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Écrit par colombine

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 30 novembre 2008

Création : 30 novembre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2412

Devant l'âtre de la cheminée,

bien au chaud installée,

je profite avec délice ,

de ce doux moment de quiétude.

 Mais bavarde est entrée

...et le calme oublié.

Elle parle, elle parle...

Un flot de paroles me submerge.

Telle une grande vague sur une mer déchainée,

je me sens emportée dans ce tourbillon de mots.

Elle parle, elle parle...

Sans accent, ni virgule,

les mots se succèdent vertigeusement sans répit.

Je me noie dans ce déluge de paroles.

Je plonge dans sl'abime.

Mes yeux se ferment pour entrer dans le silence.

Les flammes non perturbées dansent dans le foyer.

Elle parle,elle parle...

Telle une pie,

Elle picore les voyelles, les consonnes avec avidité.

Mes oreilles meurtries ont fermé leur clapet.

Ce doux silence envahit mon être avec délectation

Je ne vois plus que cette bouche ouverte,

dont les lèvres s'entrechoquent,

telle une truite, sans jamais se fermer.

Shubert l'aurait-il délaissée?

Mes yeux cherchent l'oubli dans un profond sommeil.

Bavarde s'en est allée,

minou ronronne devant la cheminée..

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Écrit par Michel-Paul

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 25 novembre 2008

Création : 25 novembre 2008

Mis à jour : 6 novembre 2015

Affichages : 2710

 

 Un soleil de sang coule du ciel, et de proche en proche
Peint des ailes rouges sur les murs chauds, s'enlace aux arbres
Estampés. Pour regarder, de la fenêtre on s'approche :
Les feuilles à terre tremblent, comme tachées de marbre

Sombres branches en remuant l'or, le mélange au sang
Comme remuent les ailes de l'oiseau mourant, meurtri
Des feuilles s’émeuvent encore, et puis… s'envolent au vent
Leurs longs automnes auront mouillés nos yeux de coloris

Un vent fait s'envoler des arbres ses rouges parures
Planantes qui finiront  à terre et en pourriture.
L'arbre squelette devient nu aux rayons chauds du soir
En hiver il dresse ses moignons comme un désespoir. 

On se dit soudain frappés : - "Voilà donc ma destinée ...? "
Alors nos yeux se troublent à l'histoire qui mal finit…
Mais une voix dit : - "Souviens toi de l'Amour du Messie 
Il t'aime ! Si tu te blottis en Lui tu es sauvé ! "


Michel-Paul-MarieL

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Écrit par dessauvages

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 28 novembre 2008

Création : 28 novembre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2960

Je marche vers mes rêves

Entouré des gens que j'aime

Je marche tête baissée

Chantonnant un air qui va lasser

Qui ma tant blessé

Envoûtant prenant

Doux mots d’amours

 Susurrer au vent levant.

Une main a peine vient m'effleurer

Dieu que je t’aime

Ma gorge commence à se serrer

C'était lui, bouche bée

 Je l’ai contemplé

Le fils de L'homme que j’ai fuis toute  ma vie

Pourtant mon meilleur ami

Que j’ai  hais

Nous voilas  enfin réunis.

Je marche, nous marchons, en rêve

Vers ce pays tant écris

Ce paradis que nous aimons

Cette terre promise

Telle quelle est a l’origine

Nous voilas devenu amis

Je marche avec lui avec eux

Heureux,

 Joyeux enfin un moment de liberté

De paix serennité de l’âme

Que je commence à apprécier

Je ferai ce pas avec lui

Chaque jour de ma vie

Jusqu'à mon dernier soupir.

Tel est mon désir

A l’instant de ce doux moment.

 Sont mes poèmes 

Mes écrits sont la traduction

De mes cris, de mes peines, de mes tensions

Je noircirai ces feuilles avec l'air de mes poumons

En criant vers ce pays de Sion

Avançant vers la réconciliation

Pour atteindre la terre promise

Ou les peines ne serons plus de mises

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Écrit par Michel-Paul

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 25 novembre 2008

Création : 25 novembre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2606

Regarde dans les eaux qui ruissellent
Pêle-mêle
Les cheveux du soleil
Se mêlent aux remous
Et des reflets fulgurants d'étoiles,
Dansent en passant sur les cailloux

Michel-Paul