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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 28 juin 2010

Création : 29 juin 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3284

Désormais je te regarderais partir

Loin, si loin de moi, toi ignorant

Tout de mon secret, ignorant,

De cet amour que je vais fuir !

 

Le coeur serré je te regarderais partir,

Cachant la douleur de cette décision

En moi, dans mon âme, tout au fond...

 

Je ne sais pas si on aurait pu être heureux,

Pardonne moi, je n'en ai pas eu le courage...

Je ne peux que redouter un possible mirage !

Peut être qu'en amitié... oui on poursuivra ce jeu !

 

Je te regarderais partir sans regrets

Ou presque. Nos liens dureront ainsi, toujours,

Adieu donc, adieu ce fol et irraisonable amour !

Ainsi je serais seule gardienne de mon secret.

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Écrit par Bapam

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 27 mai 2010

Création : 28 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3013

Toi le petit ange blond.

Quand nous t’avons vue notre cœur a fait un bond.

Tu nous as gratifié d’un large sourire.

Ton charme nous a conquis.

 

Nous étions ravis et heureux.

D’avoir une petite sœur, ton frère était joyeux.

Il réalisa aussi que tu serais une rivale.

Nous lui disons «  regarde comme elle est joviale. »

 

Nous avions beau le rassurer.

Il se refermait et restait borné.

Il disait «  pas besoin d’une sœur. »

L’idée de partager ses parents lui faisait peur.

 

Toi mon ange blond aux yeux bleus.

Tu étais là et nous étions heureux.

Notre vie était comblée.

Nous avions un nouveau bébé.

 

Alexandre et Angélique.

Vous nous avez choisi et c’est magnifique.

Après tant de souffrance.

Et de malchances.

 

Dans notre désir de procréer.

La providence venait nous sauver.

En nous donnant le droit d’être parents.

Et d’avoir deux beaux enfants.

 

En nous dirigeons.

Sur le chemin de l’adoption.

Angélique ma fille.

Tu es une étoile dans notre  vie qui brille à l’infini.

 

Je te remercie de nous avoir acceptés.

Vous êtes mon bonheur et ma fierté.  

 

 

Bernard Perez

 

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Écrit par Anona

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 18 juin 2010

Création : 19 juin 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 4220

Amour, mon charme, joie pérenne,

De mes yeux, la prunelle chère;

Amour, mon Ange, roi ou reine,

Sang de mon sang, chair de ma chair.

*

Amour, mon petit, mon Enfant

Joyeux et toujours étonné;

Amour, mon Ange à l'olifant,

Ecoute ce chant entonné:

*

"Amour heureux qui grandira,

C'est l'hymne sacré de l' Enfance;

Amour, gaité, mon Espérance,

Toujours mon coeur te le dira!"

*

ANONA

*

- Le Chant d'une Mère à son Enfant -

(Au jour de la SAINT AMOUR)

 

 

 

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Écrit par Bapam

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 27 mai 2010

Création : 28 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2432

 

 

Fils d’agriculteur.

Mais tu rêvais d’être transporteur.

A l’âge de 20 ans.

Tu démarres ce nouveau métier confiant.

 

Au détour de la vie.

L’amour t’a conquis.

A tes yeux Carmen  est la femme que tu attendais.

Vous  êtes unis pour l’éternité.

 

Tout de suite une petite fille est née.

Fruit de votre amour passionné.

D’année en année.

La famille grandissait.

 

Jusqu'à avoir 4 enfants.

Tu les as élevés à la sueur de ton front.

C’est vrai que tu ne rechignais pas a la besogne.

Tu travaillais de l’aube au crépuscule sans vergogne.

 

Dans ton travail malgré toute la peine que tu t’es donné.

Par la rudesse de l’époque tu n’as jamais réussi à développer ton activité.

Là dessus, la guerre civile est arrivée.

Craignant pour la vie de ta famille en Algérie tu as immigré.

 

Arrivé dans ce nouveau pays sans maîtriser la langue

Tu as fais face à toutes les embûches du courage tu ne fus pas en manque.

Tu reprends ton travail de transporteur.

Après des journées épuisantes tu rentres le soir en sueur.

 

Découragé par ce métier  épuisant et donnant de maigres revenus.

Au travail de la terre tu es revenu.

La besogne était dure et harassante.

Tu ne te plaignais  jamais tu étais vaillant.

 

Un soir en soignant les chevaux.

Tu as été blessé par un coup de sabot.

Touché grièvement à la tête.

Tu  es dans le coma ton épouse est inquiète.

 

L’amour et l’attention de ta famille.

Te réconforte et ramené à la vie.                                                                                            

                                                             Ber nard Perez