vers libre

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Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Encerclé de tes bras

    Mon regard se fixe au Rien.

 

Sans nom et sans visage,

   Je ressens au fond de moi

                          Le vide de l'Eternité

 Qui me fond en ce lieu de la pensée

                                          où plus rien ne me touche.

 

De lointains souvenirs

                M'éblouissent parfois

                          De lumière et de bruit,

 

Mais en toi je m'enfuis

Refusant leurs avances,

Et résigné je reste

A ne vouloir plus rien

                              que saisir cet instant...

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Quelque part, dire où, je ne sais ! Toujours est-il

 

Qu'en une contrée, des plus retirée du monde,

 

Naguère, peut-être plus, il n'est pas facile

 

De savoir... Il y a eu, du moins c'est ce que fonde

 

Un narrateur, sur des traditions populaires,

 

Desquelles, maintes gens, volontiers prêtent oreilles.

 

Que, mais ce n'est point moi qui l'affirme, au contraire,

 

Il existait un sage non avare de conseils.

 

Ce mentor était, soi- dit en passant, hâbleur

 

Au point d'être, c'est sûr, un parfait charlatan.

 

Il était aussi, je vous l'assure, beau parleur

 

Et bien que connu dans la région, c'est autant

 

De gagné que de ne pas s'y rendre du tout.

 

Quant à ce récit, je crois qu'il vient de sa part,

 

Rien n'est plus sûr, car l'écrivain est des plus fou

 

Pour penser que l'on y jettera un regard.

 

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Je ne cesse de penser à toi,

Tu es si près de moi, dans mon coeur

Que tu remplis de tendres pensées,

Tu apportes à ma vie des souvenirs nouveaux.

 

Mais tu es si lointaine à ma peau

Qui veut une fois encore

Entrer dans ce rêve de velour,

Au pays de ton corps,

Alors que ton regard

Revient et puis repart,

Se perd à chaque fois,

Me perd à chaque fois.

 

Tu plonges au fond de moi,

Tu m'aimes,

Sur ce rideau de joie

Tu lis tout ces poèmes

Qui ont peur de te perdre

Sur ce rideau de joie

Tu lis tout les je t'aime

Que j'ai écris pour toi.

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

   

Quand  un  bouquet  de  genêts  sauvages ,

Conduisent  mes  pensées  au  pays  de  l’enfance ,

J’oppose  aux  urbaines  violences ,

Le  tendre  souvenir  d’un  bonheur  sans  nuages .

      

Sur  la  colline  bercée par  le  chant  des  cigales ,

Au  bord  des  restanques  je  me  plais  à  marcher,

Le  mistral  occupé  à  gifler  en  spirale ,

Ma  frêle  silhouette  déstabilisée.

       

Les  senteurs  du  lilas ,  aux  couleurs  empourprées,

Les  oliviers  d’argent,  dont  la  beauté  m’exhorte ,

A  poursuivre  le  vent ,  afin  qu’il  emporte ,

Mes  rêves  secrets  ,  vendangés  dans  les  prés .

     

Dans  ce  jardin  immense  au  décor  séculaire ,

Le  ciel  ténébreux  verse  une  pluie  d’éclairs ,

J’entame  en  solo  au  pied  du  figuier  tutélaire ,

Une  cueillette  de  fruits  extraordinaires

   

Caressé  par  l’arc-en-ciel  aux  teintes  rayonnantes ,

Le  seringa  m’invite  à  sentir  ses  opalines ,

Près  de  la  grille  d’entrée  aux  mélodies  grinçantes ,

J’entends  le  concert  des  cigales  en  colline .

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...