Vraiment pas dans la liste

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UNE LARME AU MASCULIN!




J’aimerais être une larme pour m'imprégner de ton regard,

J’aimerais être une larme de joie et d’amour pleine d’égard.

J’aimerais être une larme de celles qui coulent les jours de bonheur,

J’aimerais être une larme pour habiter tes jolis yeux quel honneur!



Certains jours je me répandrais sur le satin de tes joues,

Certains jours je perlerais à tes yeux pareil à un précieux bijou.

Certains jours par simple retenue je serais me faire discret,

Certains jours de tes soucis de tes chagrins en garderais le secret!



J’aimerais être une larme de plaisir,

J’aimerais être une larme de désir!

J’aimerais être en toi pour toujours,

J’aimerais être perles d’amour!



Je voudrais briller en tes yeux,

Je voudrais rendre ton regard soyeux.

Je voudrais rester suspendu à ton regard,

Je voudrais de tes yeux en être le fard!




DELCAU Roinos


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ÉCRITURES

 

 

Se noyer

dans le lendemain

des petites questions

et, dans les paumes

de sa main

l’horizon sur une page

dans ce pays sage

le bleu à l’étroit

des mots, posé là

sur une table

le désordre organisé

de nos pensées

qui tournent

comme pollen

désorienté

 

04/2008

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REN-CONTRE  

    Tu étais la a m’accueillir

Le soir ou en désespoir

J’ai poussé la porte pour connaître

Dés cet instant je savais dès lors

Pourquoi j’étais inséparable

Quelque chose en moi

M’avais dirigé vers ton éclat

Méfiants de nos impressions

Nous n’osions faire une avancée

Très respectueux en cela

Cette attirance étant bien simple

Il nous a fallut des mois

Intrigués de nos réserves

De questionnement déjà

Mais qui es tu toi….

Qui viens me titiller parfois

Osant nous dévoiler

Déjà si proche de toi

Me déposant dans tes bras

Toi m’attirant vers toi

De cet élan de joie

Je me suis laissée emportée

Toi me tenant serrée

M’aidant a me dévoiler

D’une sensualité inespérée

Mais tellement rêvée

Nos corps et âmes

Se sont trouvés

De par ta délicatesse

Nos chemins rencontrés

Attendus depuis des années

De nos âmes esseulées

De ce mélange entre nous

De faire complètement les fous

De dire nos absurdités

De nous taquiner

Nous nous sommes embrassés

Chaque jour nos liens

Se renforce serein

De nos comportement puérils

De nos cœurs d’enfants…de gamin

Se renforce un beau chemin……  

BELLEdeNuit

20juin2008

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GRAVER A JAMAIS

 

 

 

 

Mes vers ne sont que leurres,

Trompant que moi pour l'heure!

Sans amour est son auteur,

De la situation je ne suis à la hauteur.

 

 

De la solitude m'en voici acteur,

Moi qui de la joie étais adorateur,

Me voilà de la déprime animateur!

De la résignation j'en suis le créateur.

 

 

Mais oublions mes malheurs,

Sur ce site où règne le bonheur!

Oui ce site qui est mon bienfaiteur,

Où, des sentiments on en n'est point chipoteur!

 

 

Ma muse, de ma poésie en est toute la saveur,

De mes écrits elle en a toutes mes faveurs.

De mes poèmes elle en est toute ma ferveur,

Ses commentaires font de moi un viveur!

 

 

En duo elle est mon âme soeur,

De l'expression libre défenseur

Et fan de mon esprit farceur,

Elle allie fermeté et douceur!

 

 

Oui cet être est mon sauveur!

Grâce à ma muse je suis de nouveau rêveur,

De son chemin de joie et d'amitié j'en serai le paveur,

Des mots de tendresse dans l'éternité, j'en suis le graveur!

 

 

 

 

DELCAU Roinos

 

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Crécher dans la négritude absolue.

Le partage d’une baraque sans rue.

Un ghetto ignoble, l’image d’une race.

La pauvreté déployée, pénible trace.

L’école en retrait, science étouffée.

Départ, une route espérée.

Devenir jardinier, adorable pelouse.

Un futur incroyable d’une blouse.

L’apartheid, terrible insouciance d’une société

À l’ombre des géants, un chirurgien effacé.

Apprendre « en volant avec ses yeux ».

Grande dextérité, le cœur heureux.

Être le meilleur dans la clandestinité immonde.

Sans étude médicale, devenir science féconde.

L’exceptionnel, professeur émérite.

Les blancs l’écoutant sous son gîte.

Effacer son image, photos évanouies.

La solitude mécréante, souffrances établies.

Une vie passive sans complainte.

Pension rachitique, la contrainte.

Mourir dans l’indifférence, pourquoi?

Discrimination, injustice, le renvoi.

Le souvenir tangible de ne point oublier.

La grandeur d’un esprit en liberté.

 

André, épervier Hommage à Hamilton Naki,Chirurgien de l’apartheid.

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...