Le clown
Deux taches rouges sur les joues blêmes,
Vêtu d'un smoking bleu nuit,
Il dialecte des : je t'aime
Pour le troupeau qui rit son ennui.
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La paresse qui nous permet de voir
Son ridicule métaphysique
Jusqu'au fond douteux de l'espoir
De ses grimaces mélancoliques.
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Lugubres fantaisies aux jeux de sa physionomie,
Il récite des èpisodes burlesques,
La guitare complaisante pour de fausses harmonies,
Le verbe endimanché qui cingle de Rome à Budapest.
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Son humour dépasse nos habitudes
Comme un oiseau léger et bizarre
Sur une chaise bancale, plein d'incertitude
Dans le jeux des lumières,comme un affreux: trop-tard.
J-J-B
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Commentaires
Merci.
Clo
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