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Écrit par J C F comme Freedom

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Érotique

Publication : 1 juin 2012

Création : 2 juin 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3041

Des mots pour te sourire,

Des mots pour pleurer,

Des mots pour médire,

Des mots pour te sublimer.

 

Ma plume n' est que caresse,

Quand mes pensées t' enlacent,

Mais elle devient tigresse,

Quand tes regards m' agacent.

 

Des mots pour prédire,

Des mots pour t' aimer,

Des mots pour te lire,

Des mots pour sangloter.

 

Ma plume t' observe et te frôle,

Quand tu me parles avec candeur,

Mais elle devient vitriol,

Quand tu me fermes ton coeur.

 

Des mots pour te maudire,

Des mots pour partager,

Des mots pour te dire,

Des mots pour vibrer.

 

Ma plume telle un saphir,

Colore ta peau de bleun

Pourquoi ne cesses-tu de mentir,

Pour moi, ceci n' est pas un jeu.

 

Des mots pour te décrire,

Des mots pour fantasmer,

Des mots pour te contredire,

Des mots pour espérer.

 

Ma plume se fait satin quand elle t' imagine,

Là, près de moi, nue, assoupie,

Mais toi ma douce, bien trop maline,

Tu sais te jouer de mes envies.

 

Des mots pour me dédire,

Des mots pour t' enchanter,

Des mots pour proscrire,

Des mots pour t' effeuiller.

 

Ma plume te chérit, elle te dénude,

Ta bouche dit non, tes yeux disent oui,

Toi que l' on croyait si prude,

Entre tes seins, mon visage j' ai enfoui.

 

Des mots osés que je ne peux écrire,

Des mots libertins à se chuchoter,

Des mots impudiques que je ne peux transcrire,

Des mots inconvenants à se susurrer.

 

Non, ma plume ne décrira pas

Ce que nous fîmes quand elle m' ouvrit son corps si tendre,

Quand elle m' ouvrit ses bras

Tout en me murmurant, tout en me suppliant de la prendre.

 

Jean-Claude FISSOUN

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Écrit par giorgioadriano

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Érotique

Publication : 19 janvier 2012

Création : 20 janvier 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2590

Sa main experte
Légère et alerte
Vint ouvrir ma braguette
J’eus la roideur
Chaste du bonheur,
Le sexe long en baguette…

Adorable vierge
Elle prit ma verge
De ses doigts longs et fins,
J’eus un sursaut,
Complice de son jeu fin,
Sa bouche suçait mon pipeau…

Sa langue humide
Mouilla ma peau
Mon gland rougit bien chaud
Mes bourses dures
De sa caresse, avides,
Gonflaient en pruneaux mûrs…

Gourmande croqueuse
Elle prit mes valseuses
Entre ses lèvres si pulpeuses
J’eus cette envie
De pousser à fond, ravi
Ma tige brûlante dans son mimi…

La plus belle coquine,
Criant à la famine,
Absorba de ses cuisses mouillées,
Mon jus de badine
Spasmodique d’orgasme né
De son érotique sexuel ballet…

Adorable et si légère
Elle s’assit sur mon ventre,
Mon pénis rempli ses fesses, son antre
D’amour ; mes joies la blaisèrent
Elle me prit la bouche
Dans un baiser si doux, son amour fit mouche…
Georges PARADIS à Limoux le 20 janvier 2012 à 13h30

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Écrit par giorgioadriano

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Érotique

Publication : 15 février 2012

Création : 16 février 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2572

Il y a dans ma tête
De longues pensées faites
De rêves insensés,
Je regarde dans ces pensées,
Pussycat passer et repasser,
Le corps nu ou vêtu de paillettes…

La petite chatte fait
Briller ses yeux bleutés,
Devant sa félinité,
Je reste bouche béat,
Elle ondule de féminité
Et sa danse m’a bouleversé…

J’imagine voir danser
Nastyia, je suis charmé
De regarder ses secrets
De femme m’exciter ;
Nastyia, elle, le sait
De plus en plus elle est osée…

Les coups de pattes
De la belle petite chatte,
Titillent mon ventre,
Ses yeux malicieux entrent
Dans mes yeux bleus ;
Nos corps s’unissent amoureux…

Nastyia, la féline
Empale son antre féminine
Sur ma vertu masculine
De tigre félin solitaire
Et nous voici au Paradis
Éternel pour le reste de notre vie
Georges Adrien Paradis à Limoux le 08 février 2012 à 11h30

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Écrit par poezitation

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Érotique

Publication : 1 octobre 2011

Création : 2 octobre 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3240

VERTIGE MATINAL

Quand l’aube devient claire
Nos corps entrelacés
Sont prêts à exercer
Le premier inventaire.

Suivant l’itinéraire
Nos mains ont amorcé
En rythme cadencé
Un parcours circulaire.

Nous voilà prisonniers
En coquins jardiniers,
D’un singulier caprice.

Notre amour nous dirige
Lovés en doux délice
Au sublime vertige.