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Écrit par Tnowa

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 5 octobre 2010

Création : 6 octobre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2634

Sans toi

Sans toi, la solitude me gagne et remplit mon temps.
Le goût de la vie se noircit, mais je vis malgré tout
Sans rire, sans joie, je deviens triste, je deviens lourd,
Ton visage me manque, mes pensées se souviennent de ta présence.
Sans toi, je ne sais plus parler, ni danser, ni chanter,
Mes larmes coulent, j’en perds toutes les saveurs,
Je m’ennuie de tout, jusqu’à mon avenir sans couleur,
Mes joies et mes passions se défilent, j’en oublie de rêver.

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Écrit par amabedi1

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 29 septembre 2010

Création : 30 septembre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2737

 

 

Ce jour-là que je conserve les images,

Ce jour-là que le ciel s'ornait des beaux nuages

Est la journée mémorable où j'ai en Revenge

Eu ton message tel dans un songe étrange:

''Je t'aime aussi.'' J'ai perçu l'arrivée d'Ange

Dans ma vie. Ce jour-là les étoiles au ciel

Eurent un vif scintillement brusque et partiel

Au contact de ta bouche qu'arrose du miel

En guise de salive; ornée de deux appâts

En tant que lèvres. Ce jour-là que pas par pas

Je croquais avec appétit tel un repas

Ton affriolant, délicieux, esthétique corps;

La chaleur oppressante perdit son record

Soudainement. J'étais ainsi absolument mort

De plaisir. Tout pareil aux bébés qui mangent

Leurs plats favoris et se sentent aux anges,

Je suçais passionnément comme l'orange

Ces deux grosses et captivantes collines

Aiguës à leurs droites cimes où domine

L'excitation, les seuls endroits qui s'inclinent

Lorsque si excité et détendu je le presse,

Caresse comme un citron puis mes détresses

S'émoussent. Cependant, des cris d'allégresse

S'épurent puis m'affolent. Enfin, j'ai compris

Que l'amour sincère et profond n'a pas de prix.

Ce jour-là est donc gravé dans mon cœur y compris

Dans mon âme. Ce onze juillet est un doux jour,

Oui meilleur jour que je me souviendrai toujours.

Ecrit par Amitie

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Écrit par Anona

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 1 octobre 2010

Création : 2 octobre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3306

Tu es l'Aube naissante au front de mon Désir;

Tu es l'Aurore vive au cortège des Heures.

Il n'est en toi, Mamour, ni Mal-Heur et ni leurres

Et ton minois charmant n'éveille un déplaisir.

Tes yeux sont des soleils et j'en viendrai saisir

Les moindres rayons d'Or en  ton Coeur, ma demeure,

Et en ton âme, mienne en l'Union qui ne meure,

L'Hyméné.e s'élève et ne s'en vient gésir!

Ton Corps est le " Secret " de ma féminité;

Tu es ma Demi-Heure au cours du Temps qui passe;

Tu es ma Vibration quand mon echo trépasse!

Ton Être est la moitié de mon âme orpheline

Et m'envoute ton charme en sa rondeur féline;

Tu es le Fil tendu de mon Eternité...!

*

ANONA

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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 24 septembre 2010

Création : 25 septembre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 4038

 

Quand enfin je me repose

Quand enfin l'aube pointe au loin

Je retombe dans ma prison rose

ou les étoiles écarlates sont de simples points

Quand tu prend ma main pur l'embrasser

Et que tu dit seulement jouer

Quand tu caresse mon bras

De ton doigt délicat

Je vois les portes du paradis

Et quand cet étreinte finit

Je retombe dans mon cachot d'amour

Ou la lune reste toujours pourpre

Je ne peut pas me contenter de quelques minutes

Mais quand enfin je me rappel qui tu est

De toutes ces filles qui tu a l'habitude de courtiser

Et quand sur moi tu t'exécute

Pour finalement oublier

Moi qui te désire

Comme les flammes désirent le bois desséché

Tu me devine dans un petit soupir

Et tu me regarde de tes grand yeux

Cette oppression me fait sourire

Et tu te détache de moi, tu semble t'éloigner au plus loin que tu peut

Loin dans la salle et tu me fait un faux sourire

Je ne serais jamais si le petit bout de papier qui contenait deux simples mots

Sont toujours valable 3 ans après

Alors que tu m'a sûrement oubliée

Si seulement on pouvait revenir en arrière, juste un saut

Pour que ma réponse devienne un oui sans que je sois troublée

Mais je reste dans ma prison rose

Dans mon cachot d'amour

m'accordant seulement quelques pauses

Que tu dessidera avec humour

Alors que je m'enferme

Dans mon cocon d'amour.