Pamphlet
Miroir.
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Miroir.
Miroir, miroir qui mire l'intention puérile d'un retour aux idylles.
De l''image de l'enfant à la recherche de ses plus chères sentiments,
D'un adolescent à l'avènement de ces plus hauts contentements.
De l'accompli à l'apogée, reconnaissant, sublimant le moins servile.
Amour dit l'enfant, guerre dit l'adulte à ce jardin fleurissant d'une génération inculte.
Chaos dit l'ourdit, nul ne méritant l'oubli, ni l'argent et moins encore l'asservissement,
Hiver cru, une rhétorique, un substrat, encore deux trois parjures plus qu'interpellant.
Croyant d'un temps d'une terre fertile, d'une moisson sans précédent, sans interpellant.
Écartelé par le temps, déchirée par la mesure des évènements, brulé, calciné,oublié permettez,
Soldat d'une armée balbutiée, compulsée, diligentée sans aménité, ni recours... énamourant,
De plomb ou de sang, arbitres biens complaisants, une aurore vaudrait-elle plus que le sang ?
Vivre de l'imparfait, le futur serait tellement plus légèreté, configuré, sans appels aux curées.
Noyée, cette larme dans ces fleuves, vagabonder dans les pas d'Hestia.
Coupables, terreurs récurrentes, sans armées, victimes, et fi de Chronos,
Coupable, point d'intime fardeau, existences conquises de ces lambeaux,
Gestation perpetuelle, sans fard, sans nez rouge et bien plus que Pandera.
Denis.
Aujourd'hui
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- Écrit par Gilbert
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Â
Une ombre de paix se pactise au Viêt-Nam Mais je m'en fous j'oublie toutes ces âmes La paix là -bas ? Demain peut-être je ne sais pas Ce n'était pas tout à fait hier Le premier cosmonaute mort dans une sorte d'enfer Les Soviétiques le pleurent Mais les Communistes se leurrent À leurs besoins de liberté Moi ça m'est égal j'attends l'été Demain la paix pour les Marines La permission du vietmin Mais rien n'est sûr Entre les deux murs Du capitalisme Et du communisme La France de prestige Se fige Au centre d'une guerre idéologique Des ministres aux sens… logiques Imposent sur le revenu Le contribuable est mis à nu Moi je me fous des deux blocs et du milieu Ma politique je la vois dans tes yeux Hier la guerre Demain la paix peut-être Aujourd'hui Seulement nous qui disons OUI  Poème tiré du recueil L'homme dispersé  Â
ELEVATION
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Levez vos bras
Pour implorer la vie
N'oubliez pas l'envie
Qui vous tenaille
Racaille
Levez vos bras
Pour demander pardon
Et laissez les bons
Faire leur sacerdoce
Féroce
Levez vos bras
Vers la cause de l'éternité
Ce n'est plus l'été
De vos jouissances
Par les sens
Levez vos bras
Et fermez vos gueules
Faudrait qu'ils veulent
Vraiment vous condamner
Pour vous fermer la porte au nez
Le déclin
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- Écrit par BethSorel
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Y a un truc dans not'vie qui peut plus fonctionner,
Comme un vieux clebs pourri qui voudrait pas crever.Â
Un animal blessé qui veut pas en finir,
Avant d'avoir pillé les restes de nos rires.Â
Le déclin d'un Empire basé sur le pognon,
Où l'fait de s'enrichir rime avec exclusion.Â
La fin d'la pauvreté c'est pas envisageable,
C'est pas nous c'est l'marché on est pas responsables.Â
Le commerce mondial et ses règles inhumaines
Profite à des chacals qui exploitent notre peineÂ
Ils se tordent et ils rampent au milieu d'la misère
Restant sourd aux grondements d'une juste colère
Agonisants peut-être, mais toujours plus sauvages
Ils ne rendront les armes qu'après le grand naufrageÂ
Perdition annoncée des peuples languissants,
Participants forcés ou témoins impuissants
A la solde des maîtres d'un système cacochyme
Qui piétine en s'marrant l'honneur de ses victimes. Â
Et mes larmes s'écrasent sur cette terre asséchée,
Privée de l'affection qu'on devrait lui porter.
Pourvu que ma douleur noie votre décadence,
Avant que l'âme humaine ne soit plus que souffrance.Â
 BethSorel
AU NOM DE QUI ... DE QUOI
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- Écrit par IXSE
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Au nom de quel empire envoie-t-il au combat,
Ces hommes et ces enfants qui ne reviendront pas ?
Régnant sur sa patrie tel un homme au logis,
Il parle et il ordonne et le peuple le suit.
Quelle fascination pour ce peuple ignorant,
Que de voir ce despote défier l'occident !
Mais ne faut-il pas être empli de trop d'orgueil
Et bien d'autres bassesses, pour sacrifier un peuple
Et au prix de son sang, au seul gain peut-être
D'avoir marqué le temps.
Combien sont-ils tombés et combien tomberont,
Avant que le despote ne baisse le bâton ?
Combien de vos douleurs,
De vos chairs et vos coeurs vous faudra-t-il donner ?
Avant que pleinement ses desseins contentés,
Consente à dénombrer ses morts et ses blessés ?
Vos yeux sont-ils fermés que vous ne puissiez voir ?
Et n'entendez-vous pas que cette sainte guerre
Qu'il se veut à faire croire, n'est là que pour servir
Et son nom et sa gloire ?
Tandis que dans le sang, écrivez son histoire.
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...