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Écrit par Tom

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 2 octobre 2009

Création : 2 octobre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2240

Clignote les lumières de sa voiture
Ronronne le tonnerre de sa monture
Le pare choc se colle aux pares chocs
Le pare brise se fige en un bloc

Où va t elle
Echappe au stress
De plus belle
Elle se presse

Du fer claque contre du fer
Chaque seconde entame une course
Chaque seconde étame de brousse
Du fer claque contre du fer

Echappe au stress
Où va t elle
Elle se presse
De plus belle

Elle est partie droit dans un nouveau bruit
Elle vérifie pas l'droit à l'erreur
Elle est vrai fille du droit à la mort
Elle est partie droit dans une nouvelle nuit

Echappe au stress
Elle s'y gouffre
Elle se presse
Elle s'engouffre


Elle ne s'en va pas !        

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Écrit par Tom

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 2 octobre 2009

Création : 2 octobre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Sueurs, Rythme, Fièvre !? Effluves en ressac entraînent nos proues !
Chaleur ! Elle me grise ! Elle est en moi, je suis en elle : quintessence.
Nos chairs s'enroulent, ondulent et bouclent : valse intense.
Des larmes de chanvre chaud lèchent sa peau de sucre roux.

Les yeux fermés, si absente. Tout autour, tellement pulsante!
Des vapeurs de rhum enivrent son tanin qui sublime et hurle.
Doutes, Angoisses : Scission ! Elle est emprise de la substance puissante ?
Doutes ! Ne rien faire. Le désir me mange. Non ! Ne rien faire. Je brûle !

Ne rien faire. Ne pas chavirer. Brider cette ardeur !
Sa main glisse sur mon torse humide... Du graphite sur du souffre !
Crack ! Tison chimique. Stop ! Elle n'est pas lucide.  Si gaie?
Partir et vibrer ? L'avoir une fois et risquer de la perdre à jamais ?

Non ! Ne rien faire ! Surtout ne rien faire : Danser !
Irruption de questions. Lutte dans un c?ur à corps.
Le sang froid contre du sang chaud. Duel à mort.
Surtout ne rien faire? Attendre?Ne plus penser.

Une solution : s'ouvrir et se laisser envahir. Ne pas assumer.
Quand la musique stoppera? Que son esprit aura repris son corps...
Demain sera cruel. Le jus de canne  évaporé. Le plaisir consumé.
Alors, surtout ne rien faire ! Danser. Danser. Danser encore.

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Écrit par Tom

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Catégorie : Amour

Publication : 2 octobre 2009

Création : 2 octobre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Tu me dis que tu ne veux plus du tout de nous
Tu me dis que je suis pris dans un jeu
Tu me casses la vie en disant ça
C'est pas vrai ce que tu dis là
Ne crois pas que ça s'oublie
Je ne peux oublier ça


Tu me dis que tu ne m'as jamais aimé
Tu me dis que ce n'était qu'un jeu
Tu me fais mal en me disant ça
C'est pas vrai ce que tu dis là
N'crois pas que je sois si fort
Je ne suis pas si fort que ça


Tu crois que rentrer allègrement dans un jeu
Tu crois que travestir tes sentiments
Tu crois que dire des mensonges
Ca pourra faire passer tout ça
Ne crois pas que ça passera
J'peux pas laisser passer ça

Tout ça tu me l'as dis pendant la nuit
Tout ça j'en ai rêvé cette nuit
Tout ça tu l'as regretté

Faut pas se mentir avec des choses comme ça
Tu m'aimes je sais qu'c'est gros comme ça
Tu me l'as dis comme ça cette nuit

Je t'aime
Parce que je t'aime
Je ne le supporterais pas
Ne joue pas avec mon coeur
Le jeu n'est pas une porte de sortie loyale

Tu me l'as dis comme ça cette nuit
Tu m'aimes je sais qu'c'est gros comme ça
Faut pas se mentir avec des choses comme ça

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Écrit par Tom

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Catégorie : Amour

Publication : 2 octobre 2009

Création : 2 octobre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Vive hirondelle, serpent d'amour,
Printemps dentelle, au goût du jour,
Fraîche humeur, parfum bonheur,
Exquise lueur, regard vin d'honneur.

Elle se glisse, fond dans la gent masse,
Ondule, sillonne, légère et fugace,
Squale Requine !
Mâchoire épine...

Tourne, trace, tracasse, épie sa proie...
La mord, déchire son coeur au sang,
Le sort, décroche son corps aux dents,
Quand, dérouté et affaibli, il a froid.

Elle...Elle reprend le courant,
sirène d'un instant,
Lui... Meurtris, blessé, lacéré,
Sur la plage esseulé, scrute l'océan.
Larmes amers, gorge serrée,
Un requin s'éloigne, crocs acérés;

Pourtant,
Elle désirait ses yeux mystère, sa bouche humide
Il était sincère, bel apatride.

Cependant,
De peur de se prendre au jeu,
Elle l'a pris dans son piège à feu.

Nature requine, ville assassine,
A préféré frapper de chaudes canines :

L'amour la chagrine?
Et lui s'abîme