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Écrit par lalain

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 22 novembre 2009

Création : 22 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2633

L'abeille et l 'oiseau de nuit.

 

Dis saurais tu

changer mes nuits

en jours heureux ?

Dis voudrais tu

fleurir ma vie

de tendres aveux ?

Deviendrais tu

donc l'éclaircie

de mes grands yeux ?

 

 

Tu vis le jour, je vis la nuit ;

petite abeille qui butine

sur des fleurs que mes yeux ignorent,

je ne suis qu'un oiseau de nuit

qu'un midi de juillet fascine

quand ton corps alors tache d'or

donne la fièvre à un ciel

que mille vagues décolorent

m'a dit la brise l'autre nuit.

Petite abeille qui butine

sur les couleurs de l'arc en ciel ,

je voudrais goûter à ton miel.

 

 

Suis-je trop vieux ?

Je ne sais plus

dompter mes nuits !

si tu le veux ;

au coeur fourbu

redonne vie .

De mes grands yeux

tous deux perdus ,

sois floralies !

 

 

Tu vis le jour, je vis la nuit ;

petite abeille qui butine

à mille lieux de mon espace ,

j'irai chercher même au plus loin

sur des fleurs cachées sous la glace

pour toi les plus rares pollens.

Petite abeille qui butine

sur les couleurs de l'arc-en-ciel

et qu'un ciel de juillet fascine ,

je ne suis qu'un oiseau de nuit

qui saurait t'offrir lui aussi

au moins aussi doux que ton miel !

 

 

Mais tu te dis ;

comm' toute nue

loin de tes cieux !

Mais dans mes nuits ;

tu ne sais plus ,

tu es sans yeux !

Loin de mes nuits ;

tu ne veux plus

que d'un ciel bleu!...

lalain

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Écrit par Reid

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 21 novembre 2009

Création : 21 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2334

 

Le cœur est à l'ouvrage,

Le corps ne se veut sage

Pourtant par quel sevrage

Pourrais-je fuir l'usage ?

Adieu lubrique errance,

Vertu en délivrance

Serait mon espérance

Pourrais-je fuir souffrance ?

Mon âme par un non

Devrait suivre raison

Douloureuse liaison

Pourrais-je fuir ton nom ?

Libertine passade

En coquine embrassade

Quand corps est ambassade

Le cœur devient maussade.

 

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Écrit par Cardeal

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 22 novembre 2009

Création : 22 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2457

 

Nous deux c’est sûr…ça pourrait

Etre le début d’un conte de fée

Toi qui toujours continue à errer

Au plus profond de mes pensées

Nous deux c’est sûr…on pourrait

Passer nos journées sur l’oreiller

A se serrer et s’embrasser

Continuellement sans se lasser

Nous deux c’est sûr…on serait

Toujours prêt à s’emmêler

Sentir tes hanches se frôler

Contre mon corps agenouillé

Nous deux c’est sûr…on aimerait

Prendre le monde comme il est

Suivre ensemble ce p’tit sentier

Qui nous conduise vers la liberté

Nous deux c’est sûr…

Nous deux c’est ça…

Nous deux c‘est sûr…

C’est toi et moi !

Nous deux c’est sûr…

Nous deux c’est ça…

Nous deux c‘est sûr…

Viens dans mes bras !

Nous deux c’est sûr…on partirait

Visiter les plus lointaines contrées

Vagabonder l’esprit libéré

Dans un seul but…s’aimer !

Nous deux c’est sûr…on s’aimerait

Enlacé nez contre nez

Sentir ton souffle apeuré

De cet amour à perpétuité

Nous deux c’est sûr…on finirait

Toi heureuse et moi émerveillé

De ces étoiles enflammées

 

Dans mon regard sur toi posé

 

Nous deux c’est sûr…on partagerait

Un petit être, un nouveau-né

Pour lui prouver, lui expliquer

Que nous deux…c’est à jamais…

Nous deux c’est sûr…

Nous deux c’est ça…

Nous deux c’est sûr…

C’est toi et moi !

Nous deux c’est sûr…

Nous deux c’est ça…

Nous deux c‘est sûr…

Essaye-moi !

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Écrit par Fanfan54

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 21 novembre 2009

Création : 21 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 4254

L'amour que j'ai pour toi, est né dans un jardin,

Comme jaillit la source au détour du chemin.

C'est un doux sentiment à la tendre musique,

Claire et pure comme l'eau, glissant sur la brique !

 

Au fil du temps passant et du chemin couru,

Mon amour a grandi, chaque jour un peu plus,

Comme un petit ruisseau, filant entre les pierres,

Et qui chemin faisant, est devenu rivière !

 

L'un et l'autre s'enflèrent à mesure des jours,

La rivière devint fleuve, tel mon amour,

Ils suivirent leur cours, sans jamais ralentir,

Sans jamais l'autre et l'un, s'empêcher de grandir !

 

Le fleuve s'arrêta plongeant dans l'océan,

Mais l' amour perdura, plus fort que le néant,

Plus puissant que le temps, qui nous a séparés,

Qui comme la source, ne cesse de couler !

 

C'est dans l'eau de tes yeux, qu'est née cette rivière,

D'une larme nacrée, est issue cette mer,

Cet océan d'amour, de paix et de bonheur

Où flottent désormais les trésors de mon cœur

 

L'amour que j'ai de toi, est comme l'océan,

Entouré de montagnes et de grands continents,

De douceur et de joies, de chaleur et d'amour,

Que je vais garder là, avec moi pour toujours !

 

Tu n'es plus là…!

De mon cœur orphelin, coule une source amère,

Qui de ru, en ruisseau est devenue rivière,

C'est d'un fleuve de larmes qu'alors éploré,

Je noierai le monde, d'un océan salé !!!