Pamphlet

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G. A. D. L. U.


AU COMMENCEMENT
ETAIT LA PAROLE
ET LA PAROLE ETAIT AVEC DIEU
ET LA PAROLE ETAIT DIEU

TEL ECRIT DANS LE VOLUME SACRE DE LA LOI

JEAN 1 V1


Un Macon est obligé de part sa tenure
D'obéir a la loi morale et
S'il comprend bien l'art royal,
Il ne sera jamais un athée stupide
ni un libertin religieux
quoique dans les temps anciens
les maçons astreints dans chaque pays
d'appartenir à la religion de ce pays
ou de cette nation
quelle qu'elle fut.

Il est plus expédient de les soumettre à cette religion
que tous hommes accepte.
Laissant à Chacun son opinion particulière.
Qui consiste à être des hommes bons,
Loyaux, et hommes d'honneur, de probité.
Quelles que soient les dénominations
Ou croyances qui puissent les distingues.

Ainsi le Macon devient le centre d'union
et le moyen de nouer une véritable amitié
parmi les hommes qui eussent dut
Demeurer perpétuellement éloignés.


NOSCE TE IPSUM –

Connais-toi toi-même.

Si
Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie !
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir.
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties !
Sans un geste et sans un soupir.

Si tu peux être amant sans être fou d'amour !
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre.
Et te sentant haï sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre .

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être qu'un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres la perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un homme, mon fils.

Rudyard KIPLING


Extrait du Traité sur la Tolérance (Voltaire)


Prière à Dieu.

Ce n'est donc plus aux hommes
Que je m'adresse;
C'est à toi,
Dieu
De tous les êtres,
De tous les mondes
Et de tous les temps:

S'il est permis à de faibles créatures
Perdues dans l'immensité,
Et imperceptibles au reste de l'univers,

D'oser te demander quelque chose,
C'est à toi qui as tout donné,
À toi dont les décrets
Sont immuables comme éternels;

Daigne

Regarder en pitié les erreurs attachées,
À notre nature;
Que ces erreurs ne fassent point nos calamités.

Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr,
Et des mains pour nous égorger;
Fais que nous nous aidions mutuellement,

À supporter le fardeau d'une vie pénible et passagère;
Que les petites différences entre les vêtements,
Qui revêtent nos débiles corps,

Entre tous nos langages insuffisants,
Entre tous nos usages ridicules,
Entre toutes nos lois imparfaites,
Entre toutes nos opinions insensées,
Entre toutes nos conditions
Si disproportionnées à nos yeux,
Et si égales devant toi;

Que toutes ces petites nuances,
Qui distinguent les atomes appelés hommes,
Ne soient pas des signaux
De haines et de persécutions;

Que ceux qui allument des cierges en plein midi,
Pour te célébrer supportent ceux qui se contentent,
De la lumière de ton soleil;

Que ceux qui couvrent
Leurs robes d'une toile blanche
Pour dire qu'il faut t'aimer ne déteste pas,
Ceux qui disent la même chose
Sous un manteau de laine noire;

Qu'il soit égal de t'adorer dans un jargon,
Formé d'une ancienne langue
Ou dans un jargon plus nouveau;

Que ceux qui dominent sur une petite parcelle
D'un petit tas de la boue de ce monde,
Et qui possèdent quelques fragments
Arrondis d'un certain métal,

Jouissent sans orgueil,
De ce qu'ils appellent grandeur et richesse,
Et que les autres les voient sans envie :

Car tu sais qu'il n'y a dans ces vanités
Ni de quoi envier,
Ni de quoi s'enorgueillir.
Puissent tous les hommes se souvenir
Qu'ils sont frères !

Qu'ils aient en horreur
La tyrannie exercée sur les âmes,
Comme ils ont en exécration
Le brigandage,
Qui ravit par la force le fruit du travail,
Et de l'industrie paisible !

Si les fléaux de la guerre
Sont inévitables,
Ne nous haïssons pas,
Ne nous déchirons
Pas les uns les autres
Dans le sein de la paix,
Et employons l'instant de notre existence
À bénir également en mille langages divers,
Depuis le Siam jusqu'à la Californie,
Ta bonté qui nous a donné cet instant.

La Lumière


Par la lumière nous vivons. .^ .

vers la lumière nous allons. .^ .

Ainsi parlait au début du XX°
Siècle le philosophe indien Sri Aurobindo

Qui formulait sans doute
Une réponse à deux
Des trois grandes questions :

Qui sommes nous ?
D'où venons-nous ?
Où allons-nous ?

D'où venons-nous ?
De la lumière,

Où allons-nous ?
Vers la lumière

Qui sommes-nous ?
A cette question,
Goethe avait déjà proposé une réponse :

« De la lumière,
rien que de la lumière... »

quête de la lumière
philosophique
spirituelle !

Je vous propose une équation philosophique,
mes Frères .^.
Par la lumière nous vivons !

vers la lumière nous allons
Poussière tu étais
poussière tu seras

Avec la poussière symbolique du Nadir
et la Lumière symbolique du Zénith,
C'est le parcours d'un être humain
qui sort du néant. !

Pour tenter d'atteindre un potentiel nirvana.
Ce parcours est l'ambition innée
De tout être humain.

C'est l'ambition travaillée du FR. .^. m. .^.
ayant reçu
La Lumière de l'Initiation !

qui lui permet de se mettre en quête
De ces autres lumières
Que sont la recherche de la vérité !

L'objectif de la perfection.
Notre esprit progresse
À chaque instant de notre vie !

Notre sphère de connaissances
prend du volume.
Ainsi, l'être humain est

de plus en plus lumineux de son savoir,
tout en acquérant une conscience
de plus en plus grande.

de plus en plus claire
de l'éloignement
de plus en plus grand de son but.

C'est une quête probablement éternelle
Pour laquelle les hommes et les femmes
se relaient de père en fils.

De mère en fille,
De génération en génération,
Avec une soif inextinguible

D'en savoir toujours davantage.
Dans nos Temples,
Tout en travaillant à cet effort commun.

nous sommes raisonnablement
conscients de notre petitesse
Nous sommes à la fois si fiers

Si malheureux de cette conscience.
La Lumière nous fut révélé
nous savons bien

Que nous n'en avons reçu qu'un rayon.



Rdessauvages © 18.03.2006
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Tout par amour
Rien par la force


Me voici donc là-bas pour diverses raisons bonnes ou mauvaises suivant celui qui pose la question. Je b
iaise tout le temps.
Au fond de moi je connais la réponse.
Soit face a soit.
Oh je ne les crains pas.ils parlent de choses que je connais,
que j'ai reçu ou enseigner.
L'amour, la charité, l'espérance, la tolérance, la liberté de culte, le don de soi, le partage
La différence,
la foi. Avec eux je suis en paix.
Tout cela je connais, je le vis. Sauf que j'ai perdu l'espérance dans le Père.
Dieu.
Ah dieu voila ma so
uffrance.
Il m'est facile de part ma fraternité de me dire déiste. Bien commode la méconnaissance de l'autre pensée, pas pour moi, J'en jou
e. Je parle beaucoup ont vient de me le dire par deux fois. Une fois en riant l'autre avec étonnement ce neuf octobre 2006. Par deux fois je suis renvoyé sur un autre frère ! Aurait t'il plus de patience ? . J'ai dut en lasser plus d'un,
Peut être ?probablement ! Certaineme
nt ! Se connais t'on, difficile de le dire. Mais il est certain que jours après jours nous apprenons à nous connaître, par petit bouts.
Mai
s ce frère ne m écoute pas il m'entend, voila sa différence.
Grâce a lui j'ai pus faire un chemin de reconstruction qui n'est pas terminé,
avec patience ce frère m'a entendu. Avec lui j'ai partagé le pain à la basilique, tenant ainsi une promesse faite à ce frère.
A lui en pa
rtageant mon hostie, j'ai pus lui dire je t'aime dieu des hommes.
Je t'aime mon frère.
A ce moment la je n'étais dans une église d'une r
eligion ou d'une autre.
J'étais avec ce frère dans l'église de Dieu, la mienne, la notre, celle de l'homme, celle du fils
Il me reste à fai
re envers et probablement grâce lui l'accomplissement d'une autre promesse le temps venu, celui de la réconciliation. De la reconstruction spirituelle, humaine.
Mon cœur est explosé, brisé. Chamallo dans un bloc de béton.mon béton explose.
Je ne juge personne, je me livre simpl
ement honnêtement comme je sais le faire, bien mieux me dit 'on par écrit que par la parole.
Pas facile de dire que je retrouve tout douce
ment le chemin de Dieu grâce à une fraternité qui n'est pas la mienne, et pourtant.
Je vis ce jour avec un être qui essaye de vivre et d'a
imer comme Dieu la prescrit et j'en suis heureux, ma compagne Brigitte.
Je viens d'accepter cette femme comme un cadeau de Dieu. Très différ
ent l'un de l'autre et pourtant si proche.
je viens de comprendre que cela est un cadeau de Dieu tout simplement en écrivant ce texte, au f
ur et à mesure que le clavier frappe ces mots, que de souffrances cacher derrière ces mots , souffrances a demi cachées non dites ,par orgueil, gêne ?, pudeur.
Plus facile de soulager, d'écouter la peine des autres ; bien dur que de ce soulager soit même, et pourtant, que d'amo
ur dans cet espace de lourdes de chaleurs , d espérances ,de foi , mais aussi de souffrances.

A chaque fois que j'ai pus j'ai fuit, pren
ant le premier prétexte venu
Dieu m'a ramener a lui a chaque fois.

Facile de se dire que sous prétexte d'une autre fraternité, de biaiser
, de quitter cette église,
A chaque fois j'ai était mis face a la souffrance de l'
autre, des autres de leurs espérances,
De leur fois en Dieu ; en christ roi.
Je n
e saurais jamais vénérer ou voir la vierge de votre façon, mais la n'est pas l'essentiel, me disais tu Philipe oh combien tu as raison.

Mon église est dans la
rue, dans la foi de l'autre au service de l'autre.
J'ai trouvé les qualités et le
s défauts de l'homme, mais en eux j'ai retrouvé Dieu
A ma façon, comme je suis ?
Ou comme j'avais oublié d'être.

Toujours en opposition me croyais je, pourtan
t Lionel mon frère tu m'as tiré les larmes des yeux lorsque que tu as cru que je te nier en tant qu'homme, il a bien longtemps que cette émotion a jaillis de mes yeux, je me suis cru blindé dans du béton, tu as fait exploser la première couche.

En tenant ta son
o lors de ton chemin de croix j'ai cru te rendre service à toi et Gabrielle
Mais e
n fait je me suis rendu service a moi-même, n'avais je pas trouvé dans les précédant chemins de croix l'occasion de fuir oh que si, pourtant avec vous sans que vous en doutiez
j'ai fait mon propre chemin de croix, qu
e Dieu vous bénissent tout deux je suis en paix.
Bien sur l'homme c'est révélé t
el qui est, a lourdes ou ailleurs l'homme est l'homme personne n'est parfait, moi non plus mais cela n est pas l'essentiel.

Sacré Murielle.

Toi à ta façon tu
as compris bien plus que d'autres, le royaume de Dieu,
Tes inquiétudes, tes chan
sons, ta gentillesse, ta façon d'être, tes peurs, ta foi m'a fait dire le notre père pour toi et cela en paix s'en être rejeter dans ma souffrance, la mort de ma sœur. En toi j'ai retrouvé les qualités de ma sœur tu es ma sœur.
Pour toi j'ai
prié face à la grotte dans ta foi, pour Marie qui ne me parle pas, toi si Murielle
Pour toi pour ta joie, ta foi, ta façon d'êt
re et j'en suis heureux de ta joie, de ta patience de moi.

Lucien

Avec toi en ri
ants de nos souffrances nous avons appris que lorsque l'ont se croit en bas de l'échelle de la souffrance il y a encore en dessous de nous une échelle.
En t'offrant m
on couteau que tu devras aiguiser chaque jours car il est d'un mauvais
Acier, tu m'
as promis de te souvenir de moi, de notre partage, que la vie vaut d'être vécue pleinement, sereinement, que la vie domine que bien que dure il vaut mieux vivre cette vie.
L'homme est a
insi fait, même les plus durs pleurent.
Nous avons était surpris
tout les deux de la connaissance de ta mère et oui j'avais entendue ces souffrances de toi, tes souffrances d'elle.
Tiens ta promesse mon frère dit lui que tu l'ai
me à chaque fois que tu aiguiseras ce couteau.
Tous les jours nous supporterons not
re joug, notre fardeau jours après jours.


Lucianna

Tu m'interpelle engageant le
dialogue par ces mots, seule assise sur un banc les larmes aux yeux. Je t'es vu me suivre du regard. M'observant donnant ma peine et recevant les peines des autres.

Tu
me dis !

Toi tu me regarde ?

Bien sur ma sœur je te regarde comme un être
vivant, un esprit vivant.

Non tu me regarde comme une femme

Je suis grosse, noi
re dans un pays qui n'es pas le mien. J'ai de la peine les gens sont parfois méchants. Et toi tu me regarde comme une personne normale. J'ai de la peine pour ces gens raciste, bête et méchants et ils ne me connaissent pas pourtant.

Je t
e dis

Moi
aussi je suis gros dans une région inconnue de moi, dans un lieu de pensées qui n'est pas le mien.

J'entends de tes lèv
res ces mots, serais tu capable de m'aimer ? Telle que je suis grosse ! .

Comment te prénommes-tu ?dis-
je.

Je n'arrive pa
s à faire taire cette peine qui monte en moi.

Lucianna. Me réponds-tu.

Moi je me prénomme robert

Oui Lucianna, si le
destin l'avais voulu. j'aurais pus t'aimer comme un homme se doit d'aimer une femme, mais j'ai ma Brigitte. Nous nous aimons, tu me questionne je te donne de ma souffrance tu me devine comme dans un livre ouvert et j'admets pour la première fois devant cette inconnue.

Brigitte, Dieu me la donnée.

Oui j'aurais pus t'aimer car
je sais que les femmes fortes ont une tendresse énorme. Elle sourie pour la première fois, enfin et nous discutons.

CÅ“ur immense dans un corps trop petit, non
tu n'es pas trop forte, ton corps est bien trop petit pour contenir ta foi en l'homme et dieu.

CÅ“ur immense dans un corp
s pas assez gros, tu pressens l'homme dans sa nature.

Et puis doucement tout doucement comme pour vérifier mes dires les é
prouver tu me susurre.

J'ai fuis mon pays, mon mari ma forcée moi
, mes deux filles et mon fils.

La, je vacille, la haine
monte en moi.

En trente secondes tous s'écoule en moi, la rage me prend.

Que dire, que faire devant cette souffrance.

Dieu la foi l'espérance et tout le reste s'écroule.ma go
rge se resserre et la je prends

Conscience des femmes martyrisée
s, battues, violées. Bien sur je milite pour les droits des

Femmes comme tout le monde, dans une idéologie en parlant, r
evendiquant, mais la face a

Face directement
avec toi ma sœur je ne supporte pas, trop dur.

Je hais cet homme sans le C
onnaître, pour toi, pour toutes les femmes bafouées.

Toi tu me remercie pour ma peine et tout doucement tu me console tu m
e dis que tu lui

Pardonne, qu'il es
t bien plus malheureux que toi, que tu le plains lui ton bourreau.

Que dire ? Rien
je te demande pardon pour lui, pardon pour tous ces hommes indignes.

Pour toi j'entends et je comprends ta façon d'être
, de raisonner, de penser.

Cet homme qui ta meurtrie toi et tes enfants est bien plus malheureux que toi, il a pus un

M
oment brisé ton corps et celui de tes trois enfants, il n'a pus brisé cet amour de l'autre.

Ne pleure pas sur ta couleur e
t tes origines, tu es d'une fraternité qui t'aime.

Présente en ce Lieu. Tout autour de toi.

Je me sens aussi seul que toi
dans ce lieu qui m'est étranger, loin de ma communauté.

Devant tes dires je me sens humble je suis un negre blanc, je t
e le dis.

Toi tu me console, moi l'homme.

Le lendemain jour de ton départ, tu remarque mon bracelet Africain. A mon poign
et droit

Je te l'offre tu me dis « depuis mon agression c'est la première fois que j'accepte

Quelque chose d'un homme
».

Oh Lucianna accepte je me tairais sur le reste, tou
t ne peut être dit.

A mon oreille tu chuchote merci r
obert, tu m'as fait du bien.

Je me souviendrais du neg
re Blanc, et dés que j'aurais ma maison tu viendras Brigitte et toi et je brulerais de l'encens.

Je mettra
is du pain et du sel a l'entrée de ma maison, comme tu fais toi pour accueillir L'étranger de passage, la sœur, le frère que vous êtes.

Et en riant tu me dis pard
onne a l'homme comme Dieu la fait, prie et continue d'aimer Brigitte, protège la. Elle t'aime très très fort je le ressens a l'année prochaine.


Edmond.

Me voil
a a la marche aux flambeaux, isoler du groupe avec bibie nous dépassons un vieil
Homme claudicant portant so
n texte d'une main sa bougie de l'autre son siège de camping autour du cou une vieille parka comme manteau.

Nous te dépassons bibie et moi, voyons ton désarrois, je viens vers toi naturellement, sans crainte te propose mon bras.
Moi qui chercher l'excuse pour me défiler me
voila avec un inconnu lui tenant le bras.
Cinq cent m
ètres plus loin tu me demande « tu ne chante pas la gloire de la vierge ? »
Non cela n'est pas ma foi, « et
bien tu me soutiens moi je chanterais pour toi ! » et te voila Edmond a quatre vingt trois ans augmentant le son de ta voix. Nous avons fait ensemble le circuit complet a la sortie de st pierre tu me remercie ! Non Edmond ! C'est moi qui te remercie. J'ai été au bout de la rencontre de l'autre. Sur ton chemin !

Tu dis c'est
la dernière fois que je viens au pèlerinage, tu m'embrasse, échange nos bougies, que dire rien ! . Je suis cloué sur place.

La vielle dame

Toi ma Murielle face a
la grotte tu as chuté, partie dans les nuages ton esprit, la maladie te reprend, nous nous inquiétons, les personnes qui sont la avec toi aussi.

Arrivent les secou
ristes et le brancard te voila porté avec amours par ces gens suivi du frère
Dominicain mineo, isolé du group
e celui partant a ta recherche.
Je vais vers tous les
postes de secours a ta recherche traversant a plusieurs reprise ce groupe de pèlerins sur brancards et Chaise roulante, stoppé par une chaise roulante, une dame assise dessus me prend le bras et me dit

Quel espoir me
reste t'il quelle espérance ?






Je viens d'enterre
r mon mari et j ai perdu mes cinq enfants. J'ai 93 ans.
Oh !!Dame aux cheveux d'argent, tu me montre une pho
to, me dit que je lui ressemble.
Merci me dit 'elle.
Da
ns ma tête, je dis non, ma voix dit oui.
Priez pour m
oi dis je,
Je le ferais devant la grotte de suite répo
nd t'elle.

Ne nous sommes nous pas frères et sœurs de
cœur !

Pour vous je serais votre fils de cœur.

Voil
a mon Lourdes il vaut ce qu'il vaut ni plus ni moins. J'ai reçu énormément.

Je suis ce que je suis.

Dis ce
que je fais .fais ce que je dis. Je ne peux tout écrire tout dire. À si.

Une pensée pour Coco brave gars. Ten
dre, pleurant à notre départ resté sur place pour son

Lourdes.

A tous.

A toi mon frère qui se reconna
itras nous avons un bout de chemin à faire ensemble.

Si tu le veux.

Si Dieu le veut
Rdessauvages©10.10.200
6
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Ma sœur ! Mon coeur


Toi et moi sommes liées
Chacun a sa façon.
Nous étions désespéré
Bien plus que par le sang
Depuis plus de cinquante et un an
Depuis ce seize décembre
Mille neuf cent cinquante six
Nous étions deja plus de six
Jour de ta naissance a toi
Même essence que moi.


Bien plus que par un sentiment,
De fraternité,
Nous étions liés.
Par notre chair et notre sang
Au delà du temps

Toi que j'ai toujours voulu protégé
J'avais de la chance de t'avoir née.
Tu m'appeler a chacun de tes désespoirs
Quand tu broyais du noir.
Je te disait que tu m'etait précieuse
Tu es en etait heureuse.


Tu m'as toujours été fidèle,
Même dans mes pires moments.
Tu savais que ta trahison
Me serait fatale.
Tu n'avais pas l'esprit bancal
Tu n'en as jamais eu l'idée
Je sais que jamais tu ni a pensé


Oh ! Comme je t'aimais, et t'aime encore
Tu es la seule pour qui je donnerai tout
J'aurais donné bien plus que ma vie !
Chaque battement de mon cœur
Est une pensée vers toi
Pour nos cœurs si Douleurs
Tu avais même cœur que moi.


Sache que tu pourras toujours m'entendre
Te dire de l'amour de toi
Que mon amour de toi
N'a pas changé
Malgré ces dix années.
Malgré ce jour maudit qui ta pris ta vie
Ce trente et un janvier
Mille neuf cent quatre vingt dix huit
Tu es partie trop vite


Bien que depuis ton trépas
Ton corqs repose là-bas
Depuis dix ans deja !
Je ne t'oublie pas.
Tu es ma petite sœur et le restera.
Personne n'arrivera à nous séparer
Le moment venu pour moi
Je te rejoindrais là-bas !
Dans le même endroit
Dans ce petit coin
De notre ville Tourcoing !


Auprès de toi
Je l'ai décidé
Pour l'éternité en laquelle
Je me suis mis à espérer.
tant pis pour ces etres vils
notre famille

Rdessauvages© 14.12.2007
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Frère des maux


a ce frére ? louis



Il
n'a fallu que des mots ?
Po
ur que je sois blessé
Il n'
en faut qu'un !
Pour appren
dre à s`aimer.

Ce mot qui
est en moi
Je t
e le donne afin que tu le reçoives
Voil
a tu l'as mon
Par
don

Reçoi
s-le comme un don
En toi, en moi, en nous
Ce m
ot qui est bon.
Devançant l'
autre
Amo
ur.

Je peux le résumé.
L'
assumé, le revendiqué
Te l'
exprimer !
Sans pour
autant que de ce mot
Je pu
ise en faire le contour.

Aim
er sans regarder ?
Les erreu
rs du passé.
Pardonner et oublier
Les mo
ts qui nous ont marqué.

Bl
essé ! a cet instant précis ou
J'étais An
nihilé tétanisé
En incapacit
é de me protégé.

Ne plus av
oir peur d`être trahi.
Par c
eux qui se disent être des amis ?
Ne plus
avoir peur d'être ridiculisé !
Jugé méco
nnu de ces inconnus.

De ce
s frères, ces fils du père
Notre père ?
D
e ceux qui s'en revendiquent !
Par ceux
qui ce doivent
De nous proté
ger.

Aimer s
ans regarder
Ce que l'ont perçois
Qui n'
est pas moi.
C
`est la plus belle des qualités
Que des f
rères doivent conserver
Po
ur mieux apprendre à s'accepter.

Aimer s
ans regarder
Sans juger,
Vous m'avez cru blindé !
Mêm
e l'acier ! Ne saurait me protéger
Aller
au delà de l'aspect.

Entend
re !
L'autre a
u delà des mots
Ceux-ci exp
riment souvent des maux
Ent
endre !
L'aut
re au-delà de la parole
Dép
asser cette parole.

Voici
une des qualités
Que précie
usement j`ai conservé
Pour
un jour la transmettre,
af
in que tu puisses ? m'entendre dire
Je t
'aime.

Nous n
e voyons pas
L
es choses telles qu'elles sont.
Nous les
voyons
Tel que
nous sommes.

Allons au del
à de ces regards
De peur q
ue l'ont ne s égarent
Et n'o
ublions ce que pourquoi nous sommes fait
En vérité
Êt
re en fraternité.

Rdessauva
ges©13.01.2007
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Goths


1952
Me reviens à la mémoire ce jour funeste
De ce 1er février que celui de ma venue.
Même pas de reste aussitôt oubliés
Enfance bloquée entre un rez de chaussée
Et trois étages bien comptés
Que dire de plus que la tendresse me fut comptée.


Troisième d'une fratrie mal pensée
Trop petit pour les grands,
Trop grand pour les petits
Telle fut ma destinée.


Les coups je l'ais ais comptés par tous oublier
Qu'avais je fais était ce ma faute ?
Si leur parents de tendresse les avait privés
A la maison, à l'école,
Dans la rue, j étais terrorisé
Pas moyen d'y échappé !
Pourtant un jour à 9 ans j'ai fugué
Déjà fatigué de se fardeau bien pesé.

Mon père appelé m'a aussitôt
Retrouvé.
J'étais pas bien loin caché
Juste a coté !
Des que je suis rentré
Elle m'a de retour mis une raclée
Comme d habitude bien pesée
T'elle était ma destinée.

1966
Puis le temps de l'enfance a passé
Dans la vie, je fus jeté pour la première fois
J'ai refusé d être frapper.
A 14 ans je les ai repoussé ce frère
Et cette mère qui me frappé
Dans l escalier
Je l'ai menacé de la jeter
De surprise elle lâcha prise
De me frappé elle a cessé
Puis vint le temps ou le père se mit à deconné
Point de repère il se mit à vouloir la taper
A croire qu'ils ne savaient que frapper ?
Voulant ainsi asseoir son autorité
Entre eux aussitôt je me suis dressé
Protégeant des coups
Celle qui tout le temps m'en avait distribué !.
Je ne pense pas etre un enfant à blâmer
Ni désespéré
Simplement sous mes aspects
Un etre a aimé


1971

Je lui ai sacrifié mon bébé
Ne disait elle pas qu'elle voulait le quitter
Se père qui deconné
Moi en attente d'elle
Cette femme en attente de moi
Cette mauvaise histoire elle l'a oublié
Moi toujours dans mon cœur
J'ai pleuré se bébé parti avec sa mère
Que je ne sus jamais oublier
Je n'avais pus me décider entre cette mère
Et l'autre celle de mon bébé


Aout 1972

A 20 ans je me fis émanciper
Un logement loué
Au 1/26 rue de la bourgogne même quartier
Pour fuir se foyer qui s'était reconstituer
Semblant de famille ou je devenais l'indiscipliné.
Celui qui était bon qu'à taper qu'a gueulé
Ainsi ils me définissaient facile
J'étais piégé
Ils ne pouvaient oublier ce passé
Que sans cesse A leurs yeux
Je devais représenter ou leurs rappeler



Fin avril 1979

Puis ma femme je connus
Née d'une femme Sans amour
A 15 ans je dus la faire
Placée par le juge des enfants
Chez ma propre mère
La maladie les difficultés de la vie
Nous avons eus
Pendant trois ans je l'ai soigné
Me voila avec une femme bébé
Dur travail peut payer
J'ai travaillé sans compter
Puis, un enfant en 1980 nous avons eus
MARC ce 12 mars 1980 est venu
21 fois pendant sa grossesse sa mère fut hospitalisée

Pour leurs achetés ce qu'ils leurs fallait
Fêtes - j'ai travaillés Exploités
Je dus me battre en tant que délégué c g t
Pendant ce temps la mon fils grandissait
Sur l'appuie de sa fenêtre
Le pain de ma mère
J'ai volé
J'avais fain moi qui ne cesser de travailler
Pour ce fils et sa mère bien aimée.

1983

Telle fut longtemps ma destinée
De l'argent un jour que mon fils avait faim a prêté
A cette mère
Je lui ai demandé
Elle n'en avait que juste
Assez pour aller se coiffer
Ma collection de Johnny
J'ai cédé
Contre un peu d'argent frais.

Dans les jardins ouvriers
J'ai volé
Moi qui ne cesser de travailler
Qui croyez que l'honnêteté payer
Mon père est décédé
Laissant la famille éclatée



31 janv1998

Ma sœur Françoise me fut enlevée
Trahie aussitôt enterrée
Laissant notre famille et sa propre famille
Divisée nous autres blessé que ces propres enfants
L'ai aussi vite oublié
27 jours à peines enterrée
Ce mari de 27 ans qui abandonné
Les fruits de leur lit
A dans son lit amener
Une prostituée
Je reste poli
Trahie à peine décédée
Pour un parti au passé compromis
Dont son propre fils dans la drogue c'est mis
Bien vite la marâtre se mis à les battre
vite dans un foyer les a mis


Puis vint l'autre crachat
Cette sœur témoin de Jéhovah
Des enfants elle s'accaparât
CÅ“ur sans foi ni joie
N'entra pas dans
L'église le jour ou ont l'enterra

Abandonnant aussitôt celle ci
Dés que les enfants pris
Contre elle je me battis
Que faire sans cesse
Lorsque que l'agss
Les lui confia

Peut importe
Qu'elle soit témoin de Jéhovah
Foi aussitôt qu'elle abandonna !
Pensant tromper ainsi ce monde sans lois

Mon frère chez lui fut braqué
Par trois hommes encagouler
De fusils de chasse armer
Laissant ainsi femme et enfants terrorisé

De sa thyroïde ma mère ce vi amputer
Ma femme dut aussi se soigner
La même maladie l'ayant gagné.


2004

Puis les difficultés d'argent ont surgi
Dans un plan de surendettement
Pour 400 euros par mois
Je me mis
Il me fallait me protéger d'elle
De sa folie
Mon fils par sa fiancée fut trahi
Ces histoires je les ai écrites
En patois je les ai dites


Dans ma maison je fus cambriolé
Je subis la menace d'être licencié
Par un chien j'ai étais, attrapé
Au mollet il m'a bouffé


Un coup de seringue aussi j'ai choppé
Dans le cadre de mon métier,
Avoir peur du s i d a
Pendant six mois me terrorisera.

Que dire sans rien oublier
De cette déveine qui nous a pourchassés
Même la tante n'en a pas échappée
Sous tutelle
Elle sera placée
Cette tante dont nous devrions hériter


Sans oublier que les impôts aussi se sont réveillés
Pour trois années ils se sont rattrapés
La taxe d'habitation m'a terminé
Par saisie en trois fois
Ils m'ont achevé
Ne nous laissant que juste
Assez pour pleurer.

Tant de malheurs nous ont accablés
Accablé par cette fatalité
De cette réalité que jamais
Je ne pus oublier
Toujours en parler jamais exorciser
Que peut-elle me reprocher
Moi qui ne l'ai jamais
Touché que de la main pour la caresser


Je n'ai fait que travailler pour elle
Et notre bébé
Acheter tout ce dont elle pouvait rêver
Endetté pour elle inquiet de sa réalité
Fuite en avant toujours
Appétit jamais satisfait


Tel un vautour cherchant à combler
Son propre passé
Envie de tout dont son imagination lui faisait rêver
Insatisfaite de sa réalité
Trop loin elle a voulu me poussé

Juillet 2005

Dans un reflexe de survie
Je me suis enfoncé
Comme une coquille je me suis fermé
Fatigué Oublier de raisonner
J'ai fait A râler je n'es pas oublier
Asphyxier au bout de son parcours
MA femme c'est trouver
Pris à la gorge de sa réalité
Ce 29 juillet 2005 elle m'a quitté
Pour aller soit disant se plaindre
Dans un foyer de femme isolée
En cela par notre fils aider


Pour oublier a-t-elle décidée
De ne plus me voir
Tirant ainsi un trait sur 26 ans de notre passé
En réalité
Chez son amant Bertrand delbois
Elle est allée


Qui au noir pour ma belle mère
Chez elle a travaillé
Et qui avec mon ex
Le dimanche aller se retrouver

Toujours chez cette mère qui n'a jamais su l'aimer
Surprise à téléphoner
Avec un appareil que je n'avais pas payer
Cacher dans la cuisine équipée
Ou dans son linge a repassé
Et cela depuis deux mois
Sa trahison je la connaissais
Tout de suite détectée
De me battre j'ai refusé
Il fallait la laissé accepter
Résister pour ne pas
Me supprimer
Ne pas une fois de plus céder
Je n' avais plus d'amour assez


A Merville s'en est allé
Au 21 grand place habité
Cela je le savais 3 jours après
Quand elle a demandé au banquier pour dissocier
Notre compte commun
A-t-elle pris en compte qu'elle était interdite bancaire


Sept 2005

Mon fils aussi informer me la cacher
Nous étions tous deux informé
Chaquin de son coté
4 jours chez eux à Merville à passé
Fin aout 2005 a enfin dit la vérité
Que je soupçonner que je savais


Fatigué point je n'es point lutté pour la récupérer
Pour Oublier elle a décidé
De ne plus me voir
Tirant ainsi un trait sur 26 ans de notre passé



Déc. 2005

Et pour me consoler
Notre tante bien aimée
D'un fusil de chasse ma comblée
D une boite de cartouches accompagnés
Offert à un homme désespéré
Qui broyais du noir
Sa femme venant de le quitter

Que dire face à cela
Que dans la vie je continue d'espérer
Tout ca je l'ai rangé dans un tiroir
Me reviens en ce jour de fevrier 2006
Sans esprit de baroud
En mémoire ce jours funeste de février
En 1952 je suis né
Au 1 er février
Comme dans un bond


Je me rappelle ce qu'un jour j'avais écrit
Texte tout rond celui du moribond
Oh! Mort tant attendue
Toi qui as croisé tant de chemin
Pourquoi t'es tu écarté du mien ?
Lorsque ma vie fut venue


Que dire de plus sinon
Qu'il me faut continuer
Cette tache qui ma était donner
Ce jour de février
Ou La vie me fut donnée
Que faire à 54 ans sinon espérer
Qu'un jour une femme sera m'aimer
Et que pour la troisième fois
M'a vie il me faudra recommencer



Dans la vie espérer
Que la chance oubliée
Enfin me sera distribué
Enfin l'amour d un être me sera donné
Puis une femme a moi c'est donner
Toujours dans ce mois d'aout 2005
Le 23 il me faut préciser
D'un mot doux m'a donner raison d'espéré
Mot que ma femme qui m'a quitté a été informée
Par son fils bien aimer mais qu'elle a laissé
D une crise de jalousie m'a affublé
Criant sa colère d'être tromper
Comme en somme une crise folle
De jalousie
Quitte t'on un homme qu'ont aime
Pour un autre Folie
Par un sms me l'a dit




Tu as cassé mon amour pour toi fallait
Ne pas amener une femme chez nous dans notre lit
Que dire de plus
Que le lendemain avait changé d'avis
Qu'elle voulait refaire sa vie
Qu'il nous fallait rester ami

Comme des gens bien élevés
Sa vie voulait recommencer
Qu'elle folie l'a encore piqué de
Qu'elle utilité il me faudra lui resté


Pourtant de l'argent je lui ais remis
Aussitôt que l'envie ou le besoin lui en a pris
Que faire d'autres 26 ans de notre vie
Pour finir comme elle dit en bon amis
Me revient en ce jour funeste
Bien des moments de ma vie
Beaucoup de peine de soucis

Sept 2005
Puis je commencer a espéré
Dans mon amie qui a moi c'est donné
Du recul elle a souhaité trop vite
Notre amour lui est arrivé
Demain son anniversaire arrivé
Je me presse de lui souhaité

Cadeau modeste je lui ai déjà acheté
Beaucoup dirons femme il a vite oublié
Non ce n'es pas vrai
Mais il me faut me préservé
D'autant plus que son amour
Le premier vrai peut être que j'aurais trouvé
Peu de temps il me reste pour le goutté
Maudite destinée
Me revient encor en ce jour funeste
Bien des moments de ma vie
Beaucoup de peines de soucis

Voila que mon fils ce 20 nov. 2005
Me dit qu'il va me quitter
Pour aller habiter a Metz
Quitter son travail son bercail
Pour vivre a coté de la femme qu'il dit aimer



Elle a promis de l'aimer
Dans qu'elle folle aventure va-t-il se jeter ?
Tout perdre comment va-t-il vivre ou survivre
La raison semble le quitter
J'avais raison elle la quitter
Une autre à paris il a trouvé


Même ma tante qui dans la maladie
D'helzermer Sombre me dit ce 26 nov. 2005
Les pieds détrempés dans la neige
A sa porte
Ne me laisse pas seule
Je n'es que toi
Tu m'aime je t'aime
Je deviens folle ne me laisse pas

Ils vont m'emmener
Loin de chez moi
Ne me laisse pas seule
Toi qui es le fils
Que nous aurions voulu Maurice et moi
Que t'es je fais destin maudit
Pour n'avoir autour de moi
Que des gens
Qui n ont pour moi que des sentiments
Qui me sont interdits de vivre



Déc. 2005

Toi Dieu des uns
Rien pour moi
Lâche-moi
J'ai tant crié après toi que ma voix
C'est sécher
J'ai tant hurlé après toi que ma voix
C'est cassé
Qu'a tu fait pour moi
Voila que ma Bibie grâce
À laquelle j'avais repris gout à la vie
Depuis aout me dit
Je me suis trompée
Je n'ai pour toi que de l'amitié



Il faut cesser de se rencontrer
Je dois te quitter
Ne pas continuer
C'est pas toi c'est moi
Qui ne peut continuer
Ton amitié je veux garder
Mais des amis moi j'en ai
En toi j'avais espéré



Me reviens à la mémoire ces jours funeste
De février jour de ma venue
Rassure-toi mon ami David gadenne
Plus envie de me suicider
Même cela je l'ai loupé
Je suis trop en peine
Je suis vidé
Désespéré scotché
Sur place coller


Voila que le même jour
Je me rends compte que même ma maison
Je ne pourrais garder
Quoi espéré quoi dire
Faire face
Droits dans ces bottes comme un cow boy
Suis pas un indien
Simplement un homme
Marqué par le destin
Un simple gardien
Un humain appeler robert
Qui aux apparences donne parfois
Le ton d'écrire en patois
Ce texte je n'es pas le courage ni la joie
De l'écrire en patois
Il ne me reste que cela et encore


Décembre. 2005
En fête noël j'ai passé
De Bibie a moi
Nos enfants sont réunis
La joie de la vie ma pris
J'entends je vois Bibie
Pour la première fois
Je pense
À la foi qui n'es plus en moi
Bibie je vis de ta joie
Je la connais
Mais je ne l'es plus en moi
Plus le courage de crier
Apres ce dieu en qui j'ai d'espérer
En vain de lui je n'attends plus rien
Mon cœur depuis trop longtemps pleure
Pour avoir le temps
De penser à toi


Février 2006 est arrivé


Temps d'une nouvelle plaie
Ma tante est hospitalisée
Alzheimer la frappée
Sur Maubeuge centre de physiologie
Pour adultes la voila enfermée

Sans retour a la maison à espérer
Des neveux à son mari se sont révélés
Placement à l'a g s s ont vite proposé
Déçu d'apprendre que mon ex va hériter


Pourtant ne suis-je pas le seul à qui elle a donné
Son amour et ces clefs moi
Qui ne cesse de l'aider De l'aimer
Pas d'obligation du sang pour s'aimer

Sait 'elle au fond d'elle même
Que pour elle seule j'ai intérêts
Oui devant ces gens l'a avoué
La voila proposé pour émigré


Loin de sa ville et maison
En Belgique sera enfermée
Aux varennes pres de Mons
Maison de retraite est située

1er fév. 2006

A chaque anniversaire
Fêtes ou moment de mon ancienne vie
Mon ex se manifeste par des insultes injures
À la rue voila ce que la loi lui, donnera


Au téléphone du travail me harcèle
Me voila au commissariat demandé
A la loi de me protéger contre cela
Au policer lui ai dit la vérité
Main courante il a fait

Toujours la haine et l'amour
Sont proche du même etre
La connerie va-t-elle souffler sur ma lumière
Ne dit 'on pas que la flamme vacille
Sous le vent de la connerie
Ferais-je une folie

Mi février mon ex c'est manifestée
Maison ' pension ' auto et meubles
Pour elle est son amant
Qu'elle prétend avoir changé
Tous ces droits
Tous cela lui est dut par la loi

La voila bien renseignée
Dettes et plan de surendettement pour moi
Sur la rue voila mon dut
Mon fils comme tout fils réagis
Peut importe avec qui 'il vit a disserter
De son royaume de sa chambre a-t-il réfléchis
Que si je cède sa vie va etre bousculer

Car jamais deux coqs dans le même poulailler
Sur la rue vite va se retrouver
Que l'amant ne sera que son beau père
Qu'à 26 ans il devra se débrouiller
Qu'il sera jeté par cet homme

Qui lui rappellera le passé
Même pratique qu'un coucou
Du nid il sera jeté
Que son père ne la qu'aimer

Janv 2006 nouvelle plaie
Je me suis remis à fumer
Voila que cela m'a repris
Sanctionner de suite par
La bronchite asmatiforme
Je suis en très mauvaise forme


depuis le 6 février 2006 m'a cloué
De respiré le jour comme la nuit
Je suis en très grande difficulté
3 semaines à pomper cet air
Qui me fait tousser

Je reprendrai le travail toujours asphyxié
Ce mercredi 1 er mars 2006
Ais je inconsciemment renoncé
À cette vie donnée
Au tabac il y a 8 ans
J'avais renoncé
Comme un voleur je me jette sur la cigarette
Tous me disent arrête
Moi à qui ont donne un caractère bien trempé
Le voila en pate à modeler
Mon corps refuse cette nicotine
A qui mon esprit dit oui

29 mars 2006

Avec la police
Mon ex a investi de nouveau ma vie
Son amant l'ayant trahie chez sa mère a trouvé un lit
La voila de retour dans ce pseudo foyer maudit
Que faire
Je ne peux rester ni admettre sa nouvelle folie
Avec Associations des droits de la femme
Voila le drame
Mon ex femme tisse sa trame
Battue par moi qui boit
Oh toi Jéhovah que me fait tu la

Ne sais tu pas que je me bats pour leurs droits
Qu'une femme tous les quatres jours en France
Meurt sous les coups de salops
Dont je ne suis pas
Oh toi dieu des uns
Tu le sais que je ne suis pas un salop
Je ne peux rester comme ca
Pourquoi me fais tu cela
Suis-je maudit par toi
Ok moi aussi
Je te maudis



Décision à prendre ce dimanche
Mon fils rentré de paris
Me lance un nouveau défi
Il va me quitter

Face a face entre moi et moi
La vie que je fuis
Ou Bibie avec laquelle je revis
Je regarde ma vie
Ma maison
Riche et belle de biens
Froide sans amours sans joies

Face au mur
Je suis ce que je suis
Maçon je suis et je reste
J'écoute mon frère Francis
Me remémore ce qu'il m'a dit
C'est il seulement
Que chaque fois qu'il me voit ou m écoute
Je pars à nouveau vers la vie


Je sais qu'il le sens le pressens
Il me ramène à la vie
Me rappelle sans cesse à ce que je suis
Que j oublie
Sa lumière m éclaire
Nous sommes frères

Je regarde vers Bibie
Je regarde sa vie
Sa maison
Riche et belle d'amour
En pleine nuit vers la vie
J'ai choisi

Prier a son baptême
J'ai fais
Texte d amour pour elle
J'ai fais
Le point avec dieu
J'ai fais
J'ai communié
Cette eucharistie
Je la connais




Moi fils maudit !
Je ne suis plus capable
De croire à ton fils ?
Au père je peux penser
Me fait-il penser au mien
Je ne le sais !

Ta pensée je la connais !
Cela ne me déplait pas
Mais je ne peux à ce jour
Croire encore en toi

9 Mai 2006

Et voila une foi de plus !
Je ne me suis pas méfié
Je ne suis pas tel job
Dans non travail je suis muté

Oh joie des uns
Peines pour moi
Que me fais tu encor la ?
A condette
J'irais Bibie me la demandé
Pourtant je n'es aucune dette
Envers toi


Je vois la joie des uns et des autres
Je la suis au 28
Je commence à avoirs des nouveaux amis
Ceux que Bibie aimes
Ils emplois des mots choisi que je connais
Fraternité solidarité amitiés
Ceux qui me plaisent
J'ai un ami benoit
Que je côtoie
Il rayonne de sa foi

Je me sonde
Je me dis que cela est pour moi
Mais mon cœur est froid si froid
En toi dieu je ne crois

Pourquoi ce jour ais je besoin d écrire
Cela
Cela benoit je te le dois
Tu m'a dis un jour confie a dieu t'a peine
Cela je ne peux pas
A toi qui prie pour moi je te le dois
Pourquoi écrire ma peine et pas mes joies
Cela je vous le dois à vous tous
Du 28
Vous qui confier vos joies
Vous savez la joie que j'ai de l'amour de Bibie
Et vice et versa
Dans votre assemblée vous avez confié vos peines
Vous ne connaissez pas les miennes


Cela n'est pas juste
Je vous dois cela
A toi Philippe qui m'a deviné
Dans ma fraternité tu m'as salué
En fraternité à vous je viens de me livrer

En francais
Pour toi
J'ai été honnête en patois
J'ai évité
De me livrer
J'arrête la
Mes larmes me viennent
Ce sont des larmes de soulagement
Je ne repasserais plus
Sur mon passé
Je vais aller embrasser
Bibie qui repasse
Son linge calme apaisé par l'amour de dieu
Et de moi
11 mai 206©

Fin de mon ex vie
A toi Bibie
  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...