Vraiment pas dans la liste

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Parce que j'en ai rêvé et que je ne le puis

Plus. Parce que mes espoirs partis en fumée

Ne soutiennent plus mon coeur aigri...

Parce que mon monde s'effrite, je vais imploser !

 

Parce que je me taris lentement,

Parce que mon âme est en sang,

Ces larmes que je retiens obstinément

Me font trébucher et perdre mon rang !

 

Je n'ai plus coeur à rien,

Je ne sais pas ce qui me retient,

Je ne peux lutter face à ce chagrin !

 

Ignares, ravalez donc votre venin !

Laissez-moi tranquille, je ne vais pas bien...

De vos stupides mesquinerie je n'ai nul besoin !

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Quand viennent les heures
Longues et lassantes,
Dans les champs se meurent
Des secondes impatientes

Et les grands arbres sages
Dans le vent des pentes,
Sont à l’amarrage
D’une rivière lente

Sur le compas des feuillages
L’amarante est papillon,
Un instant fait naufrage
Au centre du rayon

La houle du semeur
Foule au pied l’horizon,
La nuée du bateleur
Déploie ses cheveux blonds

Laissez-moi les heures 
Longues et galantes,
Car en moi se meure
La vie... impatiente !






2009/2010

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Oh, ange, lève-toi

Loin des rêves et de la fange,

Ôte cette sève qui te change,

Au ras de la grève, être étrange...

 

Venge-toi, ta révolte soulève !

Cette trêve que l'archange

Rêve incertain, ta rentenue range,

Achève ta tâche, bel ange !

 

Allège ton âme en te soulevant !

Suivant les songes, va, protège,

Vent furieux qui met fin au siège !

 

Poursuivant la noirceur du sacrilège,

Siège en gardien, repousse tout arrivant

Qui assiège cet odre survivant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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En ce temps là régnaient les ans hiératiques, inconstants

Ère mystérieuse dont l’épave s’est échouée heureusement

Dans une orbite lunaire d’où s’échappa le nouvel an

Le chaos intemporel sommeillait son attente

Ce pays factice , des retards, se défaisait promptement

Exigent, il pointait la turbulence des heures

Les secondes s’affairaient afin de plaire incontinent

Au cadran solaire qui des aiguilles ratifiait le suborneur

Les pendules sans nombre ravissaient l’espace

Des chuchotements à l’infini perçaient l’absence

Diligentes, les heures agaçaient leurs cadettes

Par une exactitude, pantomime surfaite

Les années pourpres vécurent vieilles, fripées

Dans le secret des tombes la légende se perpétue

Il existerait un pan de l’univers qui celerait

Les années pourpres, mémoire silencieuse de la terre

Raymonde verney

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si la vie était un défis
la mort serait son trophée
la délivrance d en avoir trop fait
la récompense d en avoir trop subit
ténébreuse paysanne emmène moi
mon âme mure,n attendra pas des mois
se gâte au fur et a mesure de ses émoi

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...