Syllogisme.
Miroir, miroir qui mire l'intention puérile d'un retour aux idylles.
De l''image de l'enfant à la recherche de ses plus chères sentiments,
D'un adolescent à l'avènement de ces plus hauts contentements.
De l'accompli à l'apogée, reconnaissant, sublimant le moins servile.
Amour dit l'enfant, guerre dit l'adulte à ce jardin fleurissant d'une génération inculte.
Chaos dit l'ourdit, nul ne méritant l'oubli, ni l'argent et moins encore l'asservissement,
Hiver cru, une rhétorique, un substrat, encore deux trois parjures plus qu'interpellants.
Croyants d'un temps d'une terre fertile, d'une moisson sans précédent, sans interpellant.
Ecartelé par le temps, déchiré par la mesure des évènements, brûlé, calciné,oublié permettez.!
Soldat d'une armée balbutiée, compulsée, diligente sans aménité, ni recours... énamourant...
De plomb ou de sang, arbitres biens complaisants, une aurore vaudra-t'elle plus que le sang ?
Vivre de l'imparfait, le futur serait tellement plus légèreté, configuré, sans appels aux curées.
Noyée, cette larme dans ces fleuves, vagabonder dans les pas d'Hestia.
Coupables, terreurs récurrentes, sans armées, victimes, et fi de Chronos,
Coupable, point d'intime fardeau, existences conquisent de ces lambeaux,
Gestation perpétuelle, sans fard, sans nez rouge et bien plus que Pandera.
Denis.