Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives
 

Les bras nus de vert
levés au ciel
le bouleau pleure
la saison morte
et il dessine des squelettes
de pensées désireuses
du printemps
comme nôtre nous appartenir
-c’est nouveau-
dans le miroir de nos yeux
où se reflètent
toutes le joies du monde
et toutes les larmes de la planète
qui coulent des plumes des anges,
nos complices amis de jeux.

"A jamais nous perdre
dans l’abîme du vide
et du silence noir,
à jamais perdre nos rêves
dans le miroir du non-dit
doré de non-sens
"

nous nous avons dit
à lèvres fermées
(c’était peut-être un baiser?)

Teresa Ferri

Je vous prie d'excuser mon français.

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Commentaires   

#1 sylphide 16-01-2010 08:42
C'était sûrement un baiser! Doux comme ce poème...de jolies images tout au long du texte.J'aime bien.

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  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...