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Écrit par BelleDeNuit

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 16 juin 2008

Création : 16 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2768

 

J’errais dans ma vie en somnambule

Ne sachant m’amarrer, en dérive sur les rives

En recherche de nouveauté, d’un cœur esseulé

Qui pourrais m’apporter

Ce bonheur désiré que je désirais partager

De mes larmes écoulées depuis des années

A pleurer sur mon sort

Vous rendant responsable de mon infortune

De part mes yeux mouilles, gonflés et aveuglés

J’avançais dans la vie en faisant de grands pas

Armée jusqu’au dents, mais plus de sentiments

Je déplaçais des montagnes

Que je voyais devant moi

Armée de ma tristesse et convaincue cette fois

Que rien ne m’atteindrai plus jamais

Mais il faut parfois tomber bien bas

Et regarder à l’intérieur de soi

Nos fautes, nos faiblesses

Qui faisait de moi

Cette proie facile pour des êtres sans foi

Une seule rencontre suffit parfois

A voir ce que soi-même on ne vois pas

Je ne vous en veux pas

Et vous pardonne en cela

Car de ses malheurs et de vos rencontrent sans cœur

Le mien a grandis en cela

Je ne sais aujourd’hui ou il me conduit

Juste ce que je cherchais était en moi dissimulé

Sous mes dehors de brutalité, de femme réservée

Ayant peur de nouveau d’aimer

J’ai par de cette rencontre avec moi

Découvert une béauté, bien dissimulée

Celle qui est la en moi, en mon coeur

Et que je cherchais en dehors parfois

MERCI A vous qui avez traversé mon chemin de vie

En prenant une partie de moi à chaque fois

J’ai encore à donner, j’ai encore à aimer

Différemment sans doute cette fois

Car je me suis retrouvée

J’ai réappris à aimer, à m’aimer

Soyez bénis et non maudits

Ce jour je vous dit »MERCI »

 

BELLEdeNuit 16 JUIN 2008

 

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Écrit par BelleDeNuit

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 12 juin 2008

Création : 12 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Quelques mots


Ô comme je vous vois parfois murmurer
Tant d épreuves vécues, de dévouement et d’altruisme,
Disons le franchement d’amour tout simplement.
Pour quelques miettes espérées à travers un sourire
Ou juste une main tendue vers un refus constant,
Que la vie serait belle si on oubliait seulement
Nos soucis, nos inquiétudes de l’appel de l’amant,
Qui devenu bénéficiaire…et nous voit transparent.
Comme j’aimerais vous prendre en mon sein
Vous dorloter, vous nidifier, ou juste vous parler.
Petit, grand, vieux, beau qu’importe l’apparence,
Votre cœur lui est identique, aucune différenciation.
Certaines valves parfois à changer
Une pile pour vous amarrer
Sur cette terre ignorante,
Alors que tout serait admirable
De nous dire des « je t’aime »
Du lever au coucher.
Le voisin, le postier, le boulanger,
Que dirait toute cette assemblée
Si vous leur exprimiez « je vous aime »,
Ils regarderaient hébétés en disant ils sont fous !
Dire je t’aime comme ça, je ne vous connais pas.
Ce sont des fous d’amour
Des fous de l’amitié et d’affection,
Des fous sachant conjuguer le verbe Aimer.
Hé bien ce jour je vous le dis
Voisin, postier et boulanger,
Vous inconnu rencontré dans la rue,
Ils vous font un sourire
Vous invite à l’exprimer
Et pourquoi pas à l’accomplir
Cela ne vous coûtera rien,
Ne vous grignoteras pas votre pain.
Que je vous aime vous camarades de beauté
Que je vous vois irradiés en ce soleil d’été,
Qu’importent les nigauds
Sans sourire et ces mots
Qu’ils apprennent à l’exprimer
Et l’Univers sera plus beau.


MARIE

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Écrit par BelleDeNuit

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 14 juin 2008

Création : 14 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Je t’écris ce soir, mes ressentis de toi

Que tu me demandes parfois

Mais que tu ne croirais pas

Si de ma bouche jaillissais

Au delà de ta plastique

Du charme qui se libère de toi

Je te contemple et distingue

Au delà de cela

Oui je me suis permise

Sans déplacer crois moi

Aucunes parcelles en toi

De me rejoindre en toi

J’ai découvert tes blessures

Que derrière ta retraite

Derrière ton assurance

Tu dissimules bien ma foi

J’ai découvert tes appréhensions inconscientes

Derrière ton visage de soie

De tendresse cachée par une portion de rudesse

Dissimuler dans ta partie de féminité

Cette fierté masculine que j’aperçois

De t’abandonner à être aimer

Que tu as renié

De part ton vécu d’antan, pas très charpenté

Un peu éparpillé, avec un besoin de liberté

Et de te fonder un foyer, sans être enchaîné

Mais respecter, admirer, aimer

Juste pour toi, je te respecte en cela

Et je suis fière de cet homme la

Désire tu toi uniquement de moi

La douceur de mes bras

Le toucher de ma peau

Je ne pense simplement pas

Je te regarde tu vois Au delà de ces instants magiques ma foi

Et nous voient dans 10 ans et au delà

Les sillons de ton visage un peu plus convaincus

Cette façon moins alerte à nous déplacé

En espérant ne pas avoir ramasser une saleté

Je vois au-delà, mon amour pour toi

Ton âme qui ne permute pas

Et tes yeux amoureux inlassablement de moi

Mon amour et ma protection vers toi

Continuellement être avec mon amour de toi

Et non la l’apitoiement d’un être en déclin

Voila ce que je suis et discernes

En intérieurement de toi de moi

Tu ne liras certainement pas ces pensées la

Mon amour de toi en clandestine

Ta liberté est la de je te laisse…..qui sais peu être… venir vers moi

Je n’ai rien d’autre à t’offrir de moi

Excepté mon cœur et mon âme ouvert vers toi

Et si un jour on te sollicite la haut avant moi

Ne me ligature plus ….. D’être sans toi

Isolée …ici….perdue….rappelle moi

Finalement la haut où je serais avec toi

J’oserai te dire mes ressentis

Eternellement nous serons………

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Écrit par BelleDeNuit

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 12 juin 2008

Création : 12 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Je ne sais que te dire

Je ne sais plus qu’écrire

Ma solitude me désagrège

Je voudrais m’envoler

Recevoir tes baisers

Mais cette peur qui me ronge

Peur d’être abandonnée

Lorsque tu auras dégusté

Mes baisers framboisers

Et pourtant

Mes lèvres t’appellent

Rejoignent les tiennes

Mes plus infimes pensées

Tu les as grignoté

Ma chasteté est encore la

Et toi si proche de moi

Et au fond de moi

Je ne désire que toi

12 JUIN 2008

BELLEdeNuit