Haïti.
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Ile paradisiaque.
A la végétation luxuriante.
Frapper par un destin démoniaque.
Qui fera couler ton histoire sanglante.
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Début janvier 2010.
Un séisme de forte amplitude.
Ravage les villes et tue tes fils.
L’assaut des cyclones tu en as l’habitude.
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Des femmes et des enfants ensevelis sous les décombres.
D ’autres errent entre les ruines comme des ombres.
Les enfants pleurent de douleur le ventre vide.
De part le monde l’aide alimentaire se décide.
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Un mois après les Haïtiens meurent encore de faim.
Les blessés et traumatisés meurent par manque de soins.
Port aux princes toi qui fût une capitale.
Aujourd’hui tu es dévastée par un destin fatal.
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Malgré les cris et les pleurs l’aide, alimentaire
Tardent à arriver à nos amis nos frères.
Les hommes avec leurs tracto pelle
Vont te nettoyer et resteront attentifs à tout appel.
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Les gens de bonne volonté.
Adoptent des enfants abandonnés.
Comme damnés par les éléments enragés.
L’îles de nouveau a été frappée par un cyclone endiablé.
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Dépêchez-vous hommes de bonne volonté.
Car après la souffrance l’épidémie var bientôt s’acharner.
Les pauvres gens harcelés par des individus sans scrupule.
Qui avec violence dérobent leurs maigres pécules.
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Les armes en mains, ces détrousseurs ils les tuent.
Pour servir d’exemple ces cadavres traînent dans les rues.
Les enfants jouent dans tous se marasme de misère
Sans père ni mère dans la poussière ils errent.
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Bernard Perez.
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