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Écrit par zitoun

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 4 janvier 2010

Création : 4 janvier 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2464

La plaine est devant moi,

En ce matin de printemps,

Sous le souffle d'un vent froid,

L'armée levée m'attend.....

Les renégats font face,

Sans vergogne, ni morale,

Pour investir la place,

D'une manière fort brutale........

L'annonce de ton départ,

Avec armes et bagages,

A ouvert de toute part,

Les portes aux carnages......

N'ayant plus rien à perdre,

Il me reste plus qu'à faire,

Comme jadis tous mes pères,

En mourant à la guerre......

Faute d'amour ,c'est la gloire,

Dans cette ultime bataille,

Que retiendra l'histoire,

En oubliant mes failles......

Christian Guerin Caron

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Écrit par zitoun

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 30 décembre 2009

Création : 30 décembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2860

Il n'y a pas de raison,

Que j'arrête de parler,

Alors que c'est la passion,

Qui a tout commené......

A vouloir tout comprendre,

De ses gestes , de ses mots,

On se perd dans des méandres,

Et on ne voit plus le beau.......

Oui pour toujours je l'accuse,

Sans peur je la désigne,

Elle devient mon excuse,

Car c'est elle qui m'a fait signe......

Elle est venue me réveiller,

Dans ma vie sans épice,

J'avais rien demander,

Mais je fus un délice........

Alors c'est sans réfléchir,

Que je lui ais tout cédé,

Vaincu par son sourire,

J'ai tout abandonné......

Abandonné, voilà le mot,

Celui qui me torture,

Bien plus qu'il ne faut,

Semblable à une morsure......

Car c'est sans prévenir,

Qu'un jour elle s'enfuit,

Elle part sans rien nous dire,

Au milieu de la nuit.......

Peut importe notre effort,

Et notre acharnement,

Elle nous laisse pour mort,

Dans le monde des vivants.......

Quand la passion s'envole,

Vers d'autres contrées,

Qu'importe les paroles,

Et les amours trompées.......

Elle s'enfuit en voyage,

Vers sa destinée,

En laissant un carnage,

Sur une terre brulée.......

Christian Guerin Caron

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Écrit par jeanannecy

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 4 janvier 2010

Création : 9 janvier 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2165

Mon Fils...Tu aurais eu vingt quatre ans aujourd'hui
Si tu étais venu avec nous cette nuit.
Mais tu t'en es allé, pour nous c'est évident
Vers une vie nouvelle, ce fut un accident.

Au moins l'as-tu fêté ce bel anniversaire?
Dis nous les nouvelles âmes à qui tu voudrais plaire
Racontes nous aussi tes nouveaux partenaires,
Sont-ils à la hauteur dans ton domaine limbaire?

As-tu le temps parfois de prendre du repos,
D'écouter nos messages, de lire nos propos
De dormir toutes tes nuits, de vivre chaque jour,
De penser aux amis qui t' envoient un bonjour ?

Quand tu auras trouvé la paix que tu mérites,
Prépares  une petite  place , peaufines  bien le rite
De notre entrée chez toi, un jour nous serons là
A frapper doucement la porte de l'au delà.

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Écrit par annankee

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 29 décembre 2009

Création : 29 décembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3684

Il est un monde où tu ne pourras jamais m’atteindre

Il est un monde où je ne pourrai jamais te craindre

Je suis parti me faufiler au plus profond de ton cerveau

Je suis en toi, je n’existe que par toi, I am, you know

Je m’accroche à tes neurones, vibre au son de mes pensées !

J’existe parce que tu le veux mais je veux te métamorphoser

Pense à moi, je suis toi, tu es moi, respire moi, aspire moi

Nos sens se mélangent, nos corps se fondent, oublie ta foi

Mes mots enlacent ton corps, mes caresses symphoniques

Effleurent ta peau mélodieuse, ta peau noire d’Afrique

Illumine cette pièce, enivre mes sens, sans dessus dessous

Mon moi n’existe plus, nous sommes un et c’est tout

Suis-je un rêve, une réalité, tu ne le sais plus, qu’importe

J’ai pris possession de ton esprit, suis-je derrière la porte ?

Douterais-tu de toi, qui suis-je en fin de compte, où suis-je ?

Je te poursuivrai jusqu’à la mort jusqu’au bout de ma rage

Je suis né poussière et je crèverai, pouce, demain

Tu m’as balayé d’un regard, take care, Je n’aspire à rien

Nous n’étions pas branchés sur la même longueur d’onde

Mon univers n’est fait que d’image in air et tu es blonde

Non, en fait je me tire avec ma rage, je te laisse vivre ta vie

Avec ton cadre commercial, avec ton financier, ton nervi

Qui te paye tes petits voyages te permettant de supporter

Ta rude vie faite de labeur, ta vie en fait très formatée