Nature

Poèmes sur la nature, poèmes écologistes...

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Après un orage d’été

Un arc-en-ciel étire sa voûte illuminée

De couleurs chaudes et chatoyantes

Au dessus des collines verdoyantes

Devant ce spectacle de couleurs

Mon imagination vagabonde

Je voie des anges chevauchants avec ardeurs

des licornes à la crinière blonde

Des lutins chantants la pioche sur l’épaule

D’un pas cadencé sur ce pont coloré

Venus de lointains atolls

A la recherche du trésor camouflé

De chaque cotés de cette enjambée

Ce regroupe des cumulus tel des mouton

Bêlant dans une course écervelée

Le berger par ce vacarme réveillé brandissant son bâton

Envoie son Patou rassemblait

Ces boules de laine effarouchées

Cette agitation sur ce pont enchanté

Invite à l’évasion loin de ce monde tourmenté

Je me souviens d’une légende

Qui voulait qu’à chaque pied !

De cet ouvrage luminescence

Ce trouvaient de vieux galions coulés

Repus au ventre tendu

De trésors oubliés

Gardé par des gnomes à l’allures taciturnes

Figés dans la froideur des abîmes délaissés

Bernard Perez.

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Tu trembles comme prise de frissons

Ta carapace craque sous la pression

En plein océan un grand remous avale la vie

Forme une vague monstrueuse le Tsunami

Qui déferle sur les plages de l’Isle

Balayant sur son passage matériaux et hommes en péril

Par sa force ébranle une centrale nucléaire

Un panache sorti des réacteurs empoisonne l’hémisphère

Dérèglement climatique

Entraîne la fonte des glaciers en antarctique

Ours blancs, phoque et morse sur la sellette

Disparition orchestrée par notre intellect

Planète bleue après avoir connu le big-bang

Qui éradiquât la vie sur terre !

Verras-tu un désastre nucléaire !

Provoqué par l’homme , qui résonneras dans tout l’univers

Serions-nous notre propre prédateur ?

Je le pense, par notre inconscience dans toute sa splendeur !

Le jour où l’épée de damocles frappera

Il serait trop tard pour tout repenti aussi sincère qu’il soit !

Amazonie poumon de la terre source de notre oxygène

Un nuisible tronçonne tes alvéoles si nécessaire à nos gènes

Il ronge ta peau à coup de lance à haute pression

A la recherche du métal jaune sa passion

Alors par un raz de marée dévastateur

La terre se nettoiera de ses miasmes inquisiteurs

Qui l a gangrenée au plus profond de son cœur !

Débarrassée de cette souillure, elle reprendra sa vie avec ardeur.

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Puissant parfum des violettes

Fleurant mes narines muettes

D'une fragrance désuète

*

J'ai peine à quitter votre sein

Téton sucé comme un bonbon

De violette - violette

*

Suave senteur de violettes

O petites fleurs si fluettes

En mon coeur brille une bluette...

***

A ces captivantes et éphémères fleurs

Fragrance suspendue au coeur de la forêt

O douces violettes du printemps naissant

Violettes de l'aube où s'éveille l'envol

- Des subtiles Essences! -

*

ANONA

 

 

 

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L’automne défait la rose comme une leçon de chose Les pétales s’étalent, parfument l’espace du jardin. Un soleil morose et pâle où les rayons se posent,

À travers l’espace triste et gris d’un petit matin.

 

 

Le murmure d’un jet d’eau vers le bassin de pierre Faible et simple symphonie qui trouble le silence Des statues de marbre tout habillées de lierre

Deux moineaux amoureux sur la branche se balancent.

 

Une jeune fille solitaire écrit dans les nuages

Des mots d’amour emportés par le temps

Un poète dans l’ombre fait partie du voyage

Le jardin met les voiles on lui souhaite bon vent.

 

 

 

 

J-J-B

 

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Par temps de neige le ciel qui perd ses pellicules

Un froid sec engourdissant endort les libellules

Le sol recouvert d’un manteau acoustique

Le bétail content libéré de ses moustiques

Les arbres et fourrés recouverts d’un blanc immaculé

A l’abri les bouquetins sur les rochers sont regroupés

L’ours polaire sur la banquise guette le Bélouga

Proie favorite qui assurera à ses petits un bon repas

Les phoques se prélassent sur une plage givrée

Les manchots royaux se regroupent en petit comité

Sous nos latitudes la neige est synonyme

De tôle froissées et blessures infimes

Les enfants excités et heureux à la vue de cette poudreuse glacée

Annonce bataille de boules et bonhomme de neige dressé

Les adultes restent rêveurs et imaginent les prochaines vacances

En station cette guirlande, blanche tombée du ciel en abondance

La grand-mère sur son rocking-chair confortablement installée

Se souvient des veillées au coin de la cheminée

Du temps où la télé n’existait pas

Les anciens racontaient la vie des lutins cachés dans les bois

Mois de décembre ultime segment de l’année

Par ta fête de Noël tu tournes une page écoulée

Les enfants endormis font des rêves douillets

Le père-noël les bras chargés de cadeaux viendra les gâter

Avec la nouvelle année on fête les rois

A la belle saison l’hirondelle viendra sous nos toits

Ainsi et réglée l’horloge du temps , poursuivant sa course monotone

Notre vie s’effeuille comme les arbres en l’automne.

Bernard Perez.

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...