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Écrit par zitoun

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 28 novembre 2009

Création : 28 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2513

Venez je vous invite,

A partager mon pain,

Ravie de votre visite,

Je me ferai bon tain.......

Vous parlerez de vous,

Je parlerez de moi,

Enfin, on dira tout,

Tout ce que l'on voudra......

De nos petites misères,

Jusqu'à nos plus grandes joies,

De ce monde à refaire,

Bien sur comme il se doit......

On aura comme complice,

Pour toutes nos confidences,

Un verre rempli d'anis,

Pour forcer la confiance......

On aura presque tout dit,

Bien avant le café,

En ayant parfois ri,

Ou même parfois pleuré.....

Mais le plus important,

C'est que vous soyez là,

A m'offrir ce moment,

Vous livrant devant moi......

Vous garderez j'espère,

Au fond de la mémoire,

Une espèce de lumière,

Qui ressemble à l'espoir......

Sachant que moi aussi,

Je suis tout comme vous,

Solitaire de la vie,

Et que je pense à vous......

Christian Guerin Caron

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Écrit par Cardeal

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 27 novembre 2009

Création : 27 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1793

Refrain

Tania, t’as pas l’droit

T’as ni l’droit de m’dire ça

Ni l’droit de m’faire ça

Tania, t’as juste le droit

De m’dire oui

Pour danser avec toi

Couplet 1

Tas le droit,

Quand j’te prendrai dans mes bras

De rougir

Et de rire aux éclats

T’as le droit

D’refuser d’être heureuse

Quand tu seras

Accrochée à moi

Mais si jamais

C’est le cas

C’est que j’n’aurais pu être

A la hauteur de toi

T’as le droit

D’m’engueuler

Si par malheur

Je ne file pas droit

Mais t’as aussi l’droit

D’m’aimer

Un peu plus chaque jour

Que la vie fera

Refrain

Couplet 2

T’as pas l’droit

D’me proposer des rencarts

Si ce n’est

Avec toi

T’as pas l’droit

D’éviter mes regards

Qui te lancent

Des messages comme ça

T’as pas l’droit

De sourire autant

Quand on discute

Toi et moi

Non j’déconne

C’est quand t’es comme ça

Que mon cœur

Ne s’arrête pas

Refrain (remplacer « danser » par « valser »)

Couplet 3 (rythme valse)

J’ai pas l’droit

De te dicter tes pas

Dans ce rêve de vie

Avec moi

J’ai pas l’droit

De te dire tout ça

Puisque nous deux

Ca n’existe pas

J’ai pas l’droit

D’être malheureux pour ça

J’n’ai qu’à faire

Le premier pas

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Écrit par lonesomemao

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 28 novembre 2009

Création : 28 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1454

LE DOYEN DE LA POESIE

Malgré les courbatures inévitables

Malgré les rhumatismes éventuels

Malgré une prostate

Qu’il a ou qu’il n’a pas

Cela ne vous regarde pas

Il ignore tout ça

Et il est là présent

Dans son art géant

En doyen de la poésie

A double titre

N’est-ce pas Monsieur Gilles Defacque

Et lui le clown de la vie

Sur le plateau télé

Où chacun a pu le voir

Prendre de la hauteur

A osé évoquer

Dans des mots simples et percutants

La fin d’un empire illégitime

Un poète dissident

Qu’il a rencontré

Dans l’atelier dense de la folie

Pour saluer son courage ample

Qui se veut être juste un sourire

De bienvenue dans la liberté

Ose lui léguer

Gentiment et spontanément

Cet éloge ravi

Pérenne pour un certain Monsieur Gille Defacque

Doyen et gardien d’un rêve qui a conquis

Samedi 28 novembre 2009

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Vraiment pas dans la liste

Publication : 27 novembre 2009

Création : 27 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1628

Tu es ma complice de ces nocturnes veillées,

Tu es cette amie qui jamais ne fait faux-bond,

Tu supportes mon despotisme, telle une fanatisée,

Ton action illumine des devoirs tournant en rond !

Je t'éveille à tout moment et jamais tu ne te plains,

Tu illumine ma pensée et par ton rayonnement mon stylo

Trouve sa route vers les sentiers de la page au dessus du lot.

Et comment pourrais-je me passer de toi, qui courbe le dos

Si bien devant mes incessantes exigences, par ces quelques mots,

Que justice te soit rendue et que tu récupère la dignité dont tu as besoin.

Jamais chômeuse, jamais en grêve, supportant les caprices furibonds,

De ta responsable en chef, si bonne asssitante dans mes études acharnées,

Sur mon bureau tu siège en reine et veille sur les papiers et nombreux brouillons,

Oh bonne servante, esclave de l'électricité ! Oh bonne partenaire, lampe de chevet !