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Écrit par sylvana

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : La mort

Publication : 29 octobre 2010

Création : 30 octobre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2683

À l'ombre des années,

Raisonnent encore,
L'écho de nos baisers.
L’ effervescence de nos désirs.

Ce matin la,

L'air y était si doux,
Le temps radieux.
Instant un peu fou,
De nos ardeurs en délires.

Nos caresses nos regards,

Infiniment passionnés,

Abondements enflammés

Enfiévraient nos corps.

Ce qui au silence de nos baisers,
Nous réunissaient enfin Toi et moi.

L’extase de tout ce ressenti,

Comblait tout nos sens,

Délicieusement mis en émoi.

Et puis le moment,

De la séparation arriva.
Mon cœur en resta blessé,

Affligé, attristé, dépouillé,
De tous ses rêves, et
D'un amour inachevé.

 

 

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : La mort

Publication : 15 octobre 2010

Création : 15 octobre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1891

Et ne restent que les regrets après Son passage,

Le sinistre châle noir s'est déposé dans cette maison,

La Dame à la faux est venue pour vous transmettre son message,

Et vous êtes partie, après un dramatique suspense si long...

 

Et ne restent que les regrets après votre départ si douloureux,

Je n'avais pas l'honneur de vous connaitre bien... oui je le sais,

Mais je vous appréciais tant, Madame, que cela me fut malheureux.

Vous êtes partie... et derrière vous ne restent que les regrets...

 

Je ne vous oublierais jamais, votre visage âgé mais souriant,

Les légers quiprocos, les quelques discussions, votre présence,

Je regrette de ne vous avoir que si peu croisé, réellement...

 

Madame, votre départ a profondément bouleversé cette demeure,

Et je songe encore à vous quelques temps après, des jours sont passés...

Et subsistent les regrets, et la tristesse, et le Speen à cette triste heure...

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : La mort

Publication : 15 octobre 2010

Création : 15 octobre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1773

Il est tard le soir, une semaine comme les autres, ronde

Interminable et mécanique des rouages des études,

Je suis penchée sur mon bureau sur un devoir bien rude,

Quand un fait m'arrache à mon travail, et je sonde...

 

Les murs ont des oreilles. Et au delà de mes murs,

Ce sont des cris et des pleurs qui me parviennent,

Des cris de douleur, une souffrance qui se traine

Jusqu'à moi, relayant ces pleurs qui trahissent la peine.

 

Au delà des murs, j'entends la vie qui se plaint et se morphond,

Au delà des murs j'entends la mort qui se propage et arrache

Une vie de plus, impitoyablement, comme sa faux libère une âme...

 

Au delà des murs, mon visage pâlit et des larmes naissent dans la cornée

De mes yeux, fins ruisseaux scintillant comme des diamants liquides,

C'est ainsi que je dois vous dire adieu... ce fut bref, mais vous me manquerez !

 

[ps : Hommage à une personne âgée que j'ai connu quelques jours et qui est désormais décédée.... paix à son âme...]

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Écrit par Bapam

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : La mort

Publication : 1 juin 2010

Création : 2 juin 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1750

 

 

Fête religieuse.

Instauré à la gloire dieu.

Pour la joie des enfants.

L’émerveillement des grands.

 

Soirée de réveillon.

Le bonheur et la joie dans un tourbillon.

Gonflent les cœurs d’amours et compassions.

La festivité est pleine d’émotions.

 

Ce premier Noël sans bonheur.

Sans joie ni fifre.

Nous sommes pétrifiés par la douleur.

De la perte de notre fils.

 

Un rayon de notre étoile.

Ce fût une soirée banale.

Nous ne le verrons plus au pied du sapin.

Des cadeaux pleins les mains.

 

Son regard émerveillé.

Sa joie et sa gaîté.

Ses yeux écarquillés.

Ne sachant par où commencé.

 

Bien-sur nous avons notre fille.

Que nous chérissons de toute notre âme.

Elle non plus n’avait pas le cœur ni les yeux qui pétillent.

La soirée s’est passée sans faribole ni charme.

 

Nous étions là le cœur en berne.

Dans une ambiance triste et terne.

Comme manchots de notre cher disparu.

Sa joie de vivre et sa bonne humeur nous ne la verrons plus.

 

Maintenant pour nous cette fête.

N’est que chimère.

Elle n’a plus beaucoup d’intérêt.

Par la perte d’un être aimé.

 

 

Bernard Perez.