Les bras nus de vert
levés au ciel
le bouleau pleure
la saison morte
et il dessine des squelettes
de pensées désireuses
du printemps
comme nôtre nous appartenir
-c’est nouveau-
dans le miroir de nos yeux
où se reflètent
toutes le joies du monde
et toutes les larmes de la planète
qui coulent des plumes des anges,
nos complices amis de jeux.
"A jamais nous perdre
dans l’abîme du vide
et du silence noir,
à jamais perdre nos rêves
dans le miroir du non-dit
doré de non-sens"
nous nous avons dit
à lèvres fermées
(c’était peut-être un baiser?)
Teresa Ferri
Je vous prie d'excuser mon français.
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