Le poète

Tout ce qui nous parlent de l'envie d'écrire et de l'âme du poète... De sa joie ou de sa souffrance, exprimées dans ces poésies...

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Lorsque j’écris

Les vers de ma poésie

Nés tout droit de mon esprit,

Puis je dépose mes poèmes

Sur des blogs de bohème

Ou sur des sites de cœurs meurtris…

Je lis comme un cri

Des contacts surpris,

Me dire de cesser tout net,

De copier coller

Ces mots nés droit de ma tête :

Alors, ma tête il faut la couper ?…

Écrire est devenu la seconde

Partie de mon être.

Cesser de le faire serait immonde !!

Autant me laisser disparaître,

Éliminer mes pensées de passions trop fécondes,

Supprimer mes sentiments de haine mon mal-être…

Lorsque j’écris

Les vers de ma poésie

Nés droit tout droit de mon esprit,

Je dépose presque tous mes poèmes

En chagrin sur mes blogs de bohème,

Cimetières de mon cœur meurtri…

C’est juste un copier coller

Pour tenter d’apporter

L’espoir à des êtres désemparés

Qui cherchent la main d’amitié,

La tendre épaule où posé

Leur tête désespérée et être juste seulement aimé…

Georges Adrien PARADIS le 04 octobre 2011 à 15h30

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Il faut être perdu dans le désert , pour savoir ce qu'est la solitude, où ne chante ni un arbre ni un oiseau, dans l'aridité des pierres ou du sable. celui qui ne connaît pas cela ne peut pas dire qu'il soit jamais resté seul. Tout le pays est blanc sous l'immense linceul, où pas un être n'apparaît, pas un seul.

Peu d'hommes s'aperçoivent de ce qu'est la solitude et combien elle s'étend; car un foule n'est pas une compagnie, et les figures ne sont qu'une galerie de portraits et la conversation, une cymbale résonnante, là où il n'y a pas d'amour. Une seule chose est nécessaire: la solitude. La grande solitude intérieure. Aller en soi-même et ne rencontrer, pendant des heures personne, c'est à cela qu'il faut parvenir.

Être seul, comme l'enfant qui demande au soleil de monter, éveille toi, soleil, monte plus haut que ma voix, plus haut que les cris de la caravane et que ceux du simoun qui veut enrouler sur ta face d'or le voile noir semblable à celuide la nuit.

Je t'adore soleil! Ô toi dont la lumière, pour bénir chaque front et murir chaque miel. Entrant dans chaque fleur et dans chaque chaumière.se divise et demeure entière ainsi que l'amour maternel.

Il n'y a plus de solitude là où est la poésie. C'est ainsi que le poête est à la fois le plus solitaire et le moins solitaire des hommes.

Lis quelque humble poête dont les chants ont jailli du coeur comme les averses des nuages d'été, ou des larmes des paupières.

J.C

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Je suis ce voyageur.

Sans visa sans passeport.

Ma valise est ma mémoire.

Est mon stylo à la main.

Oiseau migrateur.

De chemin en chemin.

De gare en gare.

De train en train.

Je vole de la joie de la douleur.

De l’amour, la passion.

Du temps d’hier, de demain.

Je plane de fleur en fleur.

Comme un papillon.

Du passé, au futur, au présent.

Je regarde le sombre noir.

Le remord, le regret, le chagrin.

La nature, les quatre saisons.

La joie, le bonheur.

La tristesse, la lugubre mort.

Chacun de son coin.

Je pense, J’essore ma mémoire.

Je les note, point par point.

Sur mon calepin.

Je les compose de vers en vers.

Avec l’ardeur

Qui m’emport loin.

J’oublie le monde.

J’oublie ma faim.

Je parle avec mes vers.

Je parle avec mon cœur.

Avec mon imagination.

Je suis le poète voyageur.

L’ange aux milles chagrins.

L’ange a la plume d’or.

Qui vit dans le ciel.

Du soir au matin.

 

* Le 30/08/11*

 

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Je…. Ou IL.

L’autre en moi.

Ne me quittait jamais

Des semelles.

Toujours présent.

Sur ma bouche.

Proteste.

Me faisait la tête.

Me contrarie.

Aux moindres gestes.

Et à la moindre faute.

Se manifeste.

Me faisait voir.

Le blanc en noir.

Le bleu en vert.

Bourrelle mon esprit

Matin et soir.

Même dans mon lit.

N’est Jamais content.

De la conviction.

Jamais convaincu.

L’autre ou IL.

Cette petite chose.

Menait la vie en rose.

Se jactais, s’imposait.

Remettais en question.

Mes pensées, mes opinions.

Me divisait en deux.

Tissais, détissais.

Mes rêves, mes désirs.

Je… ou IL... cet autre.

Cours avec mon sang

Dans mes veines.

Dans mon âme.

M’emplissait de frémissement.

Conspirait avec mes douleurs.

Ainsi que l’ombre suivait une lumière.

Me minais de tourments, de colère.

Puis se repliait.

Je ou « IL » cet autre en moi.

Que je n’ai jamais vu.

Qu’on disait mon sosie.

Je l’abhorrai, chaque jour.

De plus en plus.

Le 24/08/11.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le poète souvent naît et grandit

Dans les pages d’amour qu’il écrit

 

mardi 13 septembre 2011

 

 

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...