vers libre

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Elle


Elle rit pour dire qu'elle pleure.
Vit pour dire qu'elle meurt.
Aime sans oublier.
Croit que sa vie s'est brisée.

Au fond de ses yeux
que peut-elle cacher !
Au fond de ses yeux
que peut-elle chercher !
Rien .Sinon eux.
Rien. que les siens.

Ont la regarde assise-là
Ou par la.
On sait et on ne sait pas
si elle pense être avec eux.
Où s'imagine être deux.

Voila ! La Plus grande souffrance
d'un amour inassouvi.
Elle a perdu son avenir.
Crois t'elle en son devenir
elle a cherché un ami.
Et sur le net s'est mise.

Au fond de son coeur
que peut-elle chercher !
Au fond de ses yeux
que peut-elle chercher !


Par la force de ses bras
par la force de son coeur.
Elle trouvera son bonheur
Son amour de coeur
Il lui ouvrira le chemin
celui d'un ami
Ou d'un amour de cœur.


Elle rit pour dire qu'elle pleure.
Vit pour dire qu'elle a peur
Voudrais Aimer pour oublier
ne plus croire que sa vie est brisée.

Rdessauvages16 aout 2007©
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Quatro A

Te voila avec quatre A !
Jolie amours que voila
Voici
Sylvia jolie brune
Sortie de la brume
De ta vie.


Tu m'as demandé d'écrire
Pour toi Un poème
N'as tu pas une ?
Vie de bohême !
Ne voit tu pas
T'as vie de roi.


Ne voit tu pas ? Eva
Partie de toi
Belle âme d'italienne comme toi
Partie de Sylvia
Au brumes de votre
A


Ne voit tu pas ? Léa
Partie de toi
Partie de Sylvia
Tendre coeur
Tout en saveur de toi
Belle caresse
Pour le coeur
Que sa douceur.


Ne voit tu pas ? Chiara
Partie de toi !
Partie de Sylvia
Si jeune a peine quelques mois
Déjà
Râleuse comme toi.


Te voila avec quatre A
Facile d'écrire pour toi
Quatre a !
A ! De l'amour toujours
Que d'eux tu as en toi.


Vito
Jolie amours que voila !
Tu voulais être placé en haut ?
Loin s'en faut !


Quatre amours
Dans chaque prénoms
Un A ! Comme amour
En eux Toujours. !
N'ais je pas raison ?
En toi.
Tu vois je vais
Ce poème terminer la.


Je ne suis pas envieux !
Je suis heureux de toi
De vous, d'eux.
Comment terminer
A ! si
Trouve le cinquième A
Le tien en toi pour eux
Voila vos cinq A


Pour le sixième A !
Quelle dilemme que celui la !
D'où vient il ?
Que fait' il la ?
Dans ce poème.
Qui d'écrit une vie de bohême.


Ne cherche pas
C'est a moi ce A.
De moi a vous !
De vous a moi !
Te voila avec six A
Jolie amours que voila



L'amour prend des chemins
Différent.
Mais toujours c'écrit
En haut
Ou ici bas
Avec un grand A !


En espérant que se poème
D'écrivant ta vie de bohême
Écrit pour un rital
Ne sème pas la pagaille
Dans ta vie de bohême
Loin s'en faut
A mon frère
Vito.

Rdessauvages©3 oct. 2007
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J'ai dans mon cœur si mal
Dois je rêver pour oublier
La vie en bleue La vie en noir
Chacun choisi sa couleur
Son poème trois en un bleu ou noir ou en continu


J'ai dans mon cœur si mal
Tant de peurs dans ce mal
Que mon âme s'engourdie.
Se fige dans la glace, se replie.
Afin de ne plus ressentir
Le spasme lacrymal
Qui trace sur ma face
Une horrible grimace.


Rêver, dois je rêver pour oublier ?
La vérité qui me torture !
Oublier ce sablier qui coule
Vers l'heure de ma sépulture.
Le vide est si vaste que tous les horizons
Sont au loin disparus dans d'étouffantes ténèbres
Plus rien ne me reste, sinon cette prison
Pour freiner ma venue dans la fosse funèbre


Pleurer, pleurer en regrettant
Les temps malheureux de mon enfance
En regrettant les jours distants
Remplis de rêve et d'insouciance


Il fait trop noir ici pour trouver un chemin
Qui me conduise ailleurs qu'à l'éternel silence ?
Il est trop tard aussi pour que mes lendemains
Me rendent la candeur des années d'innocence.


Dormir, dormir et puis partir
Vers des Édens et des merveilles
Et puis partir sans avertir
Sans que jamais je ne m'éveille.
Le cœur meurtri, le souffle court ? L'œil hagard
Le corps usé par les années, par la vie trop dure.
Sans un ami, sans feux d'amour dans le regard
À regarder le temps filer à toute allure.


Mourir, mourir pour ne plus voir
La chimère qui m'emprisonne
Pour ne plus voir ni rien devoir
À ce monde ni à personnes


Rdessauvages©12.01.2008 .3h45
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Jean marc


Rien qu'un petit mot
Pour te dire que l'on ne t'oubliera pas,

Toi l'enfant discret dont ont se souviendra de tes cheveux blanc,
Cachant ton désarroi.

Nous qui nous rappelons
Que ton surnom fut. celui de nano. Tirer du mot Jeannot

.Peu savent que tu fredonner tout petit enfant une chanson
Dont tu porta aussi le surnom
Nonoletta.

Rien qu'un petit mot pour te demander
De nous aider à surmonter les rudes épreuves d'ici-bas.

Quelqu'un meurt,
Et c'est comme des pas
Qui s'arrêtent.
Mais si c'était un départ
Pour un nouveau voyage...

Quelqu'un meurt,
Et c'est comme une porte
Qui claque.
Mais si c'était un passage
S'ouvrant sur d'autres paysages...


Seigneur,



Puisque tu as voulu rappeler à toi ton serviteur

Jean marc

Accorde lui la vie éternelle,

Accepte nos prières que du fond de nos cœurs,

Nous lançons vers toi pour lui.

Nous garderons de lui

Le souvenir qu'il aura été un homme de biens et de sacrifices,

D'abnégations, d'amour pour ces enfants.

Il se disait a part, souvent élevant la voix,

Nous savions tous que c'était pour cacher

Le doux murmure de son cœur.

Toute la fin de sa vie a été tendue toute entière vers le Bien et l'Amour de son prochain,

Vers les siens qu'il a tendrement chéris.

Et vers tous ceux qui, dans la souffrance, l'appelaient au secours.

Puisse-t-il avoir cherché et trouvé son espérance.

Accepte,


Seigneur


Que cette prière faite pour lui, à travers notre amour, puisse apporter ta bonté et ta clarté à

Ceux qui l'aiment et qui le pleurent.

Pardonne, remets ses péchés puisqu'il est au seuil de sa vie spirituelle.

Son temps terrestre est terminé

Et il est arrivé au palier dernier où la lumière est si belle que

Les yeux éblouis voudraient contempler et contempler encore la beauté de ton image divine...

Reflétant comme dans un halot blanchâtre notre frère apaisé en paix pour l éternité


Fais, Seigneur,


Que par sa présence, il adoucisse les épreuves terrestres de ceux qu'il aime tant.

Seigneur,

Donne-lui la paix dans la douceur de ton amour...

Rdessauvages 20 novembre 2007
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Je fais souvent ce rêve étrange
Et pénétrant, lancinant.
D'une femme inconnue,
Que j'aime, et qui m'aime,
Autre que ma mère
Dont je désespère.


Qui n'est, chaque fois,
Ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre,
Qui m'aime et comprend.
Mon coeur transparent

Je ne me plains pas de ces catins
Qui m'ont dit je t'aime
Me laissant en peine
Dés le matin blême

Pour elle seule, hélas!
Cela Cesse d'être un problème
Pour elle seule,
Les moiteurs de mon front blême,
Sur eux le calme amène.

Elles mêmes qui gâche
Le métier de putains
Avec le même entrain
Mais Pratiquant pour rien.

Je me mets à rêver
Faute de déseperé
A t'elle un nom
Je ne le sais
Il doit être doux à aimer

Comme le prénom
De ceux qui ont souffert d'aimer.
Doux regard glacé
Comme celui des statues
Que la vie a glacé
Ce quatorze février

Rdessauvages 14.02.2008
  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...