se maudi bourbier
dans lequel une occulte divinité ma plongé
et pour je ne sais quel sadique divin projet
mais trop tard pour les "si"quand , arrivé ici
plus vraiment le choix pour une meilleur vie

moins de pétales , présente les épines se font
a mi chemin, le reste parait bien plus long
moins de sang , moins de force d espoir
trop de moins commence a peser lourd
fardeau de vide ,remords d avoir voulu croire
avancer , quitte a geindre des cris sourd

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 30 avril 2010

Création : 30 avril 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2119

Une pesante semaine d'études m'a vidée

De toutes mes forces... mais c'est terminé !

Dans quelques heures je vais enfin rentrer

Chez moi, quitter ce devoir et enfin me reposer !

 

Le soleil dehors pousse un irrésistible appel,

Comme une sirène des marins appellerait à elle !

Je veux revenir loin des forces qui me nuit, m'aliènent !

 

Les paysages défilent, comme de brèves figures floues,

De vieilles dames bavardent comme des pies à mes côtés.

Elles brisent cette douce harmonie que je vient de me créer,

Mais bon... laissons les parler, et revenons à nous.

 

Enfin je sors du train, et pose un pied sur le béton usé !

J'inspire avec force l'air familier, l'air si doux, l'air tant aimé...

Levant vers le ciel, je n'ai qu'une seule pensée : "me voici enfin arrivée !"