vers libre
gerardine
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Dans un faubourg où s’illumine
Les songes discrets, les fleurs…
J’ai visite une enchanteresse
Une dame au verbe clair et doux
Gerardine noble dame d’Espagne
Habite un manoir sis dans le comté
Elle promène sa solitude discrète
Les bois la nomment FEE LILAS
Le soir la voit souvent fois assise
Sur un banc près d’une église pauvre
Sa foi courtise les nantis elle convainc
Déjà ils s’empressent d’obtempérer
Jadis j’ai rencontré la FEE LILAS
Elle écrivit une ode et me l’offrit
Emue je conservai ce parchemin
A présent je le relis doctement.
Raymonde verney
T'attendre
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- Écrit par giorgioadriano
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Â
Avoir la patience de l’ange;
Ne pas devenir celui qui te dérange,
Lorsque tu vis là -bas sur l’autre berge
De l’océan, où tu es si loin de moi,
Si belle à ne pas pouvoir flirter avec toi,
Mes larmes d’amour à l’eau de la mer se mélangent…
J’imagine que le mélange de mes larmes
Me font partir sur cet océan dans un long voyage
Pour te rejoindre essuyer tes propres larmes
Remplies de ta tristesse et de ta solitude d’ange,
Je désire que nos larmes se mélangent,
Dans un immense chagrin de bonheur et vengent…
Sans cris ni douleurs ou violences, tes misères antérieures
A notre belle et magique rencontre d’âme et de cœur ;
Je te prendrais contre moi, te poserais sur mes genoux
Et dans un immense et long câlin, je te ferais oublier tout,
Dévêtirais ton corps de toutes les ignominies de tes malheurs
Pour le revêtir de milliers de baisers et de caresses d’amour fou…
Très doux, je toucherais chaque partie sensuelle de ta peau
Pour sentir celle-ci frémir au contact de ma peau
Je t’embrasserais longuement de bas en haut,
Jusqu’au lever du soleil, quand il devient trop chaud,
Pour coller mon ventre à ton ventre et te remplir du jus
D’amour et de mes sueurs d’orgasme sur ton corps offert, nu…
Je caresserais tes cheveux, ta nuque, tes yeux,
Je boirais toutes les larmes qui coulent de tes yeux,
Pour voir fuir de peur toutes les craintes qui te rendent malheureuse,
Voir s’ouvrir tes immenses yeux, du bonheur d’être heureuse,
Respirer le souffle de ta respiration vive et fougueuse,
Quand nos ventres se croisent s’offrent en élan, unis tous les deux…
Vois-tu ma tendre et douce amie, combien je désire,
De tout l’être qui m’habite, m’offrir pour t’appartenir,
Vois-tu ma belle et majestueuse reine comment je veux te guérir,
De tous tes tristes maux indignes, qui te donnent tristesse,
Alors que tout ton être pour être plus beau encore, mérite l’allégresse,
Mérite le plaisir d’être honoré d’amours complices, de respect et de tendresses…
Ta beauté magnifique est faite pour recevoir sans partage,
Tous les désirs de volupté, des hommes de ce monde en gage ;
De toutes mes forces vives d’homme respectueux, même d’un certain âge,
Je souhaite représenter tous ses hommes qui te doivent le respect dû
A la beauté physique et mentale de ton sublime corps dodu,
Je resterais à tes pieds pour attendre le mérite de ton amour totalement nu…
Georges Adrien PARADIS Ã Limoux le 15 septembre 2011 Ã 02h30
Roses et autre roses
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- Écrit par galonx_
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Â
Son Altesse des beaux jours,
Guère retirée de Morphée,
Livre au soleil son pétale,
Ivre d’odeurs matinales
Régulières et convoitées,
Dont la noblesse fait les contours.
Â
G_
Femme ou objet ?
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- Écrit par Ciel
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Tes yeux sont des billes de verre
Qui reflètent les courants d'air.
Tes cheveux lisses sont bien coiffés,
Jolie poupée.
Â
Apprêtée comme une princesse,
Tu n'as de cesse
De jouer la belle indifférente
Petite intrigante.
Â
Tu n'as jamais sommeil
Et sur tes lèvres, toujours une peinture vermeille
Qui complète une tenue élégante
Belle plante.
Â
Aucun sang ne coule dans les veines
De ce corps porcelaine,
Pourtant jamais, au grand jamais ! Je ne me séparerai
De mon jouet préféré.
A sa merci
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- Écrit par Ciel
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Ce soir, des chiens hurlent après la nuit comme des loups.
Je me joindrais bien à cette meute de canidés
Pour vaincre enfin mon ennemie jurée
Et me libérer de son impitoyable joug.
Mystérieuse, dangereuse, elle joue avec mes nerfs
Elle m'enveloppe de ses ailes noires et veloutées
Pour mieux dévorer mon sommeil tant espéré.
Parfois, elle s'adonne à des plaisirs pervers
Constitués de séances de torture improvisées ;
Distillant des rêves infestés de chimères en colère
Qui me donnent un avant goût des flammes de l'Enfer.
Où fuir, avant que l'astre céleste, mon bien-aimé
Etende ses bras vers moi et réchauffe mon corps ?
Pas de refuge sur cette Terre, elle est tout autour,
Et quoique je puisse faire, elle me trouve toujours à la fin du jour.
Mais je te vaincrai Canaille ! Ma mort réglera ton sort !
Â
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...