Vraiment pas dans la liste
Tour looping crac ou king
- Détails
- Écrit par Momo2Mezy
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2383
Le petit lapin
Au fond du jardin
Tour looping
Crac ou King
A levé une oreille
Juste un petit bruit
Ah ! c’est le soleil
Qui s’ennuie
ÂLe petit lapin
Au fond du jardin
Tour looping
Crac ou King
A mangé une laitue
Et puis s’en est allé
Se coucher dans le gilet
De l’ane têtue.
ÂLe petit lapin
Au fond du jardin
Tour looing
Crac ou King
A sortie une flute
Et l’a mangé
Il s’est trompé zut !
Il faut recommencer
ÂLe petit lapin
Au fond du jardin
Tour looping
Crac ou King
Est venu ce matin
A porté de la main
Me raconter une histoire
Histoire de voir
ÂLe petit lapin
Au fond du jardin
Tour looping
Crac ou King
A levé l’autre oreille
Chut ! il fait nuit
Et Tu as sommeil
Il te dit « Bonne nuit »
Le Maphiosy
- Détails
- Écrit par Momo2Mezy
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 2944
   Â
Bonjour à Toi Monsieur le dealer
Les gendarmes ne te diront rien
Ton commerce est légal, pharmacien
Ton néo-cocon est un cache misère
L'homme que j'ai rencontré
Presque encore enfant
S'en prenait à peu près
six boites vendues
Au noir sans ordonnance
Millier de boites qui tuent
pour grossir tes finances
Bonsoir Monsieur le grand Dealer
Tes bonbons sèment la mort
et ton fric sent un peu trop fort
Le désespoir des galères.
1993
RENDEZ-VOUS
- Détails
- Écrit par lonesomemao
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 1458
RENDEZ-VOUS
  ÂQuand mes mots au loin
Forment des baisers
Ravivant une idylle déçue
Assassin si fidèle de mon vécu
ÂJ’envisage de vivre
A l’aide
D’un fusil qui fleurit
Dans le marécage sanguinolent
D’un amour solitaire
Qui s’ennuie
ÂQuand mes paroles au vent
Dessinent
L’esquisse d’un désir
Unanime
Dans l’absence épanouie
De celle évanouie
Dans un soupir hautain
Qui la ternit
ÂJe décide
De reprendre la route
Indécise
Comme cet enfant
Qui a peur de la nuit
ÂTremblante
Comme ce vieillard
Qui assiste à son agonie
ÂQuand mon être croupit
Dans l’univers clos
De la monotonie
ÂJ’élabore toujours un envol
Vers le troublant infini
Où je réalise enfin
Le rêve fou
De m’accoupler avec la poésie
ÂEt mes mots de près
Sculptent alors
Un corps à corps
Si harmonieux
ÂQue l’érotisme de mes pensées
Ejacule mon idéal
Ivre de ta féminité
ÂQuand j’ai rendez-vous
Avec l’émotion parfaite
D’une beauté discrète
ÂIl m’arrive de chanter
Le retour de mon amour
L’embellie future de mes jours
ÂOù j’assiste serein
A la mort voulue
ÂDe l’enfer de mon destin
 ÂMardi 6 janvier 09
Âà l’aube
- Détails
- Écrit par Arnaud-Christian
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 3580
Nos yeux, par l’espace empli
de l’alliance des mots
au chant lointain du griot
tomberont au drap des nuits.
La courbe y sera infinie
et la mélodie silencieuse
m’y bercera de fièvres heureuses.
Vers l’aube à la cime des arbres
nous regarderons hébétés
la douceur cotoyer le marbre
et les encens de l’avenir
nous guideront au creux du sillon
d’une terre renouvellée.
Sans doute aux comètes nous parlerons ;
Il y a tant de ciel à remplir !
Â
Â
Arnaud-Christian TARABELLA
Nouméa
4/11/2004
LE MYSTERE TROP GRAND
- Détails
- Écrit par lonesomemao
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Vraiment pas dans la liste
- Affichages : 1409
LE MYSTERE TROP GRAND
 ÂFinalement délaissé par le néant
Cette maîtresse virtuelle
Qui me fit chavirer
Dans son ennui et sa macabre inertie
ÂPoussé par le vent fort de la folie
ÂJ’aboutis dans un mystère trop épais
Où je me protège
ÂLes jours où j’admire l’amour
Les nuits enivré par l’envie
ÂAyant enfin trouvé un port
Après une si longue odyssée
Difficile d’accès
ÂJe réside désormais
Dans un mystère si grand
ÂQu’il dépasse l’univers de notre entendement
ÂEt dans une explosion
Près d’une étoile
Où naquit mon hérésie
ÂJe suis émerveillé
Par le feu bleu sublime
De l’art concret
De mes rêves éveillés
ÂJe vénère le chant sage et sinueux
De la maîtresse de ses lieux
ÂJ’adore sa voix qui fuse
Comme la féerie d’un désir
Qui ne sera jamais capturée
ÂEt envoûté par la lucidité
Du beau et du vrai
ÂIl m’arrivera sans doute
De vous présenter
Un mystère trop grand
Un mystère si éloquent
ÂQu’il parle de lui-même
ÂEn mouvement dans l’harmonie parfaite et touchante de la poésie
 Âdimanche 21 décembre 2008
 ÂPage 71 sur 113
-
Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...