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Écrit par lorist

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 7 mai 2010

Création : 8 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2251

 

 

Aux regards complices que s'échangent deux cœurs nouveaux,

à la promesse d'un amour encore dans ses prémisses,

à ces sourires si jeunes, et au fond si seuls,

en quête de leur reflet dans le miroir de l'autre,

mon regard préfère s'attarder sur la tendresse de deux mains,

se serrant et se repliant l'une sur l'autre,

en suivant les sillons que le soc du temps partagé a creusé.

Sans même l'effort d'une étreinte,

la connivence de leur phalanges leur apporte la sérénité,

née des ombres et des lumières qui arpentent les coeurs apaisés.

 

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 23 avril 2010

Création : 23 avril 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2253

J'ai beau te croiser tous les jours et

Te parler sans mal ni timide retenue,

Tu ignoreras combien tu me tires des nues

Noires qui me corrompent certaines journées !

 

Nous sommes si proches, mais je garde mes distances.

Je ne sais quelle porte prendre : de quelle manière je t'aime ?

Mes sentiments sont si confus à ce sujet... il ne faut pas que je sème

Les graines de la tension entre nous : cela serait de mon espoir la potence..!

 

Te amo ! Comment te dire ces mots sans risquer de tout détruire ?

Je ne suis qu'une Echo pleurant un narcisse non prétentieux,

Je ne suis qu'une ombre qui ne veut surtout pas te faire fuir !

Je t'aime et te respecte de trop pour cela. Je veux que tu sois heureux.

 

Même si cela implique que rien n'avance entre nous...

Même si cela sera une autre balafre dans mon coeur désespéré !

Je ne veux pas te perdre, toi mon point d'ancrage dans ces remous !

Volontiers je te donne mon coeur fragilisé, il sera sauf avec ta bonté.

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Écrit par algharbaoy

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 28 avril 2010

Création : 29 avril 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3194

Je ne t’ai pas oublié, malgré la distance

Mon amour, je te jure que je ne suis pas cessé de penser à toi

Je t’ai menti en disant que je te laisse, c’est juste un mot pas plus

Je parle avec moi-même alors que je crois, je te parle

Je ne t’ai pas oublié, malgré la distance

Mon amour, je te jure que je ne suis pas cessé de penser à toi

Je t’ai menti en disant que je te laisse, c’est juste un mot pas plus

Je parle avec moi-même alors que je crois, je te parle

Ton amour n’a pas diminué mais il a augmenté, revient s’il te plaît

C’est vrai que j’ai hâte mais le désir de mon cœur est dur

Le cœur se déchire en répétant ton nom

Dans la nuit, toutes les feuilles dorment, qui est ce que va te couvrir si tu as froid ?

Dans la nuit, toutes les feuilles dorment, qui est ce que va te couvrir si tu as froid ?

Toutes les fêtes ne me rendent pas heureux, parce que tu es ma joie et ma fête

Tes nuits ne croient pas que tu vas revenir un jour pour me pleurer et te pleurer

Hamed algharbaoy

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Écrit par Gilbert

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 14 avril 2010

Création : 15 avril 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2181

Ma femme

De blanc vêtue

Tient la vie à bout de doigt

Sépare le mal qui tue

Du renouveau au sang qui se boit

Ma femme

Résurrection dans l’amour

Dont je suis à jamais absent

Mes vers ont tourné court

Dans un rêve plus qu’indécent

Ma femme

C’était hier nos seize ans

Quand l’avenir était promesse

C’est aujourd’hui maintenant

Que s’étalent nos tendresses

Ma femme

J’ai seulement la vie

À te donner pour que tu en fasses

Ce dont tu as envie

Et puis tu le sais tout passe

Ma femme

Il faudra bien se taire

Nos enfants ne seront plus notre image

Ils auront autre chose à faire

Qu’à écouter nos radotages

Ma femme

Alors et sans jamais nous séparer

Ni des yeux ni cœur mais le corps loin

Nous chercherons l’épaule ou pleurer

Ma femme

Le seul être dont j’ai besoin

 

Texte tiré du recueil L'homme dispersé

MARQUÈS Gilbert