Amour
RESURRECTION
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RESURRECTION
Un jour
Vaincu par ce conformisme qui aliène
Atterrissant lourdement
Dans le cimetière des idées reçues
Mon angoisse extrême
Fit un tel bruit de chaînes
Qu’elle réveilla une morte
Disparue et ensevelie
Comme un diamant dans le désert
D’une vie sans envies
Revenant aussitôt à elle
Dans une magie sensationnelle
Elle scintilla
En princesse orientale
Et elle sut briller aussi
En divinité nordique
Elle m’apparut si fascinante
Qu’elle conçut en moi
Comme l’esquisse
D’un soleil levant
Comme les mots
D’un poème touchant
Qui m’éleva
Vers l’horizon de son éclat
Elle me parla dans une langue inconnue
Que je déchiffrai confus et ému
Toi, le poète blessé
Toi, au combat fier
N’assoupis pas tes heures
A convoiter l’ordinaire
Sache que je meurs et que je vis
Dans la destinée
Des chants esthètes
Des troubadours
Des ères mutilées
Avant de s’éclipser
Dans le flash lumineux
D’un désir fastueux
Elle montra
D’un baiser insensé
Un sens à ces visions
Qu’elle avait déchaînées
Dans mon esprit ressuscité
Un jour
Vainqueur et enfin apaisé
J’allais dans le monde de la poésie
Me laissant emporter
Par l’idéal de sa beauté
mercredi 8 avril 2009
long dimanche de glace
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que mon âme, froide, demeure,
en ce long dimanche de glace,
dans les souvenirs où je me meurs,
car dans tes bras je n'ai plus ma place.
que mon coeur, triste, s'arrête,
si tes baisers se refusent à mes lèvres.
dans ma vie n'existe plus de fêtes,
puisque ton corps ne me donne plus la fièvre.
que le ciel, gris, persiste,
puisque tu ne prononces plus mes "petits noms".
j'ignore pourquoi à mort je résiste,
puisque je ne peux partir en portant ton nom.
que mon décor, fade, se casse,
puisque sans rien dire tu t'en es enfui.
en ce long dimanche de glace,
où je pleurs mon ennui.
Colliers de coquillage
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- Écrit par BelleDeNuit
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Colliers de coquillageÂ
 J’en ai fais des colliers de tous ces coquillages
Ramassés de tes mains à l’aube sur une plage
Je les porte en  mon port et au souffle du vent
Ils viennent me parler de toi tout spécialementÂ
Je revois notre éclat, et nos deux mains soudées
Et le cri des mouettes venant nous saluer
J’aperçois ton sourire et tes yeux étincelants
M’offrant ton plus beau rire quand nous étions amantsÂ
Nos peaux bien accordées dès le premier baiser
Tout était simple pas besoin de tricher
Le désir étant la, nous nous sommes donnés
L’un a l’autre connecté sans arrières penséesÂ
Ta trace reste ancrée la au fond de mon cœur
Mais jamais au grand jamais je ne pleure
Tu m’as si bien aimée, je ne peu renier
Quand un soir en juillet suis devenue une féeÂ
Merci mon bel Oiseau aux ailes déployées
Je suis femme ailée volant a tes cotés
Soulèves un peu tes yeux ,regardes a l’horizon
Imagine mon sourire volant dans ta direction Â
J’en ai fais des colliers de tous ses coquillages
Ramassés de tes mains à l’aube sur une plage
Je les porte en mon port et au souffle du vent
Ils viennent me parler de toi tout spécialementÂ
Marie
27 Mars 2009Â
Miettes
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En regardant et en cherchant encore,
il ne reste plus rien d'entier dans mon décor.
Tu n'as eu de tord que de m'aimer trop fort.
La nuit quand je dors je pense toujours à ton corps.
Malgré ton absence, survivant, le sentiment d'amour demeurre,
il continue de croitre et de se renforcer en mon coeur.
Tout autour s'écroule, il me semble que sonne l'heure,
d'une vie sans amour, triste, au temps gris, où je me meurs.
Tout est désormais constitué de miniscules miettes,
éclats de baiser, morceaux de caresse, petits bouts de ton rire dans ma tête.
Tes mots doux se décousent maintenant que je suis prête.
J'ai piétiné ton amour, pensant pour toi, ne pas être faite.
Le verre s'est brisé, les murs sont fissurés, le toit est tombé,
le puit asséché et mes larmes amères installées pour l'éternité.
Je t'aime si fort désormais que j'ai même accepté,
que dans d'autre bras que les miens tu trouve ce que tu as toujours cherché.
amour chagrin
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- Écrit par dessauvages
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En ce jour où la lumière
A illuminé Ma vie enfin.
Au petit matin chagrin.
J'ai contemplé ton regard qui me fasciné
Je n'y ai rien trouvé.
En ce jour où ta bouche a effleuré mes lèvres
Sans entrains
Je n'y ai trouvé aucuns lendemains.
Mon existence devait se mener à tes côtés
Pour cela il te fallait le désirer, se battre, espérer.
Nul autre être n'aurait dus arriver à ta cheville
Car tu étais l'élue, la divine, ma lanterne qui brille
En ce jour tout était noirissime
Grâce à toi, mon unique abime.
Qui m interdisait d'avancer.
Ton doux visage qui me transporté
De tes tourments ont lassé le mien.
Ces mains qui sont mienne et tu l'as deviné
Sont faite pour caresser, aimer
Ne sont pas des objets ou jouets !
Dans quelques mois,
Je serais peut-être, de l'autre côté.
Pour l'éternité
Où nous ne seront pas réunis
Je ne veux plus être puni.
Je veux être aimé en sincérité.
C'est une histoire pas comme les autres.
Qu'est la mienne.
Cela ne cesser guère,
Toujours Plus de peines
Je ne me mettrai plus dans la galère
C'est cette histoire infinie
Qui nous glisse dans un verdict inouï.
Qui mérite l'oublie
Sans entrains
Je n'y ai trouvé aucuns lendemains.
De trop de peaux de chagrins
J'ai été habillé
rdessauvages 2009
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...