Amour

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Syllogisme.


Miroir, miroir qui mire l'intention puérile d'un retour aux idylles.
De l''image de l'enfant à la recherche de ses plus chères sentiments,
D'un adolescent à l'avènement de ces plus hauts contentements.
De l'accompli à l'apogée, reconnaissant, sublimant le moins servile.

Amour dit l'enfant, guerre dit l'adulte à ce jardin fleurissant d'une génération inculte.
Chaos dit l'ourdit, nul ne méritant l'oubli, ni l'argent et moins encore l'asservissement,
Hiver cru, une rhétorique, un substrat, encore deux trois parjures plus qu'interpellants.
Croyants d'un temps d'une terre fertile, d'une moisson sans précédent, sans interpellant.

Ecartelé par le temps, déchiré par la mesure des évènements, brûlé, calciné,oublié permettez.!
Soldat d'une armée balbutiée, compulsée, diligente sans aménité, ni recours...  énamourant...
De plomb ou de sang, arbitres biens complaisants, une aurore vaudra-t'elle plus que le sang ?
Vivre de l'imparfait, le futur serait tellement plus légèreté, configuré, sans appels aux curées.

Noyée, cette larme dans ces fleuves, vagabonder dans les pas d'Hestia.
Coupables, terreurs récurrentes, sans armées, victimes, et fi de Chronos,
Coupable, point d'intime fardeau, existences conquisent de ces lambeaux,
Gestation perpétuelle, sans fard, sans nez rouge et bien plus que Pandera.


Denis.

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ET DANS LA NUIT DES TEMPS

 

 

Quand la mort trop forte

Ressemble trop à la vie

 

Comme tout le monde

 

Je hisse un drapeau nazi

 

Et dans la nuit des temps

 

Dans un vent glacial galactique

 

Un monde bleu et radieux

Est ravi

Enfoui dans l’oubli

Résistant dans un espace infime

Attendant sa libération

Dans un rêve avec l’infini

 

Quand la haine vorace

Courtise ma révolte

Chassant violemment

L’amour éperdu

Des idéaux invaincus

 

Je déploie un destin si sanguinaire

 

Que dans la nuit des temps

 

Ma création se perd

Dans un trou infâme

Où

Réussissant finalement

A fuir l’indifférence totale

 

J’atterris

Dans un espoir ténu

Sauvé in extremis

Par la fulgurance

D’une comète esthète

 

Mais aujourd’hui

Las des jours décolorés

Par l’inertie et l’ennui

 

Dans un miracle ovationné

Par mon existence qui refleurit

 

Ma vie apparaît enfin

Comme le présent

D’un désir qui jouit

 

Et dans le sourire du temps

 

Ebloui par un soleil futuriste

 

Dans l’intimité d’un baiser

 

Moi, homme libre

Je revis pour t’aimer

 

 

lundi 2 février 2009

 

 

 

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A sa fenêtre ouverte a triomphé l’hiver...

La mienne s’est entrouverte Sur un bel univers...

Un bonheur si fragile, Plus précieux que le temps

Qui ne tient qu’à un fil, pendu à nos printemps.

Parfums de ces instants, qui caressent nos nuits,

Ces passions, ces moments qui nous gardent unis

Oh mon si bel amour, La belle heure pour s’aimer,

Chassons les mauvais jours avant d’être soufflé.

Les heures passent si vite, les vents soufflent si fort,

Oh mon précieux amour, je veux t’aimer encore

Sillonner notre vie, découvrir ses trésors

Ensemble, loin de l’oubli, avant qu’il nous dévore...

Le ciel est encore clair, et l’air nous reste frais

N’attendons pas l’hiver, pour qu’il vienne nous glacer

Le jour se lève à nous, et d’un éclat si chaud

Nous emporte loin de tout, merveilleux nuage d’oiseaux...

K.P ( petiteombre )

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Mes jours se lèvent dans tes couleurs

Je vis dans l'ombre de toi-même

Mes nuits se perdent dans tes odeurs

Mes seules images sont les tiennes

 

Entre mes mûrs respire ton âme

A ma fenêtre rayonne ton monde

Mon air ne devient respirable

Que par la force de nos ondes

 

De mon désert transparent,

Les seuls reliefs t'appartiennent

Ton horizon toujours présent

M'attend en soufflant des "Je t'aime"

 

Dans mon ciel plane ton atmosphère

Dans mon miroir brille ton sourire

Transportée dans ton univers

Je vois se construire notre empire

 

K.P ( petiteombre ) 

 

 

 

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 Il m’a ouvert le livre de sa vie,

Page après page, je m’en suis imprégnée,

Buvant l’art de ses mots, percevant ses douleurs,

J’ai senti sa détresse, ses violentes furies,

J’ai écouté sa rage, ses souvenirs écorchés,

Tous ses petits morceaux dessinés de couleur...

 

Si belles couleurs d’un esprit arc-en-ciel,

Reflets et courbes d’une âme hurlant ses peines,

Dessinant de sa sève ses messages de pastels,

J’ai deviné ses peurs, j’ai volé dans son ciel,

J’ai ressenti l’Amour et le sang de ses veines,

Tous ses morceaux de rêves aux couleurs du soleil...

 

Il m’a ouvert le livre de son cœur,

Si bel ouvrage, que je m’y suis plongée,

Éclatant de pureté, flamboyant de passion,

J’ai vu sa transparence, j’ai croqué son ardeur,

J’ai découvert son âme, ses mémoires fracturées,

Tous ses morceaux de vie, sortant de son crayon...

 

Couleurs d’artiste, miroir de son esprit,

Sombres pensées camouflées de lumières,

Exprimant ses douleurs pour étouffer ses cris,

J’ai bu ses émotions, gouté même sa folie,

Jusqu’à la déraison, m’imprégnant de son air,

Des pastels de sa vie, tous ses morceaux de lui...

 

 K.P (petiteombre)

 

 

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...