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Écrit par Mano

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 4 janvier 2010

Création : 4 janvier 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3154

 

Assise sur la grève

Perdue dans ses pensées,

Entre réalité et rêve,

Elle se surprend à observer,

Des enfants en train de s'amuser.

 

Son esprit égaré regarde la marmaille,

Pataugeant dans le sable.

De leur mains agiles naissent châteaux et murailles,

Édifices éphémères et instables,

Luttant contre les éléments,

Qui ne se montrent guère cléments !

 

Elle qui connaît Mère nature,

Ne doute pas de la fin de l'aventure.

Quand arrivera le point de rupture,

L'eau et le vent auront raison

Des réalisations des jeunes maçons.

 

Mais malgré la douleur,

Qui étreindra leurs cœurs,

Quand leurs créations

Au néant retourneront,

Il restera dans leurs souvenirs,

L'amitié et les rires,

La magie de l'instant partagé,

Et l'espoir pour demain de tout recommencer !

 

Respirant profondément

La femme se lève et s'en retourne où on l'attend.

 

 

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Écrit par Momo2Mezy

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 2 janvier 2010

Création : 2 janvier 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3257

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Écrit par lalain

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 3 janvier 2010

Création : 3 janvier 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2817

 

L'OIE SAUVAGE.

 

J'ai ce soir l'âm' de l'écolier

que le vol lourd d'une oie sauvage

sur l'azur d'un livre d'images

de page en page emportait

à travers plaines et vallées

vers les sommets, vers les grands larges.

J'ai ce soir l'âm' de l'écolier

que les mots en savants tissages

des récitations du passé

invitent encore en voyage

sur des collines et des sentiers

où chaque pli est un rivage.

 

Le temps s'efface peu à peu,

les sommets demeurent lointains;

le grand oiseau du livre bleu

a t il suivi le bon chemin?

 

Il est des nuits, quand les vents changent,

à tire d'ailes une oie sauvage

noie mon regard dans le passé ,

perd ma tête dans des nuages

qui n'ont cesse de raconter

tous leurs détours, tous leurs voyages.

Il est des nuits, quand les vents changent,

j'entends leurs voix dans la vallée

murmurer des mots d'un autre âge,

des mots tissés pour s'évader.

Il est des nuits, les vents qui changent

font alors de moi leur otage!

 

Le temps s'efface peu à peu,

le grand large est un point lointain;

loin de l'oiseau du livre bleu

ai je donc pris le bon chemin?

 

Il est des soirs pourtant étranges

où patiemment sur la vallée

la nuit écrit pour moi des pages

d'amour que je n'osais rêver;

la nuit défile en images

où se perdent tous les grands larges.

Il est des soirs pourtant d'orage

où dans la nuit illuminée

un souffle court vient effacer

et le vol lourd de l'oie sauvage;

et les mots en savants tissages

des récitations du passé!

 

Le temps s'efface peu à peu,

l'oiseau passe dans le lointain;

mais je lis dans un regard bleu

que j'ai bien pris le bon chemin!...

 

Lalain.

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Écrit par jfdmusique

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 1 janvier 2010

Création : 1 janvier 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2557

que 2010
soit du réglisse
ma belle amie éternelle !
fidèle comme du miel
protèges toi des criminels
politiques ou économiques
tournant tant de gens en bourriques

je t'envoie mes souhaits en photo
désirs qui parfois me font défaut
Inconscient de mon charme
qui ne sera pas une arme
mais un feu de douceur
pour t'éblouir de tendresses
d'amitié sans pudeur
et de combler de caresses
par ma créativité
et mes restes de Pensée
que 2010 te portes dans l'émotion
positive, sans modération