Je me souviens que c'était dans les débuts
D'un Automne encore bien généreux en chaleur,
Je me baladais avec toi avant qu'IL ne tue
Ton pauvre coeur, ce cristal si fragile, oh malheur !
Â
Je me souviens que nous étions devant le porche,
De notre lieu d'études, je te parlais et tu ne répondais
Plus. C'est alors que j'ai vu ce qui à vif écorche,
Un amour auquel dur comme fer et éternel tu croyais !
Â
Que j'ai eu mal pour toi quand j'ai finalement compris,
Qu'il était le jeune homme qui emballait cette fille jolie,
Et quand je t'ai vu silencieuse, contenant tes larmes...
Â
Allons mon amie, ne pleure pas, je t'en supplie,
Je déteste te voir ainsi... il le paiera à haut prix,
Tourne la page, et laisse s'achever ce sinistre drame...
Commentaires
Merci pour cette page cruelle
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