Nature
Poèmes sur la nature, poèmes écologistes...
Visions
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- Écrit par Momo2Mezy
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Ils ont détruit la nature
sans s'occuper du futur
Te rappelles-tu de ce ruisseau
limpide et claire était son eau
Et Toi allongée dans les ajoncs
tu regardait évoluer les poissons
Ils ont détruit la nature
sans s'occuper du futur
Te rappelles tu de ces oiseaux
virevoltant parmi les nuages
Le retour d'hirondelles, présage
d'un printemps et d'un été chaud
On a orchestré un génocide
en jouant de l'insecticide.
Ils ont détruit la nature
sans s'occuper du futur
Te rappelles-tu hier du soleil
des fleurs cueillies sur le chemin
Tu te réchauffais à ses rayons
en foulant la rosée du matin
Aujourd'hui dans notre ciel
tristes nuages chargés de pollution
ils ont détruits la nature
sans s'occuper du futur
Te rappelles tu de ces grands bois
nous y allions découvrir les champignons
et écouter le vent, gentil compagnon
Aujourd'hui passent de grandes voies
où circulent de vagues bolides
attirés par la mort avide
ils ont détruit la nature
sans s'occuper du futur
Il n'est sans doute pas nécessaire
de vous lire le contenu de l'horoscope
INTERDIT Ã la surface de la TERRE
L'homme s'en va vivre son destin de taupe.
10/12/1977
Force de la Nature
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- Écrit par Traceur-rbx
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Saisir la splendeur du monde durant un crépuscule d'Été.
Voir la blancheur cotonneuse des nuages petit à petit se roser,
se disperser, s'affiner, se raréfier, pour disparaitre
au-loin dans un éclat lunaire en train de naitre.
Au cours de mes pas, je croise un panneau routier
à moitié effacé, défiguré par des craquelures rouillées.
Je passe sous un ponts de pavés marbrés
recouvert de calcaire ruisselant et fissuré,
de racines abondantes et de plantes grimpantes.
A cette vue, une idée me vient à vitesse galopante ;
pourtant évidente je n'y avais jamais songé ainsi,
l'Homme et tout ce qui en découle se meurtri
tandis que la Nature croît petit à petit.
Par nos constructions elle ne cesse d'être ralenti
mais alors qu'il nous faut des tonnes de matières,
des milliers d'ouvriers et du savoir-faire ;
il ne lui faut que de l'eau, de la terre et du temps,
pour renaitre de nos destructions inlassablement.
Vois comme ces racines ont creusé ce marbre,
vois comme sur cette gouttière pousse un arbre.
Elle effleure, pénètre, et creuse de sa force
la matière bien plus épaisse que l'écorce.
Cette énergie ne vient pas de son poids ou de sa puissance,
mais de l'essence même de la vie : la patience.
Les fleurs.
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- Écrit par doucepoesie
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Poème sur les fleurs
Les fleurs sont si fragiles et si belles
Elles sont gracieuses et merveilleuses
Elles paraissent tellement spirituelles
Ces fleurs magnifiques et si glorieuses
Â
Elles nous envahissent de leurs doux parfums
 Sur tous les sentiers et sur tous les chemins
Elles embellissent l’environnement doucement
Nous apportant la paix et la sérénité également
Â
Oui ce sont bien sur un présent de notre Dieu
Nous l’offrant doucement avec bonté des cieux
Pour dans ce monde de brut offrir un peu de joie
Nous apaisant dans la douceur, nous mettant en émoi
Oh oui comment ne pas aimer ainsi toutes les fleurs
Qui nous apportent autant de chaleur dans le cœur
Nous montrant combien Dieu est bon dans son amour
Car Dieu nous aime et ne veut que notre bonheur toujours.
La tempête, puis le soleil.
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- Écrit par doucepoesie
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La tempête, puis le soleil
Flic flac, la pluie tombe tout doucement
Mais quand soudain le tonnerre gronde
La pluie redouble et tombe fortement
Oui c’est ainsi que la pluie nous inonde
Le vent se mêlant à la fête avec force
Il souffle, sur son passage tout s’envole
Les nuages noires filent bien sur en renforce
C’est ainsi que la tempête sur la terre s’affole
Mais quand la tempête redouble d’effort
Tout se déchaine encore plus sur la terre
Le temps devient pour nous vraiment inconfort
On pourrait imaginer un tremblement de terre
Soudain la tempête passe faisant ainsi la place
A un soleil radieux d’avoir vaincu la tempête
Même si parfois l’air parait un peu de glace
La tempête est partie le soleil sur la terre fait la fête.
bruissements
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- Écrit par raymonde
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Je regarde les arbres danser au son de l’air
Ebouriffés ils se déhanchent octogénaires pédants
Les doigts vaporeux du vent cueillent la sphère
Des feuillages ravis à l’obole du temps
ÂLes branches croisent les sentes d’indifférence
Des feuilles qui savourent leur liberté soudée
Irrésolues, du vide ,elles absorbent la cécité
Au pied de l’arbre elles fusionnent la sentence
ÂEt les arbres dansent, par l’extase enracinée
Ils simulent l’amnésie des devoir qui s’oublient
Le soir, doucereux les aborde, messieurs
De la décence cessez toute fantasmagorie
ÂLes arbres hèlent les feuilles serties dans l’insolence
Petites réintégrez vos branches, débute votre faction
Les feuilles obéirent un chant accompagna leur vrille
Un chœur d’oiseaux bleus et translucides les invitait
ÂRaymonde verney
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...