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Écrit par lonesomemao

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 26 octobre 2008

Création : 26 octobre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2681

Toi

Qui m’as donné à manger

Quand j’avais faim d’autre chose

Toi

Qui as épanché

Ma soif de vérité

Toi

Qui m’as relevé

Lorsque mon cœur agonisait

Toi

Qui as conquis

Par un sourire magnifique

Ma fierté

Sombre et mélancolique

Quelle que soit ta race

Quelle que soit ta classe

Quelles que soient tes croyances

Quelle que soit ta vie

Rencontrées dans la longue marche vers le progrès

Sache que je t’aime

Dans une intégrale égalité

Sache que

Dans un combat total

Pour la liberté

Il m’arrive quelquefois

D’implorer tes gestes de solidarité

Qui sauvent et sauveront encore

Mon destin trop souvent écartelé

Et

Sache enfin

Que je t’aime

En amant innombrable

Quand transcendant

L’inertie vers un mouvement infini

Je me rassasie toujours de toi

Dans un instinct animal et raisonné

Que je sublime et sublimerai toujours

Dans une quête absolue et passionnée

Dimanche 26 octobre 2008

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Écrit par Siorg

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 12 octobre 2008

Création : 12 octobre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3222

 

Femme formidable ta vie dans le brouillard

L’amour est ton seul phare qui te guide au hasard.

Trop forte et très fragile au sein de ton destin

Tu veux aimer...haïr... Quel est le bon chemin ?

 

Femme extraordinaire au regard trop humide

Ne pas voir ton chagrin c'est être bien stupide

Et nier cette souffrance est cruel égoïsme

Car ton coeur par son coeur, subit Son despotisme.

 

Femme tout simplement, tu voudrais être aimée...

Je sais, qui suis-je donc, pour peut-être espérer...

Mais chacun de mes mots est tout à fait sincère:

N'oublie pas qui tu es, et de toi reste fier.

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Écrit par BelleDeNuit

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 21 octobre 2008

Création : 21 octobre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2919

Train de ma vie  

Vous qui avez traversé le train de ma vie

Sans le savoir sans doute vous avez contribué

A ma destinée…..

À cette vie changée…

Avec mes pleurs et mes rires

Amant d’un jour, amis toujours

Certains d’une saison…d’hiver ou d’été

Sont partis vers d’autres destinées

D’autres se sont nichés quelques années

Sous mes ailes protectrices…

D’autres encore sont passés en toute amitié

Quelques uns sont restés…pour m’accompagner

En sortie et souper on a bien rigoler…

Il eu aussi le virtuel…sans gestuel…

Males ou femelles nous avons partagé

Nos joies, nos rires et nos soupirs

A vous tous aujourd’hui

Je vous remercie …d’être entrer dans le train de ma vie

Vous qui  restez…

Qui m’apporter

Encore en chaleur nos partage de cœur

Je me suis recentrée

Je me suis aimée

Je me suis apportée un peu de douceur

Et toi qui es la…qui as contribué

A me faire avancer vers ma destinée

Je te dis un spécial MERCI

En mon cœur tu resteras ancré a jamais

Même si tu décides de ta vie à toi

Sache que je suis la, a t’ouvrir mes bras

A partager avec toi un autre bonheur

Mais toute fois permet moi de continuer

A aimer et à donner tendresse et chaleur

A mes amis de cœur qui on besoin parfois

D’oreilles et de douceur

Qu’ils sachent tous que je serai la

Quand ils auront besoin de parler ma foi

Je ne vous abandonnerai pas

Car j’ai trop connu cela…..     

BELLEdeNUIT

 Marie20 Aout 2008   

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Écrit par islande

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 11 octobre 2008

Création : 11 octobre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2621

                                                      Le Mari                                         

  Ses grands yeux clairs se sont enfuis

  Lassés d'attendre, dans ses  tourments

  cet homme étrange, ce coeur détruit 

  Moitié mari, moitié enfant....

  Et puis ses mains n'écrivent plus

  Cette tendresse  qu'il aimait tant

  Et seul, le soir, l'enfant sans but

  S'endort sans elle , les yeux brillants...

  Elle lui manque et il en crève

  De ce silence qui prend son temps

  Qui voilera toujours ses rêves

  Moitié mari, moitié enfant...

  Elle était belle comme la plage

  Il voulait être son océan

  avait apprit à être sage

  moitié mari, moitié enfant...

  Pas une étoile, pas un soleil 

  Ne lui diront à chaque instant

  Comme il a peur sans sa merveille 

  moitié mari, moitié enfant....

  Il  vit loin du velours de sa douceur 

  Dans le souvenir tellement troublant

  De son sourire, de sa chaleur

  Moitié mari, moitié enfant...

  Un jour, peut-être, il revivra 

  Un autre Amour, une autre vie

  Un jour enfin, il deviendra

  Moitié enfant, moitié mari...