vers libre
Orion
- Détails
- Écrit par jamesjonasDavid
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : vers libre
- Affichages : 2726
OrionEtoile poussiéreuseDans l'age de la raisonClair splendideDans l'absoluDans la forcedans le destinMa vie est une spiraleDont la trajectoire frole le néantjames jonas David Â
Ajouter un commentaire Affichages : 2726
Labsence
- Détails
- Écrit par -
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : vers libre
- Affichages : 1660
Au seuil de l’amertume
La fumée se fait brume
Dense comme un brouillard
Au tranchant du regard.
Sous les paupières de l’âme
Où le destin se trame
Le vide de l’absence
Se dessine en silence.
La peur se fait complainte
Dans le creux de l’étreinte.
Le cœur pris de vertige
Là où les mots se figent,
Déploie dans un soupir
Ses ailes frangées de cire.
Ajouter un commentaire Affichages : 1660
recommencer sa vie
- Détails
- Écrit par dessauvages
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : vers libre
- Affichages : 1710
Recommencer sa vie
Recommencer sa vie encore et encore
Avec d'autres envies et d'autres décors.
Je lève la tête, cherche encore
Si dire je t'aime a quelqu'un,
Ça rime avec la mort.
Ou mon destin.
Si l'on n'enterre pas la mer
Qu'importe ma colère
Les femmes sont des expertes
Pour détruire la beauté en cherchant des prétextes
Dans le fond de nos coeurs,
Dans les cris de nos pères.
Ne me faites pas perdre pas mes rêves
A fouiller mon esprit
Je demande une trêve
Laisser moi mes rêves.
J'ai cru que l'on puisse m'aimer
que je puisse en crever
dire je t'aime un jour.
Entendre je t'aime toujours
Pouvoir parler d'amour
En sincérité.
Dériver vers un autre port
Rester dans un coin, regarder ses torts.
Comme dans un livre écrit
Où tout serait dit
Pardon, pour mes moments d'esprit.
Pas d'armure, être pur,
Je suis en délivrance
cure de jouvence,
Ne pas ressentir votre absence.
Si l'on n'enterre pas la mer
Qu'importe ma colère
Les hommes sont des experts
Pour détruire la beauté ;
Cherchant des misères
Dans le fond de nos coeurs,
Dans les cris de nos mères
Rdessauvages©26.07.2007
Recommencer sa vie encore et encore
Avec d'autres envies et d'autres décors.
Je lève la tête, cherche encore
Si dire je t'aime a quelqu'un,
Ça rime avec la mort.
Ou mon destin.
Si l'on n'enterre pas la mer
Qu'importe ma colère
Les femmes sont des expertes
Pour détruire la beauté en cherchant des prétextes
Dans le fond de nos coeurs,
Dans les cris de nos pères.
Ne me faites pas perdre pas mes rêves
A fouiller mon esprit
Je demande une trêve
Laisser moi mes rêves.
J'ai cru que l'on puisse m'aimer
que je puisse en crever
dire je t'aime un jour.
Entendre je t'aime toujours
Pouvoir parler d'amour
En sincérité.
Dériver vers un autre port
Rester dans un coin, regarder ses torts.
Comme dans un livre écrit
Où tout serait dit
Pardon, pour mes moments d'esprit.
Pas d'armure, être pur,
Je suis en délivrance
cure de jouvence,
Ne pas ressentir votre absence.
Si l'on n'enterre pas la mer
Qu'importe ma colère
Les hommes sont des experts
Pour détruire la beauté ;
Cherchant des misères
Dans le fond de nos coeurs,
Dans les cris de nos mères
Rdessauvages©26.07.2007
1 commentaire Affichages : 1710
Fantômes
- Détails
- Écrit par -
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : vers libre
- Affichages : 1399
L’horizon est d’opale
Alors que vous si pâles,
Dans l’écrin de la nuit,
Promenez votre ennui.
Quelquefois sur mon front,
Glissent vos doigts glacés,
Effaçant quelque affront
Que le jour a laissé.
Compagnons de voyage,
Chimères sans visage,
Dessinez sur mes rêves,
L’empreinte d’une trêve.
Au matin comme un songe,
Flotte dans les méandres,
Entre oubli et mensonge,
Votre parfum de cendres.
Ajouter un commentaire Affichages : 1399
l'essentiel le chemin
- Détails
- Écrit par dessauvages
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : vers libre
- Affichages : 1432
L'essentiel ,le chemin
Peu à peu ta maison se vide
Le fil du présent arase le passé.
La mienne sera remplie d'amours
Celle du cœur le vrai.
N'emportant que l'essentiel.
Malgré tout le miel.
Promis tu m'as piqué.
De ton dard a tu voulu me blessé ?
Je suis a peine effleuré.
Carton de papiers indispensables,
Carton de livres de mes cultes.
Rimes poétiques ou chemin des valeurs,
Celle que je pensé oublié a jamais !
Dont je suis toujours preneur.
Nos valeurs .Celle de nos cultes
Retrouvées celle que j'avais reniés
J'ai retrouvé ma voûte étoilée.
Avec sa pièce essentielle
Ma vie, mon miel.
Qui toujours m'a blessé
Celle qui m'a jeté sur le sol
Dont j'en avait fait mon dol
Celle qui est ma vérité.
Qui étaient devenues impensables.
Appeler par nos frères pater
Cela m'avait fait bloc de béton sans sables.
Celle écrite du cœur.
Dans nos cœurs.
Pièce que je n'avais de cesse De refusé
Pourtant elle etait placée au milieu . Dieu
Mon attente sur le parvis est finie
Il a donné et repris, je n'en suis pas aigri
Petites affaires dont je ne saurais me défaire
Celle de mes frères les tiens, les miens.
Puis celles dont je n'aurais jamais
Cru pouvoir me défaire.
Carton de vêtements légers sous le vent
Pour couvrir l'été à venir.
Quelques souvenirs d'un chacun
Qui avaient fait de moi
Celui que je suis à présent.
Quelqu'un de bien.
Des cartons de petits bouts d'essentiels
À entreposer au cœur de mon être
De la maison d'un demain
Ouvert sur les possibilités de chacun
D'accepter son devenir
Croire en son Avenir
Peu à peu ma maison se remplie
De mille envies et folies.
La mienne sera remplie d'amours
Celle du cœur le vrai.
Qui rime avec toujours
Le fil du passé est brisé
Je me suis enfin retrouvé.
Rdessauvages©2 août 2007
Le fil du présent arase le passé.
La mienne sera remplie d'amours
Celle du cœur le vrai.
N'emportant que l'essentiel.
Malgré tout le miel.
Promis tu m'as piqué.
De ton dard a tu voulu me blessé ?
Je suis a peine effleuré.
Carton de papiers indispensables,
Carton de livres de mes cultes.
Rimes poétiques ou chemin des valeurs,
Celle que je pensé oublié a jamais !
Dont je suis toujours preneur.
Nos valeurs .Celle de nos cultes
Retrouvées celle que j'avais reniés
J'ai retrouvé ma voûte étoilée.
Avec sa pièce essentielle
Ma vie, mon miel.
Qui toujours m'a blessé
Celle qui m'a jeté sur le sol
Dont j'en avait fait mon dol
Celle qui est ma vérité.
Qui étaient devenues impensables.
Appeler par nos frères pater
Cela m'avait fait bloc de béton sans sables.
Celle écrite du cœur.
Dans nos cœurs.
Pièce que je n'avais de cesse De refusé
Pourtant elle etait placée au milieu . Dieu
Mon attente sur le parvis est finie
Il a donné et repris, je n'en suis pas aigri
Petites affaires dont je ne saurais me défaire
Celle de mes frères les tiens, les miens.
Puis celles dont je n'aurais jamais
Cru pouvoir me défaire.
Carton de vêtements légers sous le vent
Pour couvrir l'été à venir.
Quelques souvenirs d'un chacun
Qui avaient fait de moi
Celui que je suis à présent.
Quelqu'un de bien.
Des cartons de petits bouts d'essentiels
À entreposer au cœur de mon être
De la maison d'un demain
Ouvert sur les possibilités de chacun
D'accepter son devenir
Croire en son Avenir
Peu à peu ma maison se remplie
De mille envies et folies.
La mienne sera remplie d'amours
Celle du cœur le vrai.
Qui rime avec toujours
Le fil du passé est brisé
Je me suis enfin retrouvé.
Rdessauvages©2 août 2007
Ajouter un commentaire Affichages : 1432
Page 43 sur 45
-
Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...