vers libre
la dame des brumes
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sombre femme ,qui glisse dans la nuit. joue avec les hombres, sans bruit. sous la lune ,assis sur une pierre je t attend ,entend ma prière rejoint moi sous le firmament et partons comme deux amant, fuyons le jour,sous le regard cèlènite, que cette voûte céleste soit notre gîte le refuge d un amour fantastique. mais les reves , les plus mystiques ne côtoie pas la réalité de ce monde assis sur une pierre,sous la lune ronde chassè par l aube, je m en retounerai seul Et demain, couvert de mon etoilèe linceul J epirai les brumes nocturne d en l espoir Incongru , enfin ,tes formes apercevoir
Passage
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- Écrit par Lenia
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Tout semble ordinairemnt n'être qu'un paysage
Flou qui défile sans interruption ni intérêt particulier,
Mais c'est vers la fin du voyage que l'on voit que ce passage
Sera aussi éphémère qu'un délicat papillon d'été.
Â
Une tourmente de visages, de paroles, de gestes
Que l'on fait machinalement, que l'on revoit sans cesse
Et que l'on ne s'imagine pas regretter en cet instant précis...
Â
Le bâtiment parait presque étranger au corps architectural,
Mais c'est là que le voyage s'est ralenti, et que j'ai pu profiter
Un peu du paysage singulier, exotique, magnifique, escarpé...
Que j'oublie toutes les fois où je l'ai traversé en aval.
Â
Une année scolaire, c'est comme un aller simple dans un train,
On se croise tout le temps, on s'assit côte à côte rivés sur nos soucis,
Mais des fois des regards se lèvent et des rires surviennent sans freins !
Â
Vous me manquerez, sans nul doute, après toute cette souffrance
Acceptée, c'est là que l'on remarque les poussières étincellantes
Que sont des moments de joie, complicité, qui m'enchantent
Encore. Je n'ai pas envie de dire au revoir, je veux récupérer ma chance !
Â
Pour tous ceux que je n'ai découverts que trop tard, mon attention
Occupée ailleurs, ceux que j'ai détesté, ceux que j'ai simplement ignoré
C'est là qu'on se rend de ce que l'on perd dans cette rude compétition,
Dans quatre semaines... ne restera que de minces liens d'un récent passé.
Â
La voix-off s'allument et commence à annoncer la gare prochaine,
Et moi je vois s'approcher trop rapidement ces douloureux quais,
Qui vont nous séparer de part et d'autres selon nos souhaits,
Peut-être nous reverrons-nous... une possible année prochaine.
démence
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- Écrit par haut le coeur
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je suis descendu ds ton jardin
j y ais trouvé un gros marteau
mais j attendrai j usqu au matin
pour eclater tes petits chicots
sanglant petits chicots de madame
vont rouler sur le sol dans ce drame
sanglant petits chicots de madame
avec , je jouerai sur le macadame
prend les blancs , prend la maim
pour les noirs pas de lendemain
car ainssi la contine s achève
juste au moment ou tu crève
Le don de soi
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- Écrit par sylphide
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Â
Ellla n’était pas bien dans son cœur
Elle n’était pas bien dans sa tête
Toute sa vie ne connut que malheur
Alors qu’elle n’aurait voulu que fête
Â
Elle avait pourtant une famille
Qui l’aimait et la choyait
Mais elle n’était qu’une fille
C’est son frère qu’elle enviait
Â
Ella aurait souhaité être un garçon
Ne pas avoir à jouer à la poupée
Elle aurait pu de cette façon
Vivre sa vie sans se tromper
Â
Puis son frère se mit à souffrir
Son cœur devenait palpitant
Il ne parvenait plus à sourire
Longtemps il attendit, haletant
Â
Sa sœur ne l’enviait plus guère
Se trouvant soudain bien égoïste
Décida de sacrifier sa chair
Même si ce geste parut simpliste
Â
C’est dans le parapet du pont
Que sa voiture finit sa course
Ella y gisait une plaie au front
C'était là son ultime ressource
Â
Ella tenait serrée dans sa main
Une lettre pour expliquer son geste
« Mon cœur remplacera le tien
Accepte de moi ce don modeste »
Â
Quand on la trouva inanimée
Ella n’eut pas besoin de chirurgien
Son pauvre cœur s’était arrêté
Son sacrifice n’avait servi à rien
le non mort
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il entend son cœur battre, pulser , de la vie l élixir sa poitrine se soulever puis se vider dans un soupir Mais ne ressent , de se tumulte, plus aucune énergie Suis-je un non mort ? a qui on aurai spolié sa vie?  Comme un brave volatile il a bâti son nid Pour y trouver au printemps un gros coucou Confortablement installer ; on coucoufie Impunément de nos jours, rage et courroux,  Ne servent qu a ternir un peut plus sa blafarde aura Moult conseils disent « va de l avant » tu t en sortira il préférerai un après, vu que l avant est déjà passé Après de longues journées sans gloire, rentre harassé  il n arrive pas a sombrer dans un salvateur sommeil O combien mérité , dernier refuge aux milles merveilles Car il manque un rituel ,sonnant le glas de la soirée Lire une histoire enchantée , câlins , bisous et bordè  Enfance volé, paternité esseulée ,les pièces sont vides Comme l air qui enfle ses poumons trop calcinés Par toutes les dernières cigarettes avant d y aller A l éveil , il sent battre, souffler , retour a une vie livide  Cette vie n est pas un don ,ni un due ,mais un devoir! Aussi pénible soit il,pour ses proches,ne pas décevoir
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...