Vraiment pas dans la liste
Les oiseaux
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les oiseaux
J'avais encore mille oiseaux dans les jambes
A l'époque d'hier , celle ou tu m'entraînais
Vers ces forains joyeux , nous formions une bande
Toi qui tenait ma main et moi qui t'observais...
J'avais encore mille oiseaux dans le cœur
Quand tes yeux éclairaient dans le soir tombant
Ces néons pourtant riches de millions de couleurs
Quand ton rire éclatait tout en les découvrant...
J'avais encore mille oiseaux dans les yeux
Lorsque tu t'envolais , petit homme adore
Sur le dos d'Aladin , te faisant croire un peu
Que le ciel était proche , mais ton papa tout près...
J'avais encore mille oiseaux dans l'espoir
Respirant ton bonheur , partageant ton empire
Dans ces odeurs de fête et dans les cris du soir
De ces gamins heureux rejoignant ton sourire...
J'avais encore mille oiseaux dans la poche
Pour offrir a ta bouche affamée de bonheur
Ces bonbons sans lesquels tout plaisir s'effiloche
Ces petits riens sucres qui retiennent les heures...
J'avais encore...J'avais encore....
Mais les heures s'enfuirent et les oiseaux aussi
Entraînant avec eux toutes forces restantes
Les néons des manèges se trouvent loin d'ici
Et papa se souvient : Nous étions une bande....
Il y avait les manèges , il y avait les oiseaux
Il y avait ton bonheur , il y avait ton enfance
Une enfance que papa voulait garder au chaud
Mais qui part doucement.......rejoindre les oiseaux ....
POETES INCONNUS***
le vieux fou
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- Écrit par lonesomemao
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LE VIEUX FOU
L’homme est un fou qui s’ignore
M’a confié un vieux fou anonyme
Sauvé par un délire
Qui le protégeait de la banalité
Entre quatre murs
Il étudiait sa déraison
Coupable d’inventer
Un autre système de pensées
Et moi, poète rendu lucide par la folie
J’envisage ses propos
Comme ceux
D’un oiseau qui doit atterrir
Et qui aura les ailes arrachées
Dans une abrutissante monotonie
Et dans une réalité
Apparemment figée
Un vieux fou
Suivi à la trace
Par la norme aliénée
Survit
En libérant son univers dément
Et moi, de mon monde
Je le salue
Et je lui dis merci
Pour avoir osé
Contaminer ma révolte
Qui se pâmait
Dans le conformisme
De toutes ces années
Et un vieux fou que je deviendrai
A l’abri dans la furie d’un poème
Ose savourer
Un combat rapproché
Où je tue
Cette terrible absence de folie
Cette époque qui réprime le génie
Les danseuses de sang
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Le vent de l’été caressait vos têtes
Tandis que le doux zéphyr facétieux
Soulevait vos voiles jusqu’aux cieux
Dans cette journée aux airs de fête.
Que vous étiez belles sous le soleil,
Vous balançant toutes ensemble,
Sous le regard des aulnes et des trembles,
Sans que se froissent vos dessous vermeil.
Vous dansiez et le souffle léger
Faisait voleter vos robes couleur sang.
Sous mon regard, vous alliez rougissant
Bien que je ne voulais pas vous déranger
Qu’elles sont belles à contempler
Les rouges fleurs de coquelicots
M’offrant dans leur sanglant caraco,
Un instant de repos, un bonheur complet.
Quand sonnent les cloches du temps
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Quand sonnent les cloches du temps
Laisse-moi tendrement te regarder
Tes yeux reflètent le bonheur passé
Celui de l'amour passionné
Des heures à nous enlacer
Ton sourire est protecteur
Dans tes bras je n'ai pas peur
Ecoute les battements de mon cœur
Ils jouent la symphonie des fleurs
D'un doux baiser délivre-moi
Une dernière fois, être en émoi
En toi j'ai toujours eu la foi
Aujourd'hui je suis ta croix
Laisse-moi doucement partir
Ce monde n'est plus mon avenir
Je n'ai plus mal, j'ai connue pire
Dans tes bras mon amour, je veux finir
Ecoute! Les cloches sonnent au vent
Tintinnabulant l'air du temps
Elles m'appellent par ces chants
Vers elles je vais, comme un enfant
Christine PC
le poète roubaisien
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LE POETE AFRICAIN
Un poète africain
Chante dans ma tête
Il a la puissance et le rythme
D’une révolte qu’il soulève
D’un sourire humanitaire
Un poète africain
Slame sur la lune
Montrant ainsi à toutes les diasporas
Un espoir vaste comme le futur
Et moi, artiste roubaisien
Et moi, poète européen
Je devine en lui
Un continent de furies
Un horizon d’envies
Qu’il libère magnanimement
Dans l’univers de notre devenir
mercredi 24 septembre 2008
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...