Quand enfin je me repose
Quand enfin l'aube pointe au loin
Je retombe dans ma prison rose
ou les étoiles écarlates sont de simples points
Quand tu prend ma main pur l'embrasser
Et que tu dit seulement jouer
Quand tu caresse mon bras
De ton doigt délicat
Je vois les portes du paradis
Et quand cet étreinte finit
Je retombe dans mon cachot d'amour
Ou la lune reste toujours pourpre
Je ne peut pas me contenter de quelques minutes
Mais quand enfin je me rappel qui tu est
De toutes ces filles qui tu a l'habitude de courtiser
Et quand sur moi tu t'exécute
Pour finalement oublier
Moi qui te désire
Comme les flammes désirent le bois desséché
Tu me devine dans un petit soupir
Et tu me regarde de tes grand yeux
Cette oppression me fait sourire
Et tu te détache de moi, tu semble t'éloigner au plus loin que tu peut
Loin dans la salle et tu me fait un faux sourire
Je ne serais jamais si le petit bout de papier qui contenait deux simples mots
Sont toujours valable 3 ans après
Alors que tu m'a sûrement oubliée
Si seulement on pouvait revenir en arrière, juste un saut
Pour que ma réponse devienne un oui sans que je sois troublée
Mais je reste dans ma prison rose
Dans mon cachot d'amour
m'accordant seulement quelques pauses
Que tu dessidera avec humour
Alors que je m'enferme
Dans mon cocon d'amour.
Commentaires
j'ai bien aimé " Comme les flammes désirent le bois desséché " C'est comme un aveu, t'aurait il dragué que pour ton physique
Amicalement scotty
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