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Écrit par lonesomemao

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Le poète

Publication : 3 juillet 2011

Création : 4 juillet 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1895

 

Je ne veux plus être ce désir qui se terre

Je ne veux plus être une larme de sang

 

Je veux être Iza

Femme fabuleuse qui s’offre

En don vaste et infini

Le long d’un espoir

Qui navigue dans mes pensées

Où tout étant permis

Elle façonne ma vie se fiançant

A un homme toujours interdit

Qui lui susurre stylé par des baisers lui étant destinés :

 

Bon anniversaire, Madame la Poésie

 

Dimanche 26 juin 2011

 

 

 

 

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Le poète

Publication : 19 mai 2011

Création : 19 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2445

Ah ma chère Muse ? Où étais-tu donc passé ?

Comment ? Qu'entends-je ? Je t'aurais donc vexée !

Allons ma bonne amie, oublions un peu le passé !

Il est vrai que je t'ai quelque peu délaissée...

 

Je le regrette, mais tes douces et apaisantes paroles

Chantées ne me parvenaient plus ! Je n'ai pas rempli mon rôle,

Mais je n'ai pas vécu une période très drôle !

Alors s'il te plait, ne me juge pas depuis l'or de ton trône !

 

Oh ma reine, veillez pardonnez à votre humble servante,

Qui a été aveuglée par les ténèbres qui déchantent

Les cœurs les plus purs par des pensées bien méchantes !

 

Muse, je reconnais t'avoir délaissée bien longtemps...

Mais ma plaie est quelque peu cicatrisée à présent !

Accepteras-tu ma prière avant que je ne m'efface dans le vent ?

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Écrit par prince

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Le poète

Publication : 23 mai 2011

Création : 24 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2303

Quand tu m’as aimé, je ne pouvais perdre espoir, 
Au fil du vent, je m’en allais d’un cœur joyeux 
Recherchant le bonheur d’un amour mystérieux. 
Reviens vers moi et pourchasse mon désespoir… 
Reviens vers moi chérie, car tu es mon soleil. 

Si trône est toujours pour le roi le mieux qu’il faut, 
Et le langage au poète est une chose à merveille, 
Si robe au prêtre est tradition sans pareille, 
T’avoir près de moi est pour moi le plus beau cadeau… 
Reviens vers moi, tu es ma douce mélodie. 

Ton départ percute péniblement mon cœur, 
Oh ! Finis, de me rudoyer sans cesse déesse, 
Toi, flamme sur ma bougie d’infinies promesses, 
Etoile fulgurante dans mon ciel de bonheur… 
Reviens vers moi, tu es ma tendre symphonie. 

Mon amour jadis, et mon amour aujourd’hui, 
Loin de toi, siphonné j’en serai dans ce monde 
Où ma glace d’espoir va nettement se fondre. 
Mon amour du matin, du midi, de la nuit, 
Reviens vers moi chérie, car tu es mon soleil.

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Écrit par erik-barussaud

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Le poète

Publication : 13 mai 2011

Création : 14 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1888

 

Ils étaient là, mes ennemis,

Au festin que j’avais promis.

Je les ai vus faire bombance,

Vidant les cornes d’abondance.

 

Des hommes, des femmes, tous invités,

Comme cochons ils ont profité.

Emplissant panses, outres et manteaux,

Mais ils vomiront tout bientôt.

 

Ils se souviendront à jamais

De cette farandole de mets.

Couverts en argent, godets d’or

Côtoyaient plats chargés d’encor.

 

Des porcelets aux mille éclats

Aux gras faisans du plus beau choix.

Des fruits de la cinquième saison

Aux nectars, jus de déraison.

 

Mitonnés à n’en plus finir,

Pour rancune, ces plats vont servir.

Dans fruits, dans vins, dans viandes rôties,

Arsenic fut de la partie.

 

Repus, contents et bien en chair,

Ils sont partis vers d’autres misères

Semer leurs faims, leurs vils espoirs,

Obligeant à les recevoir.

 

Nous fûmes heureux de les servir,

Libérés de les voir partir.

Du repas il ne reste rien.

Pour débarrasser, quelques mains.

 

Seuls sont restés mes vrais amis

Au premier banquet de ma vie.