Vraiment pas dans la liste

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L'alchimie de Claire.

Tu croyais que le monde était gronde,
que les vestiges de l'amour, un faix,
qu'une disharmonie doit être faconde,
Tu croyais que le monde était à mériter.

Tu as douté de ton pouvoir d'envouter,
sans palir maintenant, tu te fais ronde.
Du plaisir discuté, confiance, tu es renée,
et, par passion, tu ressources ton monde.

Tu croyais que le monde était sans relief,
que la vertu dérobait les plus insoumises.
Tu croyais que le monde n'était que grief,
mais fertilité prétend plus que promise.

Tu croyais que le monde était masculin,
que te diviser, ne pouvait s'interpréter.
Tu es persuadée qu'un enfant est féminin,
prend vertu de Psyché et laisse le passé.

Denis.

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34 Ans Déjà… 

 Elle est fatiguée

Un peu usée

Sa petite jupe plissée

Reste démodée

 Elle a bien percé

Malgré les difficultés

Son corps l’a rappelé

Apprend à te reposer 

Elle est toujours la

Un peu moins d’éclat

Presque plus de bras

Le cœur en débat

 Elle parcourt sa vie

Parfois de fou rire

Car demain pour vivre

Nul besoin de souffrir 

Elle aura demain

Un demi-siècle certain

Ou un doux refrain

Chantera  chaque matin 

Elle dépose les armes

Prend soin de son Ame

Et le cœur entier

Elle continue d’avancer 

Elle fera demain

Le métier rêvé

Tellement convoité

Qui est le don d’AIMER 

 Marie 

 

1 Février 2009

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Les passagers en réseau

Et couloir sont déplacés

Sur des sièges musicaux

Valsent places attitrées.

 

Miroirs d'étain sous vitrines,

Vrais cousins s'agglutinant,

Inintelligible spleen.

 

Mystère n'ayant lueur,

Pas même entre bâillements,

D'un secret chez soi ailleurs.

 

Domiciles, vide éclair,

Où personne, imaginaire,

Ne peut s'y créer semblable.

 

Soupentes font salles combles,

"N'est pas moi qui veut"

Quelques coups de chevrotine,

Le contrôleur aux arrêts.

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QUAND ON GAZE

 

 

 

Quand on gaze à Auschwitz

On gaze aussi à Gaza

 

Et l’odeur de la mort

Est palestinienne

Comme elle a été juive

Avant d’être israélienne

 

Quand on vit à Gaza

Dans un territoire

Etroit comme une prison

 

On finit par péter les plombs

 

On finit par baver comme un enragé

 

Et comme pour nous punir et nous écraser

 

On bombarde notre vie

Qui devient insignifiante

Comme un cadavre qui pourrit

 

Quand on gaze à Auschwitz

On gaze à Gaza

 

Et dans un poème gazaoui

 

Je voudrais tant sauver

Le sourire léger

D’un enfant

De la Palestine humiliée

 

 

dimanche 18 janvier 2009

 

 

 

 

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Je ne suis pas de votre pays

Encore moins de votre monde

Je suis passé par pur hasard

Me suis collé tous vos fards

Et suis entré dans votre ronde

Mais je n’ai pas compris ? 

 

Je ne suis pas d’ici

Je m’en viens d’outre espace

Si proche, si lointain en même temps

Comme Vous, né nu, ai été enfant

Appris par cœur le rôle de la farce

Je ne Vous ai pas compris. 

 

Je ne suis pas de ceux-ci

On m’a forcé à marcher au pas

Offert gracieusement un uniforme

Donné une belle arme, « Pour la forme »

Sur TERRE à vingt ans, c’est comme ça

Et n’ai toujours pas compris 

 

Je ne serai jamais d’ici

Et je viens de découvrir

Qu’un être de chez moi est venu

Vous l’avez appelé Jésus

Il a dit « AMOUR », avant de mourir

Mais Vous n’avez rien compris.

 

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...