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Écrit par haut le coeur

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 22 mai 2010

Création : 23 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1492

sur les canot d Amsterdam glisse silencieusement ta barque

tu aurai tout aussi bien pu t épanouir en gardant tes marques

dans ce magnifique jardin qui fut le tient ,un enfant dans les bras

ces mains fine et douce, donner tant d affections et peut d embarras

a cet amant que tu chérissait,mais la folie des hommes te la volé

ton destin d épouse et mère,par un funeste complot c est envolé

cet amour,en rage c est transformé,et ces mains clament vengeance

armées de dagues effilées,mues par le courage d une lionne

bientôt,arriveront a leurs faim,et répandront le sang a outrance

car la rage d un amour perdu fera de la guerrière la championne

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Écrit par haut le coeur

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 19 mai 2010

Création : 20 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

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laissons derrière nous nos malheur
afin d ouvrir en grand notre coeur
fermons les yeux l espace d un instant
pour s abandonner a l ouvrage du temps
on ne refait pas sa vie ,on la continue
inutile de croiser le fer ,se mettre a nue
le destin seul décide des carrefours
des rencontres opportunes ,des amours
si tu croise mon chemin ,mon regard
tu sera que les sentiers ,point ,nous égard
mais nous ont permis de nous trouver
pour nous permettre a nouveau d aimer
alors chut ne dit rien
et prend ma main

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Écrit par haut le coeur

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 19 mai 2010

Création : 20 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

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par cette nuitée ,marquant le début de l automne,

après les lumières du bal, dans l ombre tâtonne

derrière moi le jour naissant chasse la nuit,

pendant que toi, blotti dans ses bras, tu fuit

a pas lent, près du banc, je m approche,

se tissu de dentelle tombé de ta poche,

je ramasse, m assoie,seul sur ce banc

et l odeur enivrante de ce tissu blanc.

est la seule présence qui me reste de toi.

devant le vaisseau celenite, cri mon émoi,

une larme perle et coule sur ma joue.

tu est parti avec l homme au loup

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Écrit par raymonde

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 19 mai 2010

Création : 20 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

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DIEU invisible, compagnon du néant

Errance dans une mythologie amnésique

Dont les pages démentent ta présence

Fils d’APHRODITE conçu par le vent

Le TARTARE geôlier des TITANS

S’enflamma pour la NUIT espionne

Sirène noire abstraction redoutable

Mirage où les ténèbres s’enlacent

CHAOS engendra EROS et le nomma

AMOUR toisant APHRODITE, ses pleurs

Il flécha son parcours d’ambiguïté

EROS s’étourdit dans des joutes piégées

CHAOS dans le vide installa sa demeure

Il construisit un édifice qui se fissura

Il souffle la braise de l’agonie hébétée

Il erre dans l’espace défiant son karma

Raymonde verney