Culture, Pays, Région

Poème sur un pays, la terre natale, une région

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Haïti.

 

Ile paradisiaque.

A la végétation luxuriante.

Frapper par un destin démoniaque.

Qui fera couler ton histoire sanglante.

 

Début janvier 2010.

Un séisme de forte amplitude.

Ravage les villes et tue tes fils.

L’assaut des cyclones tu en as l’habitude.

 

Des femmes et des enfants ensevelis sous les décombres.

D ’autres errent entre les ruines comme des ombres.

Les enfants pleurent de douleur le ventre vide.

De part le monde l’aide alimentaire se décide.

 

Un mois après les Haïtiens meurent encore de faim.

Les blessés et traumatisés meurent par manque de soins.

Port aux princes toi qui fût une capitale.

Aujourd’hui tu es dévastée par un destin fatal.

 

Malgré les cris et les pleurs l’aide, alimentaire

Tardent à arriver à nos amis nos frères.

Les hommes avec leurs tracto pelle

Vont te nettoyer et resteront attentifs à tout appel.

 

Les gens de bonne volonté.

Adoptent des enfants abandonnés.

Comme damnés par les éléments enragés.

L’îles de nouveau a été frappée par un cyclone endiablé.

 

Dépêchez-vous hommes de bonne volonté.

Car après la souffrance l’épidémie var bientôt s’acharner.

Les pauvres gens harcelés par des individus sans scrupule.

Qui avec violence dérobent leurs maigres pécules.

 

Les armes en mains, ces détrousseurs ils les tuent.

Pour servir d’exemple ces cadavres traînent dans les rues.

Les enfants jouent dans tous se marasme de misère

Sans père ni mère dans la poussière ils errent.

 

Bernard Perez.

Poème écrit en hommage aux victimes d’Haïti

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L’homme.

Fils de l’univers.

La terre t’a adopté les bras ouverts.

En son sein elle t ‘a laissé faire.

Tu t’es adapté et proliféré.

D’abord amibe dans l’eau.

Tu as su t’adapter et sortir des flots.

Tu es apparu sur le continent africain.

Tu sors du monde des requins.

Sur terre tu as l’apparence du singe.

Mais très vite tu fais marcher tes méninges.

Par ton intelligence tu te hisses au sommet de l’évolution.

Du même coup tu règnes sans partage ni concession.

Tu découvres le feu et sa vertu.

Il te réchauffe car tu es peu vêtu.

Tu évolues et réfléchis à la façon de chasser.

Pour cela tu inventes la sagaie.

Mais comme tu es stupide et cruel.

Tu cherches même à tes frères des querelles.

Par la suite tu découvres le fer.

Voyageur tu pars à la conquête d’autres hémisphères.

Artisan tu fabrique des outils.

Tu cultiveras la terre et cueilleras les fruits.

Ton intelligence est en évolution sans cesse.

Tu es médecin des pauvres et princesses.

Ton savoir est si grand tu cours à ta perte

Auprès de mère nature tu contracte des dettes.

Les hommes pauvres fous que nous sommes.

Nous agissons sans vergogne et dans l’ombre.

A l’aube du vingtièmement siècle nous prenons conscience de nos écarts.

Malheureusement peut-être est-il déjà trop tard.

A nos petits enfants nous risquons de leurs laisser une planète stérile.

Vers d’autres étoiles ils iront en exil.

Bernard Perez.


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L’oiseau lançait sur tous les côtés
Suspendu, confus, entre la terre et le ciel
Toi, tu as été pour le monde le sens de la vie
Maintenant, pourquoi ton rôle est démoli ?
Oh ! Irak, la vie est enterrée
Toutes les nuits oh ! Mon cher sont obscur !
Lève ! Pour essuyer la larme d’el fourrât
A cause du chagrin pour Dégela
Al fourrât a perdu la vue
Et natte ! Les cheveux de toutes les filles
De peur que les étrangers l’arrangent……
Nous voulons passer la nuit entre ses bras
Et nous dormons une seule nuit, oh ! Notre protecteur !
Tout le monde se réveille sur le lieu des fleurs et la voix des oiseaux, on souhaite le bon jour
Sauf l’Irak. , on ce moment se rencontrent le matin à la voix des lances qui ne sèche pas la blessure
Pourquoi votre mères oh ! Ma patrie ! Ne reçoivent pas une bonne matinée ?
Et ton bébé se lève le matin par le sang de son père ?
Nous apprenons sauf entendre la nécrologie et le tombe de l’oiseau
Je ne peux pas essuyer ma larme
Ils ont égorgé nos oiseaux
Mais ils ont laissé les siens sauves
Tous les pays se sont mis d’accord
Ce qui aime tuer la direction l’Irak. ?
Est-ce que tu es obligé de tuer un iraqien ?
Je veux savoir qu’est l’impie ?
Oh ! Ils oublient le dôme d’Ali, ton jeûne ! Ta prière ! Ton invitation ! Ta louange à rosaire !
Aussi la mère de pont qui dessine un joli tableau entre les chiites et les Senis.
Oh ! Quel jour ? Nous reposons …..
Combien du temps ? Nous goûterons le goût de la joie comme les gens…


HAMED EL GHARBAOY

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Berceau de ma naissance.

Ta douceur de vivre et ta nonchalance.

Je me rappelle ton école.

Ou nous allions contents le cartable sur les épaules.

 

Les grandes promenades sur le boulevard national.

Le soir sur la terrasse des cafés il y avait des bals.

Nous nous arrêtions pour consommer des rafraîchissements.

De voir des personnes joyeuses était apaisant.

 

Le matin les adultes s’afféraient au travail.

En attendant patiemment le soir pour les retrouvailles.

Il y a aussi les plages Temouchentoise.

Nous décrivions leur beauté sur nos ardoises.

 

Tous les week-ends nous allions à la plage.

Nous flânions sur le sable en regardant le large.

La quiétude et la douceur de ce lieu.

Nous étions insouciants et heureux.

 

Du drame qui se préparait dans la pénombre.

La cruauté et le destin frappaient dans l’ombre.

La quiétude se transcendait en cauchemar.

Le pays de la domination en avait marre.

 

Sur le boulevard si paisible et accueillant.

Sur ce lieu planait odeur de peur et de sang.

En 62 il y a eu l’indépendance.

Par la force des choses nous sommes rentrés en France.

 

Nous les déracinés oui mais au tracto pelle.

Nous avons été parqués pèle mêle.

Nous les pieds-noirs meurtris par le destin.

Nous avons été accusés et mis au rang des assassins.

 

Par les métropolitains qui rejetaient sur nous.

La perte de leurs êtres cher tombés  dans un grand remous.

Qu’était la guerre d’Algérie.

Gérée par une méconnaissance de la tragédie.

 

Aujourd'hui je me suis reconstruit.

Mais à nouveau frappé et meurtrir.

                                                                                                                             Bernard Perez


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Peu importe la couleur

J’apprécie la voix

Je parts sur la ville

Pour un bokite au thon

Je suis la vague

Du rhum, j’en bois

Qui m’emmène à la marina

Je devine tes yeux éveillés

Des cheveux à tout vent

Au quel les saintoises

Ont rendues les armes

Je rince mes yeux

Au passage des gazelles

Au vol des colibris aux instants éphémères

Allongé sur le hamac de venez

Bercé par le chant du coq

Je vois la mer

Les moustiques volent bas

Le ti punch au citron vert

Je décolle à midi

J’entends ta voix

Et au crépuscule j’allume le feu

Les grenouilles entrent en jeu

Le criquet imbécile

M’empoisonne la vie

Les chauves souris s’agitent

Mais échappe du poids de la chaise

Même rci ne compte plus les morts

C’st le temps de la valse naturelle

Et celle des autres.

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...